Comment faire l’analyse de la structure financière de votre entreprise ?

L’analyse de la structure financière d’une entreprise permet d’évaluer la solidité de ses bases économiques ainsi que sa capacité à financer ses activités et sa croissance. Cette démarche essentielle pour les dirigeants et responsables financiers mesure l’équilibre entre les ressources financières (capitaux propres, dettes) et les emplois (actif immobilisé, actif circulant). Elle inclut notamment le calcul des indicateurs financiers clés et l’analyse des états financiers de l’entreprise. À partir de ce bilan, exploitez ces données et optimisez vos prises de décision grâce à MyReport, outil de Business Intelligence à destination des PME.

Comprendre ce qu’est la structure financière : un équilibre entre dettes et ressources

La structure financière d’une entreprise représente la façon dont elle est financée, tel que cela apparaît dans le bilan comptable. Elle combine les dettes et le capital-actions. Elle se compose de deux parties :  

  • Le passif recense les ressources financières de l’entreprise : capitaux propres, dettes financières (emprunts) et dettes d’exploitation (fournisseurs, fiscales et sociales). 
  • L’actif correspond au patrimoine de l’entreprise : on distingue l’actif immobilisé (bâtiments, matériel, brevet, etc.) et l’actif circulant (stocks, créances clients, trésorerie notamment).  

Un bilan équilibré suppose que les emplois à long terme (actifs immobilisés) soient financés par des ressources stables (capitaux propres et dettes long terme), tandis que les actifs circulants (stocks, créances, trésorerie) sont couverts par des ressources de court terme (passif circulant). Cet équilibre est un gage de solidité financière. 

L’analyse de la structure financière d’une entreprise permet de répondre à plusieurs questions : 

  • Quelle est la part d’endettement par rapport aux capitaux propres ? 
  • L’entreprise dispose-t-elle de ressources stables suffisantes pour financer ses investissements et son activité ? 
  • Quelle est la marge de manœuvre financière pour développer l’entreprise ? 

Une bonne structure financière est synonyme de pérennité, de capacité à investir et à faire face aux aléas économiques. Un déséquilibre, à l’inverse, peut limiter la capacité d’emprunt et rendre l’entreprise vulnérable. 

Analyser les indicateurs et ratios financiers essentiels pour un diagnostic complet

Pour effectuer l’analyse de la structure financière, on s’intéresse à plusieurs indicateurs et ratios financiers extraits du bilan de l’entreprise.  

Le fonds de roulement net global (FRNG)

Le fonds de roulement représente l’excédent des ressources stables (capitaux propres + dettes long terme) par rapport aux emplois stables (immobilisations).  

Formules :  

  • FRNG = Capitaux permanents – Actifs immobilisés  
  • FRNG = Actif circulant – Passif circulant  

À retenir : un fonds de roulement positif signifie que l’entreprise peut financer son exploitation sans puiser dans des ressources de court terme.

Le besoin en fonds de roulement (BFR)

Le BFR reflète les besoins financiers nécessaires pour financer le cycle d’exploitation (stocks, créances clients, dettes fournisseurs) de l’entreprise.  

Formule : BFR = Actifs circulants – Passifs circulants d’exploitation 

À retenir : un BFR élevé peut alerter sur des retards de paiement clients ou une mauvaise gestion des stocks. Un suivi régulier via des outils comme MyReport permet de réagir rapidement. 

La trésorerie nette

La trésorerie nette représente l’ensemble des sommes d’argent mobilisables à court terme par une entreprise. Elle mesure la liquidité immédiate.  

Formule : Trésorerie nette = FRNG – BFR 

À retenir : une trésorerie nette positive signifie que l’entreprise dispose de ressources disponibles pour ses besoins immédiats. 

Le ratio d’endettement

Le ratio d’endettement calcule le niveau d’endettement d’une entreprise par rapport à ses capitaux propres. Il évalue ainsi la dépendance financière vis-à-vis des créanciers et la capacité de l’entreprise à honorer ses obligations financières. C’est une clé d’analyse incontournable de solvabilité. 

Formule : Dettes financières / Capitaux propres 

À retenir : puisque ce ratio mesure la dépendance aux financements externes, un chiffre faible est bon signe car il traduit une bonne santé financière. Cependant, trop peu de dettes peut indiquer que l’entreprise n’investit pas assez ou ne profite pas de l’effet de levier de l’endettement.

Diagnostiquer la santé financière de l’entreprise : une vision globale 

Analyser la structure financière ne se limite pas aux chiffres isolés. Afin d’offrir une vision d’ensemble de la situation économique, il faut croiser les indicateurs précédemment évoqués et de nombreux autres comme l’excédent brut d’exploitation ou EBE, la capacité d’autofinancement ou CAF, ou encore la marge commerciale.  

Tous ces ratios et indicateurs peuvent être intégrés dans les tableaux de bord automatisés MyReport, pour un suivi en temps réel et fiable. Vous pouvez ainsi appréhender :  

  • La croissance du chiffre d’affaires et la stabilité des marges ; 
  • La capacité de l’entreprise à générer du résultat net ; 
  • Le poids des charges financières par rapport au chiffre d’affaires ; 
  • La solvabilité, c’est-à-dire l’équilibre entre capitaux propres et dettes ; 
  • La rentabilité de l’entreprise ; 
  • La liquidité immédiate pour faire face aux dépenses imprévues. 

Un tableau de bord clair et visuel, mis à jour automatiquement, facilite ce travail et permet de mieux communiquer les résultats financiