Comment la data visualisation simplifie l’analyse des données ?

L’explosion quantitative des données numériques, le Big Data, fait que nous sommes entourés de données au quotidien et les entreprises ne font pas exception. Aujourd’hui, la maitrise des données et surtout comment la mettre en forme sont des enjeux importants pour les entreprises. Les services font face à des tableaux de reportings très conséquents où faire ressortir des KIPs clairs et compréhensifs peut s’avérer très complexe. Mais alors comment la data visualisation peut aider à l’analyser des données ? Vous allez le voir, c’est la solution qui va simplifier la compréhension et l’analyse de vos données. On vous explique tout !

La data visualisation, qu’est ce que c’est ?

La data visualisation, en soit, désigne une représentation graphique de la donnée. Mais c’est surtout l’art de rendre compréhensibles les données grâce à des représentations visuelles, dynamiques et surtout accessibles à tous. Le but est d’illustrer des datas brutes sous la forme de différentes représentations graphiques comme des diagrammes, des courbes, des cartes, … Et cela permet de nombreux bénéfices au niveau de la lisibilité, la compréhension et la communication des données.

La data visualisation : une aide à l’analyse des données 

Une meilleure lisibilité des données

Le saviez-vous ? Le cerveau humain est capable de traiter une image 60 000 fois plus vite qu’un texte.

C’est sur ce constat que s’appuie la datavisualisation. Avec cette dernière, les données gagnent en lisibilité, en un simple coup d’œil on voit les datas les plus importantes et les tendances qui se dessinent. En effet, il est beaucoup plus facile de comprendre un graphique avec différentes couleurs qu’un tableau Excel long de plusieurs lignes. Ainsi, la démocratisation et surtout la vulgarisation de données passent par des présentations synthétiques et claires.

Une meilleure compréhension des données

L’objectif de la dataviz est de mettre en évidence toutes les informations capitales sur un visuel aisément lisible pour tous. C’est en obtenant une présentation claire des données qu’on facilite la compréhension de celles-ci. En effet, avec une représentation graphique des données, la lecture devient plus rapide, et le niveau de compréhension s’accroit. De cette manière, vous simplifiez les explications à fournir en complément de la visualisation et favorisez une meilleure assimilation de l’information de la part de votre auditoire. De ce fait, des éléments graphiques qui mêlent simplicité et esthétisme, offre un gain de temps important dans la recherche et l’analyse des données au quotidien.

La data visualisation par MyReport

Découvrez la data visualisation par Report One dans cette vidéo.
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Une meilleure communication des données

Vous ne vous en êtes peut-être pas rendu compte mais vous êtes confronté à la dataviz tous les jours !

Les résultats d’un sondage politique dans le journal ? C’est de la data visualisation.

Une infographie présentant les principaux résultats d’une étude sur les pratiques du sport en France ? C’est de la data visualisation.

Les exemples sont nombreux et si cette pratique est très souvent utilisée c’est parce qu’elle facilite la communication de données avec un rapport visuel qui est compréhensif de tous. Etant donné qu’une fois mises en images, les datas deviennent accessibles pour tout le monde sans avoir besoin d’un bagage technique, normalement nécessaire. En présentant des graphiques clairs plutôt que de longs discours, vous captez l’attention plus facilement. De plus, vous pouvez raconter une histoire via la dataviz ce qui rend la compréhension des enjeux beaucoup plus claire pour vos audiences.

Analyser son activité grâce à la data visualisation

Les données des entreprises sont aujourd’hui éparpillées dans une multitude de logiciels et supports ce qui complexifie grandement le recoupement et l’analyse des informations.

La datavisualisation va les rassembler sur un seul support, comme, par exemple, un Dashboard pour un service marketing avec les données du trafic du site internet issu de Google Analytics, celle des leads et des commandes venant de l’ERP et le taux d’ouverture des dernières campagnes d’emailing récupérées d’un outil externe.

Le résultat de l’implémentation de l’ensemble de ces données dans un même support permet aux collaborateurs d’avoir toutes les ressources en mains pour avoir une vision claire de l’activité de l’entreprise. De ce fait, en visualisant bien les tendances issues de ses données, l’entreprise comprend mieux l’environnement dans lequel elle évolue. A partir de ces datas combinées et étoffées, les équipes peuvent alors prendre des mesures concrètes pour accroître la performance de leur business. Les tableaux de bords de dataviz sont une vrai aide à la décision au quotidien.

C’est pourquoi la data visualisation est d’ailleurs l’une des fonctionnalités fondamentales des outils de Business Intelligence, comme Report One. C’est une aide, nécessaire pour chaque entreprise, pour maîtriser ses données, les analyser ainsi qu’une aide à la prise de décision au quotidien.

Les bonnes pratiques de la Data visualisation

Chaque entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité possède des data grâce à leurs archives et aux nouvelles données collectées. Elles représentent une véritable mine d’or une fois qu’elles sont exploitées via un reporting ou de la data visualisation.

La data visualisation vous aide à représenter de manière visuelle et simplifiée, une information importante à vos collaborateurs qui normalement sous forme de reporting classique aurait été indigeste.

Que ce soit sous forme de graphique, de cartographie ou autre représentation, la data visualisation va faciliter la lecture des données brutes afin de faire passer la bonne information, à la bonne personne et au bon moment.

Tableau de data visualisation

Les bénéfices d’une solution de data visualisation pour vous ? Ils sont très nombreux : une vision claire de vos activités, une meilleure communication entre les services, faciliter la prise de décision, un management efficace…

Mais comment s’y prendre pour mettre en place des tableaux de bord impactant ?

Se poser les bonnes questions

Avant de commencer votre projet de data visualisation, vous devez déterminer vos objectifs principaux.

Ces objectifs vont orienter la construction de vos tableaux de bord, leur déploiement et la portée des messages.

Parmi les questions à vous poser :

  • Quelles sont mes cibles ? (collaborateurs, clients, actionnaires…)
  • Quels messages je souhaite passer ?
  • Quels indicateurs je souhaite mettre en avant ?
  • Quelles données j’ai à ma disposition ?

Choisir la bonne restitution graphique

Le type de graphique est un critère de choix pour la data visualisation. On ne représente pas une évolution dans le temps comme on le ferait pour une comparaison.

Voici quelques exemples pour la construction de vos tableaux de bord de pilotage :

  • Camembert pour voir la répartition des ventes entre plus produits
  • KPI pour visualiser en un clin d’œil un indicateur clé
  • Courbe pour suivre l’évolution CA N vs N-1
  • Graphique en barre pour comparer le CA réalisé par plusieurs commerciaux
  • Une carte choroplèthe pour visualiser le CA par région

Le choix des couleurs

Vous le savez déjà, les couleurs affectent nos émotions et influent sur nos prises de décision. Afin de délivrer le meilleur message et convaincre, ne négligez pas le choix des couleurs.

Une des règles les plus importantes en data visualisation, est d’utiliser une seule couleur pour représenter un même type de données.

La palette de couleur doit être restreinte et les couleurs doivent apporter de l’information. Par exemple sur un histogramme présentant l’évolution du chiffre d’affaires par rapport aux objectifs. Les mois avec un objectif atteint seront en vert et les autres en rouge.

Data visualisation : bénéfices et cas d’usages

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Les règles d’or d’un tableau de bord efficace

  • Lisibilité : votre tableau doit tenir sur un écran, vos interlocuteurs ne doivent pas scroller pour chercher le message.
  • 1 chiffre = 1KPI
  • Le message doit apparaître dans le titre du graphique
  • Bien choisir le type de représentation graphique
dashboard commerce data visualisation

Une fois que le tableau de data visualisation est réalisé et que vous avez respecté ces quelques règles, le travail ne s’arrête pas là. Un bon tableau de bord, c’est un tableau de bord qui est utilisé par vos collaborateurs.

Votre projet ne s’arrête pas à la V1, vous devez vérifier que votre cible l’utilise et qu’il est efficace et, le faire évoluer.

Choisir le bon outil de data visualisation

Un outil de dataviz efficace :

  • Collecte, centralisation et nettoyage des données multi-sources (CRM, ERP, fichiers plats, gestco, données web…)
  • Mise à jour des tableaux de bord en temps réel
  • Outil collaboratif et évolutif
  • Large choix de propositions graphiques
  • Tableaux de bord accessibles sur tous les devices
  • Accès sécurisé et administré
  • Autonomie des utilisateurs pour la création et la consultation des dashboard

Découvrez en vidéo les outils de data visualisation de la solution MyReport.

DAF/DSI : aligner la vision financière et technique

La relation DAF/DSI est souvent conflictuelle. Les DAF reprochent souvent aux DSI un manque d’autonomie et d’agilité tandis que les DSI regrettent que les DAF ne prennent pas en compte les aspects techniques. Or, avec la transformation de la fonction finance et la montée en puissance des volumes de données, il est primordial de renforcer la coopération de ce duo. 

La direction financière a besoin des conseils de la DSI pour s’équiper des bons outils digitaux et optimiser ses process. Et, le DAF et le DSI doivent former un duo pour accompagner les autres directions dans leur évolution technologique.  

Mieux échanger autour des besoins

Le DAF et le DSI ont souvent du mal à se comprendre. Conséquence ? La direction financière a tendance à mettre de côté le DSI lors des projets digitaux.  

Cependant, pour des questions de cohérence du système d’information, de sécurité ou encore de choix technologiques, le DSI a beaucoup à apporter. Le DSI peut également apporter aux projets informatiques le bénéfice de ses compétences de chef de projet, ce qui est non négligeable.  

Les DAF doivent faire davantage confiance aux DSI. Ils doivent mener avec eux une véritable discussion pour exposer les besoins et les contraintes actuelles pour que le DSI puisse ensuite approfondir le sujet et proposer des solutions optimales.  

Si le DAF a une vision business plus complète, il n’a toutefois pas une vision exhaustive du SI et pourrait souhaiter implémenter une solution qui complexifie tout. C’est aussi de cette façon que des projets informatiques se transforment en échec ! 

De plus, les DAF pensent souvent que les projets informatiques prennent trop de temps. Si le cadrage d’un projet est bien évalué et les besoins et priorités clairement définis, le DSI pourra si besoin découper le projet.  

La direction financière évolue

La multiplication des données financières entraîne une augmentation considérable des données à traiter. Les outils classiques comme les tableurs et les reportings réalisés à la main sous Excel deviennent obsolètes. En effet, les DAF passent trop de temps à traiter l’information et à exécuter des tâches à faible valeur ajoutée, au détriment de l’analyse.  

Or, le DAF doit s’assurer que les données peuvent être correctement exploitées par l’ensemble des services qui en ont besoin. En devenant un véritable acteur transverse de l’entreprise, il a besoin de mettre en place des outils de consultations des reportings financiers et des KPIs stratégiques de contrôle. Des tableaux de bord transverses doivent permettre à tous les collaborateurs d’obtenir le même niveau d’information. L’objectif est d’avoir des données accessibles et exploitables en temps réel, sans camper devant le bureau de le DSI pour avoir accès à la data nécessaire à un moment précis.  

Fiche pratique : data visualisation et communication financière

Fiche pratique : data visualisation et communication financière. L’un des enjeux des services financiers aujourd&#8217…
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DAF et DSI, le duo gagnant pour le pilotage de l’entreprise

Pour réussir sa transformation digitale, la fonction finance va devoir s’équiper d’outils : ERP, Business Intelligence, IA… 

Pour cela, le DAF doit s’appuyer sur le DSI pour les choisir, les déployer et embarquer l’ensemble des collaborateurs. Le DSI peut orienter le DAF dans ses choix technologiques et l’assister dans les domaines qu’il ne maîtrise pas nécessairement comme les problématiques de sécurité, de stockage et de traitement des données.  

L’avantage pour le DSI de s’associer avec la direction financière lors d’un projet de transformation digitale est de ne plus être considérés comme un centre de coûts, mais comme un centre de profit. 

De leur côté, les DAF ont plus que jamais besoin de données précises, accessibles et mises à jour en temps réel pour appuyer leurs décisions sur des informations fiables, et leur permettre d’agir de façon plus agile et plus rapide. C’est là le rôle, capital, que doit jouer le DSI pour mettre à disposition du business ces données indispensables pour gérer et piloter l’activité, à plus forte raison en période d’incertitude. 

La crise de la Covid-19 a accentué le besoin d’agilité, de performance et de sécurité des Systèmes d’Information, renforçant le poids de ces derniers dans la réussite des stratégies mises en œuvre par les entreprises. Une évolution de la relation DAF / DSI en ferait le duo gagnant pour un pilotage performant de l’entreprise.  

Cela fait partie du jeu, toute relation de travail connaît inévitablement des hauts et des bas, avec des victoires communes à célébrer et des moments de tension. Mais pour réussir sa transformation numérique, une entreprise doit miser sur la proximité entre son DSI et son directeur financier, lesquels ont d’ailleurs tout à gagner en collaborant étroitement pour atteindre les objectifs fixés par leur direction.

Vous voulez savoir comment le DSI pourrait mieux collaborer avec les autres services métiers ?  

PME : 5 idées pour transformer le suivi de trésorerie !

Le pilotage du cash est un enjeu majeur, non seulement pour la direction financière, mais aussi pour l’entreprise dans son ensemble. Une trésorerie bien gérée permet à la société d’être plus agile dans ses activités au quotidien, de gagner en rentabilité, et de mieux appréhender son environnement économique. La digitalisation et l’automatisation des processus financiers s’imposent comme une solution efficace pour progresser sur tous les tableaux, particulièrement sur le suivi de trésorerie.

Améliorer la qualité et la pertinence de l’information

La direction financière a besoin des informations les plus pertinentes et les plus récentes à sa disposition pour insuffler une « culture cash » profitable à l’entreprise et ses partenaires. Il peut s’agir de données aussi bien financières (chiffres de vente, marges par produit, etc.) que non-financières (taux d’absentéisme parmi les équipes, degré de satisfaction des collaborateurs au travail, etc.). Problème : ces informations sont aujourd’hui essentiellement remontées par les managers de manière parcellaire et sporadique, ce qui est loin d’être idéal.

Pour faciliter la collecte de l’information et la prise de décision, la direction financière peut s’appuyer sur un logiciel lui offrant une vue à 360 degrés sur la performance de l’entreprise. Ainsi, elle peut croiser toutes les données de la société pour mener des analyses avancées et bénéficier d’une vue consolidée des comptes. La communication entre les métiers et la prise de décision s’en trouvent nettement renforcée.

Fiabiliser le suivi et la prévision de trésorerie

Le suivi et la prévision de trésorerie font partie des missions prioritaires de la direction financière. Leur inobservation peut conduire l’entreprise à un certain nombre de difficultés – insuffisance de fonds de roulement, croissance incontrôlée, déficits chroniques, stocks surabondants – jusqu’à sa possible défaillance.

La digitalisation et l’automatisation des processus financiers permettent ainsi de fiabiliser le suivi et la prévision de trésorerie. Résultat ? Vous profitez d’une vision claire de la trésorerie à jour. Il est aussi possible de disposer d’un comparatif de la position de trésorerie en temps réel avec le budget prévisionnel, ou de labelliser/catégoriser des flux spécifiques, tout en profitant d’un dashboard ergonomique.

Distinguer les KPIs clés des KPIs secondaires

L’art du pilotage de la trésorerie repose aussi sur la capacité d’une direction financière à distinguer les indicateurs clés de performance des indicateurs standards. D’une manière générale, 7 KPIs nous semblent importants à suivre : la trésorerie disponible et consolidée, la consommation nette de cash, le BFR, les encaissements et créances clients, la dette fournisseurs, le niveau de stock, et les dettes hors exploitation. En passant par un logiciel, vous pouvez évidemment créer des alertes en temps réel en cas de franchissement de seuil par exemple.

Optimiser les processus et réduire les délais de reportant

Pour 70 % des directeurs financiers, l’une des priorités est de raccourcir les délais de production des reportings pour se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée comme l’analyse de données pour la facilitation de la prise de décision (Etude PWC, 2019).

La digitalisation et l’automatisation des processus de production de données permettent à la direction financière de gagner en agilité et fiabilité. En effet, en sus de leur caractère chronophage, les logiciels comme Excel ou PowerPoint souffrent d’un manque cruel d’efficacité : fautes de frappe, faible lisibilité, sourcing discutable, pas d’alertes, etc.

In fine, bien qu’elle représente un investissement initial, une solution comme MyReport génère des économies de coûts non négligeables sur le long terme.

Fluidifier le partage de l’information

Il est vrai que la collecte des informations vers la direction financière prend souvent trop de temps. Mais l’inverse est tout aussi valable : le retour des données retraitées, et donc des enseignements chiffres, vers les équipes opérationnelles, est loin d’être fluide.

Un logiciel de Business Intelligence permet de diffuser simplement ses analyses et de collaborer plus efficacement avec les autres services de l’entreprise. Au bureau ou à distance, vous disposez en temps réel de toutes les informations nécessaires.

PME : le suivi de trésorerie peut vous aider face à ces 5 situations

La gestion de trésorerie, perçue à tort comme un sujet impropre à la création de valeur, est en réalité une thématique clé pour les PME. Les chiffres vont d’ailleurs dans ce sens : près de deux tiers des défaillances d’entreprise résultent d’une gestion inadaptée de la trésorerie ! Dès lors, le suivi, la prévision et l’optimisation de la trésorerie représentent des missions prioritaires. Nous nous intéressons ici aux difficultés rencontrées par les PME du fait d’un suivi inadapté de leur trésorerie.

N°1 – Le fonds de roulement

Le besoin en fonds de roulement est une matière mouvante. Peut-on être certain que ce BFR ne va pas évoluer d’ici 3 semaines, 3 mois, 6 mois ? Une variété de facteurs va peser sur ce BFR, et les ignorer en tant qu’indicateurs peut réellement poser des problèmes : il devient alors impossible d’identifier des leviers d’optimisation ou de créer des alertes. Vous ne voulez pas subir ce BFR, mais au contraire le maîtriser !

Plus qu’un tableur Excel chronophage, source d’erreurs, et ne fournissant pas de vision en temps réel, la digitalisation de la gestion de trésorerie offre ici une opportunité. Celle-ci va commencer par la synchronisation bancaire : la plateforme se connecte aux comptes bancaires, aux outils comptables et de facturation de la société. Résultat ? Vous profitez d’une vision claire de la trésorerie à jour. L’autre avantage de la digitalisation, c’est la catégorisation automatique des flux décaissement/encaissement, qu’ils soient monitorés par l’utilisateur ou ordonnés par des fonctionnalités automatisées. Enfin, autre facteur de gain de temps et d’aide à la décision, il est possible de disposer d’un comparatif de la position de trésorerie en temps réel avec le budget prévisionnel.

N°2 – La crise de croissance

Prenons l’exemple d’une PME qui gère bien ses finances, aux revenus modestes et réguliers, et qui voit son activité exploser du jour au lendemain. Pour répondre à la demande, elle va subitement investir, recruter et gonfler ses stocks. Problème : les recettes vont être bien inférieures aux dépenses à court terme – le temps de former les équipes et de bien commercialiser les nouveaux produits ou services.

Comment le suivi de trésorerie peut éviter ces écueils ?

D’abord, en amont ! En effet, l’activité explose, d’où l’impératif, pour le trésorier, de contrôler les risques sur le cash. Grâce à un outil de suivi, la direction financière définit ses KPIs clés et crée des alertes en cas de dépassement de seuils. Aussi, les tableaux de flux de trésorerie lui permettent d’avoir une vue claire sur l’évolution de sa position nette et de réaliser des prévisions pour anticiper les investissements. Enfin, elle peut facilement croiser les données de l’entreprise pour mener des analyses avancées et bénéficier d’une vue consolidée des comptes. La communication entre les métiers et la prise de décision est ainsi facilitée.

N°3 – Le déficit de rentabilité

La capacité de l’entreprise à générer une marge confortable est évidemment une donnée financière clé. La rentabilité peut être limitée ou négative (pertes) pour des raisons diverses et variées : charges d’exploitation trop élevées, stratégie de pricing inadéquate, dépenses marketing mal calibrées, etc. Toujours est-il qu’en cas de déficit de rentabilité, la trésorerie ne tient que sur un fil. Au moindre imprévu (retard de paiement d’un client, lente rotation des stocks), elle peut se retrouver à zéro !

Grâce à une solution de gestion, le trésorier est en mesure d’agir sur les différents cycles que sont les Achats, les Stocks et les Ventes. Sans devoir réaliser des analyses ponctuelles de chiffres issus de tableurs, il est directement alerté sur des positionnements de prix inadéquats ou des charges optimisables.

N°4 – Les délais de paiement excessifs

Dans le but de conserver de bonnes relations avec leurs partenaires, les entreprises accordent souvent des délais de paiement à leur clientèle. Cela n’est pas sans risques pour la trésorerie. Admettons qu’une PME bénéficie d’un délai de 30 jours pour payer son fournisseur, mais qu’elle ait aussi accordé à ses propres clients un délai de 45 jours pour encaisser leurs paiements : ce décalage de 15 jours, rattachable à la problématique des BFR, fera passer la trésorerie dans le négatif. Il revient donc au trésorier de surveiller ces différents flux et ainsi aider à optimiser les délais de paiement fournisseurs/clients pour qu’ils coïncident, l’objectif étant qu’il n’y ait pas de décalage de trésorerie.

N°5 – Les stocks surabondants 

La règle est simple : les stocks coûtent de l’argent à l’entreprise. Tout ce qui est immobilisé, non vendu, représente des investissements qui se déprécient avec le temps. A fortiori lorsque les biens sont périssables ou sujets à des effets de cycle (comme dans le prêt-à-porter). Pour le trésorier, l’objectif est donc de bien mesurer cette perte de valeur et de soutenir la supply-chain dans le choix des bonnes dates et quantités à commander. Une fois encore, l’utilisation d’un logiciel va faire gagner un temps important à la PME pour optimiser cette rotation des stocks. Elle pourra aussi prévoir des scénarios probables en fonction de l’évolution des données sectorielles de marché remontées vers la plateforme logicielle.

Une solution de Business Intelligence s’impose comme le compagnon idéal de la direction financière, qu’il s’agisse de suivi régulier de trésorerie, mais aussi et surtout de prévisions de trésorerie. Plus que la vue précise des flux de cash-flow, c’est bien la fiabilisation des prévisions budgétaires qui va permettre aux PME de bénéficier des moyens financiers de leur croissance à chaque instant.

Pour en savoir plus, cliquez ici

Report One obtient la certification Qualiopi

C’est après 2 jours d’audit, réalisé début décembre, que MyReport se voit obtenir le précieux sésame de la certification Qualiopi, au titre de la catégorie d’action : Actions de formation. On vous en dit en peu plus sur le sujet.

La certification Qualiopi, qu’est-ce que c’est ?

C’est une certification délivrée entre autres aux organismes de formation à la suite d’un audit très complet. Elle est devenue au 1er janvier « l’unique moyen d’accéder au fichier national des organismes référencés par les financeurs publics et paritaires en lieu et place du système de référencement mis en place avec la réforme de 2014 composé notamment du Datadock. »(1)

Les financeurs publics et paritaires sont les OPCO, Pôle emploi, la Caisse des Dépôts, les régions et les collectivités.

Quels sont les critères analysés lors de l’audit ?

7 critères sont pris en compte pendant l’audit, chaque critère prenant en compte plusieurs indicateurs d’appréciation. Les critères sont :

  • Les conditions d’information du public sur les prestations proposées, les délais pour y accéder et les résultats obtenus.
  • L’identification précise des objectifs des prestations proposées et l’adaptation de ces prestations aux publics bénéficiaires, lors de la conception des prestations.
  • L’adaptation aux publics bénéficiaires des prestations et des modalités d’accueil, d’accompagnement, de suivi et d’évaluation mises en œuvre.
  • L’adéquation des moyens pédagogies, techniques et d’encadrement aux prestations mises en œuvre.
  • La qualification et le développement des connaissances et compétences des personnels chargés de mettre en œuvre les prestations.
  • L’inscription de l’investissement du prestataire dans son environnement professionnel.
  • Le recueil et la prise en compte des appréciations et des réclamations formulées par les parties prenantes aux prestations délivrées.

Quels sont les avantages de la certification Qualiopi ?

Pour le client, c’est l’assurance de faire appel à un organisme qualifié délivrant des formations de qualité. De plus, cela lui permet de demander le financement public de sa formation.

Et pour nous, MyReport, c’est tout simplement un gage de la qualité de nos formations à mettre en avant auprès de nos clients et prospects. C’est la preuve de l’exigence que nous mettons dans l’élaboration, la réalisation et le suivi de nos formations.

(1) Source : https://qualiopi.certif-icpf.org/comprendre-qualiopi

Comment faire un bon reporting ?

Découvrez dans cet article les bonnes questions à se poser et les bonnes pratiques à suivre pour réaliser un reporting de qualité : quel est son objectif, à qui est-il destiné, quels indicateurs utiliser? 

En bonus : un modèle de reporting à télécharger à la fin de l’article ! 

Le reporting sert-il à rendre des comptes ? 

C’est le raccourci que font bon nombre de managers. Mais le reporting n’est pas que du « flicage ». Contrairement à cela, cet outil permet de mettre en exergue, sur une période donnée ou sur une activité en particulier, les éléments principaux qui vous permettront d’effectuer une analyse précise. Il doit être un guide, une inévitable pause temporelle, qui vous permet de prendre du recul sur les résultats passés. Notre nouveau produit s’est-il vendu à la hauteur de nos objectifs ? Quel segment de clientèle est le plus réceptif ? 

Au-delà de l’analyse et des enseignements qu’en fera le manager directement concerné (le directeur commercial ou marketing), le reporting a pour vocation d’informer sa hiérarchie, mais aussi d’autres services de l’entreprise, des résultats obtenus. 

Comment la masse salariale de mon entreprise a-t-elle évolué sur la période N-1/N ? 

« Que s’est-il passé ? Pour quelles raisons ? Quelles sont les prochaines étapes ? » Voilà des questions auxquelles tout reporting construit intelligemment se doit de répondre. Celui-ci nourrit les prises de décisions les plus stratégiques d’une entreprise et ne doit pas être négligé.  

Outil de réflexion, voire de décision, toute l’efficacité d’un reporting résidera dans une structuration claire, synthétique et cohérente des données chiffrées.  

Le reporting : l’outil d’excellence de la lisibilité des données  

Produire un reporting est un exercice périlleux qui commence par beaucoup de questionnements : 

  • Quel est l’objectif de mon reporting ? (exemple : savoir quelle est la zone géographique la plus dynamique en CA sur un produit donné pour définir les opérations commerciales à mener) 
  • Quelles données intégrer ? (exemple : le CA sur ce produit découpé par zone géographique, les budgets investis par zone en publicité, opérations commerciales…) 
  • Sur quelle période porte mon analyse ? Puis-je la comparer à une période antérieure ? etc. 

Une fois les questions posées et les réponses apportées, ce sera la concision de votre reporting qui importera. Pensez-vous que votre direction souhaite être submergée de données ? Pensez-vous qu’elle aura le temps de tout appréhender ? Aussi, pensez-vous que vous êtes le seul à lui faire votre reporting ? La réponse est non, c’est la raison pour laquelle vous devez être concis et proposer un visuel approprié pour apporter un maximum de lisibilité à votre reporting.  

Découvrez notre solution de pilotage et de reporting, MyReport, grâce auquel vous allez pouvoir, de manière simple et efficace, créer des KPI pertinents et compréhensibles par tous.   

Optez pour des éléments très visuels plus faciles à comprendre en survol qu’un long texte : des graphiques, des courbes, des cartes. Utilisez des couleurs pour mettre en exergue les éléments importants mais faites-le avec parcimonie. N’oubliez pas que si tout est en couleur, plus rien ne sera visible. (exemple : les chiffres sont accompagnés de visuels représentatifs). Un bon reporting doit tenir sur une feuille A4.  

“Allez à l’essentiel !

Pour réaliser un bon (très bon) reporting, privilégiez la qualité à la quantité. Mieux vaut choisir quelques indicateurs pertinents qui vous permettront de mettre en avant les Informations décisionnelles plutôt que de noyer vos lecteurs (collaborateurs ou direction) sous une masse d’informations. Pensez simple, votre reporting n’en sera que plus bref, concis et lisible.  

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Un bon suivi des KPI, pour qui ? 

Véritables outils d’aide à la décision, prenez un soin particulier à bien choisir vos indicateurs. Et pour les sélectionner, n’oubliez pas que ces derniers sont dépendants du public concerné.  

Pour chaque KPI, vous devez choisir la mise en forme qui vous semble la plus synthétique. 

Vous pouvez ainsi opter pour : 

  • La courbe pour démontrer une évolution, 
  • La jauge pour comparer un réalisé et un objectif, 
  • Le tableau pour donner une synthèse générale (avec des alertes de lecture pour mettre en avant des chiffres clés,…) 

Les indicateurs ne sont pas anodins et permettront d’appuyer clairement vos reportings. 

Parallèlement, il est essentiel de se poser une question : pour qui construisez-vous ce reporting : pour vous-même ? pour vos équipes ? pour votre direction ? pour d’autres services de l’entreprise ? En fonction des profils que vous adressez, les indicateurs à mettre en avant ne seront pas forcément les mêmes. Par exemple, le service financier sera sensible à la rentabilité d’un projet, au coût de la réalisation et aux bénéfices attendus alors que le service marketing sera, quant à lui, réceptif aux retombées du projet en termes de notoriété et de captation de parts de marché. 

« Si vous êtes amené à effectuer votre reporting de manière périodique, prenez soin de ne choisir que des indicateurs que vous pourrez suivre dans le temps. Un indicateur renseigné à intervalle régulier a plus d’utilité et d’impact que celui qui n’est présent que dans un reporting sur deux. A quoi bon faire des reportings si vous ne pouvez pas vous appuyer sur des éléments de comparaison d’un mois ou d’une année à l’autre ? » 

Si votre reporting est transverse et s’adresse à différents profils, n’oubliez pas de permettre son accès au plus grand nombre. Pour cela, il faudra alors mettre aux oubliettes la technicité et dire bonjour à la simplicité, afin de donner plus d’efficacité à vos reportings. Notons que la technicité est rarement efficace si vous souhaitez être compris de tous ! 

Quelques conseils pratiques pour un reporting réussi

Il est essentiel de mettre en pratique quelques règles pour mesurer et analyser la performance de votre reporting afin de ne pas manager à l’aveugle :

  • Intégrez des KPI permettant de mettre en place des actions précises. Vos prises de décisions doivent émanées de vos analyses.
  • Régulez le nombre de variables pour avoir un reporting
  • Prenez le temps d’analyser vos rapports et non plus 80% à les construire
  • Automatisez au maximum pour ne plus perdre de temps sur des actions à faible valeur ajoutée

Astuces :
D’un reporting à l’autre, choisissez des indicateurs et visuels similaires : ils deviendront le référentiel visuel de vos lecteurs.

Si vous souhaitez télécharger au format Excel un modèle de reporting, cliquez ici :

Hommage à Daniel Sancho

C’est avec beaucoup de tristesse que nous vous annonçons le décès de notre collègue et ami Daniel Sancho, Directeur des Supports de Report One.

Engagé auprès de Report One depuis plus de 10 ans, Daniel a toujours été un soutien sans faille pour son équipe et la direction, autant par ses compétences techniques très larges que par ses qualités humaines. Sa grande bienveillance, son respect pour chacun, son optimisme et la sérénité qu’il amenait quelle que soit la situation nous manquent déjà. Daniel laissera inévitablement un grand vide chez Report One.

Nous mobiliserons toutes nos forces pour que les projets mis en place avec succès par Daniel continuent à porter leurs fruits. Daniel était très attaché au développement de Report One, qu’il appelait sa « deuxième famille » : nous ferons en sorte d’être à la hauteur de ses ambitions.

Enfin, nous nous joignons dans la tristesse à toute sa famille, ses proches et celles et ceux qui ont eu la chance de le connaître. Nous leur présentons nos plus sincères condoléances.

Que son âme repose en paix.

T. Chesné, T. Luthi, J. Hauben, M. Bellanger, J.B. Mérel, J. Doyen, F. Simon, P. Delanoe

Quels sont les principaux outils de pilotage de la performance

Vous êtes sans aucun doute confronté à de nombreux défis dans votre entreprise. L’un des plus critiques est la capacité à piloter efficacement votre activité pour assurer sa pérennité et sa croissance. Le travail de planification est essentiel pour éviter les écueils, et dans ce contexte, les outils de pilotage s’avèrent être une ressource précieuse. Nous allons explorer en détail ce qu’ils sont, pourquoi ils sont essentiels pour les PME, et comment MyReport peut transformer votre quotidien de travail. Vous verrez que les outils de pilotage sont devenus indispensables pour prendre des décisions éclairées, suivre l’évolution de votre activité et anticiper les tendances.

Les outils de pilotage : qu’est-ce que c’est ?

Les outils de pilotage sont des applications ou programmes informatiques qui vous aident à mesurer, analyser et gérer vos performances. Ils permettent de rassembler des données provenant de diverses sources, de les analyser et de les restituer sous une forme compréhensible pour orienter l’action à entreprendre. Voici quelques-unes des étapes clés de leurs fonctionnalités.

Collecte et centralisation des données

La première action principale réalisée par ces outils est la collecte des données. Ces données peuvent provenir de nombreuses sources : ERP, CRM, tableaux Excel, bases de données internes, etc. Une fois collectées, elles sont centralisées dans un entrepôt de données unique, offrant ainsi une vision globale et cohérente des activités de votre entreprise.

Restitution et visualisation des données

Après la collecte des données, les outils de pilotage les restituent sous forme de rapports et visualisations graphiques. Cela peut inclure des rendus liés aux performances métiers, des tendances, et des comparaisons. Ces informations permettent d’orienter l’action de planification future en fonction des observations tirées des données.

Aide à la décision

Les outils de pilotage fournissent des indicateurs de performance clés (KPI) qui permettent aux dirigeants de prendre des décisions éclairées. Ces indicateurs peuvent même être utilisés pour simuler des scénarios hypothétiques et évaluer leur effet potentiel sur l’entreprise. Ils permettent également de tester diverses actions et d’évaluer leur efficacité avant implémentation.

Outils de pilotage : bénéfices et choix

Gain de temps et d’efficacité

Les outils de pilotage automatisent le travail de collecte et de restitution des données, un atout considérable pour améliorer la productivité des équipes et mieux répartir le travail. Grâce à cette automatisation, les responsables et dirigeants peuvent se concentrer sur des actions stratégiques à plus grande valeur ajoutée, telles que la planification de la croissance et l’optimisation des processus.

Prise de décision sereine

Avec des données précises et actualisées, le processus décisionnel devient plus serein. Les outils de pilotage réduisent les risques d’erreurs humaines, garantissent des informations fiables et facilitent la planification des actions futures. Cela permet de minimiser les risques d’un mauvais effet boule de neige suite à des décisions mal orientées.

Gouvernance et conformité

Pour toute entreprise, il est crucial de respecter les réglementations en vigueur, que ce soit en matière de comptabilité, de fiscalité, ou de protection des données personnelles. Les outils de pilotage aident à garantir que toutes les données sont tracées, sécurisées, conformes et prêtes à être utilisées pour prendre une action en accord avec les exigences légales.

Choisir un outil de pilotage de la performance pour votre entreprise 

Diriger une entreprise exige le travail de la mise en place d’un outil de pilotage de la performance qui soit capable de suivre l’atteinte des objectifs et aider à ajuster les décisions en conséquence. Aujourd’hui, des solutions de BI (Business Intelligence) telles que MyReport s’imposent pour collecter et restituer en temps réel les données importantes.

Le tableau de bord : un outil central pour tout projet

Le tableau de bord reste l’outil le plus polyvalent pour piloter l’action et l’efficacité de votre entreprise au quotidien. MyReport permet à toutes les équipes de personnaliser ces tableaux pour suivre précisément des indicateurs de performance comme le chiffre d’affaires, la marge ou les niveaux de stock, permettant ainsi une visualisation claire pour tous les métiers de l’entreprise.

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MyReport, un outil de pilotage au service des PME 

MyReport offre une solution complète dédiée à la collecte, l’analyse et la diffusion des data importantes de l’entreprise. C’est pourquoi il est largement utilisé par différentes équipes projets et métiers pour leur travail quotidien.

Intégration fluide avec les autres outils

MyReport s’intègre facilement avec des ERP, CRM, fichiers Excel et autres bases de données. Cela permet à chaque métier de l’entreprise d’agréger des informations éparpillées et d’obtenir une vue d’ensemble fiable. Même les DSI peuvent tirer parti de l’offre intégrée pour une gestion proactive des systèmes d’information.

L’outil parfait pour les dirigeants d’entreprise

Les dirigeants d’entreprise sont confrontés à des décisions stratégiques clés qui peuvent avoir un effet déterminant sur la croissance et la performance générale de leur organisation. La planification stratégique est au cœur de leur travail et nécessite une vue d’ensemble précise et en temps réel des indicateurs de performance. Les outils de pilotage comme MyReport permettent aux dirigeants de centraliser les data provenant des différents métiers de l’entreprise, et de suivre l’évolution des objectifs efficacement. En offrant des tableaux de bord personnalisés et une visualisation claire des informations stratégiques, ces outils facilitent la prise de décisions éclairées et la gestion proactive des ressources. MyReport devient ainsi un allié essentiel pour anticiper les tendances du marché, évaluer rapidement l’impact des actions envisagées et ajuster la stratégie en conséquence.

Facilité de mise en œuvre

Un des principaux avantages de MyReport est sa capacité à être déployé sans grande complexité, sans nécessiter une formation ou des compétences techniques étendues. Cela permet aux équipes de se concentrer rapidement sur l’analyse des performances sans perdre de temps à maîtriser des outils complexes.

Support et formation

MyReport ne laisse pas ses utilisateurs seuls. Outre une prise en main simple, la solution offre un support complet et des formations adaptées pour optimiser l’utilisation de l’outil par les différents métiers. Les DSI et les dirigeants bénéficient ainsi d’un accompagnement dans toutes les étapes de leur projet de transformation numérique via MyReport.

Nos clients vous en parlent

Le directeur administratif et financier du groupe Verdié Voyages nous confie : “J’ai une vue à 360° sur les performances métiers car nous avons accès à l’ensemble des données de la société de manière simple et rapide.”

L’IT Finance Data Manager de Deezer évoque ces mots lorsqu’il parle de MyReport : “Utiliser MyReport nécessite peu de compétences techniques avancées. Le fait de travailler sous Excel en lien direct avec nos données est un vrai avantage.”

Le contrôleur financier de la Fondation Mérieux nous indique que “Nous avons économisé une semaine par trimestre en produisant beaucoup plus d’informations et nous créons de nouveaux axes d’analyse grâce à MyReport. La rapidité d’obtention des données et l’autonomie des collaborateurs ont surpris notre hiérarchie.”

Le responsable SI de Plasson nous avoue que “C’est un gain de temps phénoménal d’avoir une solution qui permet de construire des rapports cohérents en termes de résultats plutôt que sortir des fichiers des logiciels métiers et de faire des croisements manuellement dans Excel.”

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Les outils de pilotage de la performance, tels que MyReport, sont incontournables pour anticiper les évolutions de votre entreprise et réussir chaque projet avec méthode. Qu’il s’agisse de mieux coordonner les équipes ou de faciliter la planification de l’action, ces outils permettent aux dirigeants et aux DSI d’obtenir des informations facilement exploitables.

Investir dans un outil comme MyReport, c’est non seulement améliorer la transparence des opérations, mais aussi garantir que chaque effet de vos décisions est mesuré et optimisé pour le succès futur.

L’utilisation d’un outil de pilotage comme MyReport facilite grandement le planning des actions à mener, en offrant aux dirigeants une vision claire et en temps réel des performances de l’entreprise, permettant ainsi d’ajuster les stratégies et d’optimiser la répartition des ressources.

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Comment réaliser un tableau de bord commercial ?

Pourquoi et comment créer un tableau de bord commercial ? 

Un tableau de bord commercial est un document qui permet de suivre l’évolution de l’activité commerciale au regard des objectifs fixés. Il n’est pas un simple outil de reporting et d’évaluation des performances, il est aussi un outil d’aide à la décision. Parce qu’il présente de façon graphique des données chiffrées, il vous permet d’identifier rapidement les écarts et de mettre en place des actions correctives. 

Les objectifs du tableau de bord commercial 

Tout tableau de bord commercial possède deux objectifs : 

  • Un objectif de reporting qui permet de connaître les performances commerciales sur une période définie. Vous vous appuierez alors sur les indicateurs de performance tels que le nombre de clients et de prospects, le chiffre d’affaires, sa ventilation par produit, par zone géographique ou par commercial, la marge réalisée par rapport à la marge prévue, l’indice de satisfaction des clients, le nombre de réclamations… 
  • Un objectif de pilotage qui permet de se projeter et d’organiser les équipes en conséquence. 

Pour atteindre ces deux objectifs, votre tableau de bord de bord commercial doit être lisible, présenter en couleurs vos indicateurs clés de façon synthétique, grâce à des graphiques, des courbes, des camemberts, et des cartes. 

Comment créer un tableau de bord efficace ? 

En raison du risque d’erreur, Excel n’est certainement pas le meilleur outil pour votre reporting commercial. Report One propose aux PME une solution de business intelligence baptisée MyReport pour maîtriser vos données et prendre de meilleures décisions. Un module de datavisualisation vous permet de produire vos tableaux de bord de manière graphique et de les partager avec vos collaborateurs. À tout moment et depuis n’importe quel device, vous avez accès à vos données et vous pouvez paramétrer des alertes pour prévenir d’événements particuliers sur les indicateurs critiques. 

Quels sont les indicateurs commerciaux à suivre ?

Le pilotage de l’activité commerciale se concentre en général sur deux dimensions :

  • Les ventes globales,
  • Les performances des commerciaux

Dans les deux cas, nous vous préconisons de choisir des indicateurs :

  • Limités en nombre pour avoir un tableau de bord lisible
  • Evolutifs pour s’adapter aux priorités de l’entreprise
  • Clairs et suivis pour que les bonnes décisions soient prises

Parmi les indicateurs clés à suivre :

  • Le chiffre d’affaires
  • Le panier moyen
  • la marge dégagée…

Pour en savoir plus sur la data visualisation avec MyReport et, comment mettre en place des tableaux de bord au sein de votre entreprise, visionnez la vidéo ci dessous.

Report One s’engage aux côtés de l’association Ocean As Common !

Report One mécène de l’association Ocean As Common   

Report One est heureux de devenir officiellement mécène de l’association Ocean As Common dans une logique de responsabilité sociétale de l’entreprise. Ce partenariat avec Ocean As Common a pour but de créer une initiative d’entreprise ainsi qu’une responsabilité citoyenne de nos collaborateurs soucieux des répercussions de l’activité humaine sur l’environnement.  

Nous avons posé quelques questions à Julian Stone qui est manager des opérations dans l’association :  

Julian, pourriez-vous nous expliquer ce qu’est Ocean As Common et quelle est son ambition ?  

“Ocean As Common est une association engagée dans la préservation et la régénération de l’Océan. Elle a été créée par Catherine Chabaud – navigatrice et députée européenne, et Eudes Riblier – Président de l’Institut Français de la Mer.  

L’idée fondatrice d’Ocean As Common est l’Appel « Océan bien commun de l’humanité ». Selon nous, l’Océan doit être considéré comme un « bienfait commun : un bienfait qui bénéficie à tous, dont nul ne peut être privé et dont chacun est garant. » Cette idée implique donc la responsabilité individuelle et collective, pour protéger ce trésor. C’est pourquoi les missions principales de l’association sont la sensibilisation, et le soutien financier des actions sur le terrain.  

Notre but est de créer un mouvement pour la restauration de la biodiversité, notamment pour les écosystèmes aquatiques. Nous souhaitons sensibiliser le plus grand nombre, par le biais des entreprises en sensibilisant les collaborateurs.” 

Quels sont les projets proposés par Ocean As Common ?  

“Nous avons lancé le programme ReGeneration qui comporte 4 grands projets pour l’année 2022 : 

  • Restauration d’un récif de corail sur l’île de la Réunion 
  • Construction de radeaux végétalisés en ville  
  • Restauration de récifs d’huitres plates en Bretagne 
  • Restauration de gorgones, les coraux de la Méditerranée  

Le premier projet consiste à restaurer les récifs coraliens et la biodiversité de la Réunion

Pourquoi ?

La Réunion abrite des récifs magnifiques, dont la résilience peut nous laisser espérer un retour de la biodiversité. Il est nécessaire de les protéger !  

À quoi servent les coraux ?  

  • Ce sont des puits de biodiversité : ils abritent une multitude d’espèces de poissons ! 
  • Ils nourrissent et font vivre : 500 millions de personnes dépendent des récifs coralliens pour se nourrir et garantir une source de revenue stable 
  • Ils ont une croissance fulgurante, et permettent de sensibiliser les populations locales 
  • Ils protègent des évènements extrêmes dus au changement climatique 
  • Ils sont une source de médicaments actuels et futur 
  • Ce sont des lieux de tourismes, qui soutiennent les économies locales 

Le deuxième projet a pour objectif de faire revenir la nature en ville grâce à des radeaux végétalisés

Pourquoi ?

Les radeaux végétalisés vont permettre de réintroduire de la biodiversité en ville mais aussi de refaire découvrir la nature à ses habitants.  

À quoi servent les radeaux ?  

  • Bien que petits de surfaces, les radeaux permettent le retour en quelques mois de plantes et d’espèces natives, mais aussi d’animaux ! 
  • Ils sont une source de sensibilisation et d’éducation à l’écologie, de par la densité de leurs espèces, de la faune, et de la flore aquatiques et de surface. 
  • Ils jouent un rôle dans l’atténuation du changement climatique : les plantes contribuent à l’absorption de C0² et permettent de faire baisser les températures environnantes 
  • Ils sont importants pour la qualité de l’eau : certaines plantes ont des qualités de filtration de l’eau. 

Le troisième projet que propose Ocean As Common est de régénérer des récifs d’huîtres plates.  

Pourquoi ?

Les huîtres plates sont essentiels à nos écosystèmes côtiers, on les appelle des « ingénieurs » écologiques.  

À quoi servent les huîtres plates ?  

  • Les récifs d’huîtres, ou plutôt « forêts-récifs », sont des zones extrêmement riches en biodiversité : de nombreux invertébrés s’y reproduisent et y trouvent refuge, des algues colonisent les récifs, et ce sont aussi des nurseries pour des seiches ! 
  • Une huître adulte clarifie 5L d’eau en 1h, les récifs filtrent donc les eaux douces qui plongent dans la mer et améliorent la qualité de l’eau ! 
  • L’impact durable de l’espèce sur la biodiversité en fait une « championne » sur laquelle il est facile de communiquer 
  • Régénérer les huîtres, c’est un moyen d’augmenter la résilience des écosystèmes mais aussi de lutter contre l’érosion des côtes 
  • Redonner sa place à l’huître plate en Bretagne, c’est accroître l’activité économique locale et investir dans les patrimoines historiques, culinaires et naturels français 
  • Investir dans la restauration des huîtres plates, c’est innover : vous contribuez à créer une méthode efficace de régénération 

Enfin le dernier projet consiste à restaurer des gorgones, qui sont des coraux de la Méditerranée.  

Pourquoi ?

Les gorgones sont indispensables à l’écosystème local.  

À quoi servent les gorgones ?  

  • Elles colonisent des tombants rocheux, points de biodiversité qui servent d’habitats aux espèces de poissons environnantes 
  • Elles revivent en quelques mois : elles permettent de sensibiliser les populations côtières au patrimoine naturel de la région 
  • Replanter des Gorgones, c’est rendre les écosystèmes marins locaux plus résilients” 

Report One s’associe donc à Ocean as Commun pour être acteur dans la protection des océans mais aussi pour sensibiliser ses collaborateurs à ce bien commun qui est l’océan.  

Résultats de MyReport – BI Survey 2022

L’enquête BI Survey, réalisée par le cabinet indépendant BARC, est l’une des enquêtes les plus complètes au monde avec 2 478 répondants. Son objectif : examiner les comportements des utilisateurs vis-à-vis du choix et de l’utilisation de leur solution de BI grâce à 36 critères tels que la réussite du projet, les recommandations, l’expérience client, la compétitivité, etc.  

Cette année, MyReport a été positionnée dans 3 groupes de produits : « Produits axés sur les tableaux de bord », « Spécialistes de la BI & de l’analytique » et « Produits dédiés aux PME ».

MyReport remporte la 1ère place dans la catégorie Facilité d’usage !  

Cette année, comme en 2019, MyReport décroche fièrement la première place du classement devant l’ensemble des autres solutions de BI présentes dans l’enquête. Ce résultat traduit parfaitement notre volonté de proposer un logiciel facile d’accès mais aussi abordable pour les PME. MyReport obtient donc la note maximale de 10/10. Un utilisateur témoigne sur ce point : « Ce qui me plait le plus, c’est la simplicité de l’outil, que ce soit sur la partie ETL ou la partie création de dashboard ».  

2,5 mois pour déployer intégralement la solution au sein d’une entreprise

MyReport obtient une des meilleures notes de l’enquête dans la catégorie Durée du projet, ce qui en fait l’un des produits le plus rapidement mis en place dans les entreprises. Cela est évidemment possible grâce à nos nombreux partenaires qui mettent leur expertise et leur expérience au service de leur clients, que ce soit sur l’intégration ou la gestion des données. De plus, nous mettons un point d’honneur à créer des modules simples, y compris pour la partie intégration et administration de la donnée. Un utilisateur témoigne : « Les avantages de MyReport : la performance des ETL et sa rapidité de mise en œuvre ».  

D’excellents résultats sur la partie satisfaction de la performance  

La BI Survey classe MyReport à la deuxième place de la catégorie Satisfaction de la performance avec un très beau 9,9/10. La mesure de cette catégorie est basée sur la fréquence des réclamations concernant le niveau de performance des requêtes du produit.

56% des clients MyReport ont indiqué n’avoir jamais rencontré de problèmes sérieux avec le logiciel alors que seulement 3% des utilisateurs ont rencontré des difficultés concernant la performance des requêtes, ce qui est bien inférieur à la moyenne de l’enquête qui est de 15%. « Ce produit nous donne entière satisfaction à ce jour » rapporte un utilisateur.  

Un produit qui remporte l’adhésion générale

D’après la BI Survey, MyReport a un excellent taux de compétitivité. Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout simplement que lorsqu’une entreprise découvre MyReport, elle est la plupart du temps amenée à acheter le produit par la suite. Ce qui la convainc ? La simplicité d’usage du produit, mais également la combinaison de son prix attractif ainsi de son environnement Excel, évidemment très familier des collaborateurs.

On en pense quoi chez Report One ?  

BARC étant l’un des principaux cabinets d’études indépendants en matière d’enquêtes sur des solutions de BI, il nous semblait important de faire partie du panel de produits analysés. C’est pour nous l’occasion de nous comparer face à d’autres solutions de BI mais également de recueillir de précieuses informations telles que les avis des utilisateurs MyReport et les analyses des experts BARC. Et cela évidemment pour nous apporter le recul nécessaire sur notre solution vis-à-vis du marché !   

De manière générale, nous pouvons dire que cette enquête de la BI Survey nous conforte dans ce que nous estimons être notre principale valeur ajoutée : la simplicité d’usage. Cela met en avant tout le travail fournit par les équipes Report One afin de proposer la meilleure expérience utilisateur possible à nos clients. Et cela traduit parfaitement notre ambition, à savoir démystifier la BI pour les PME !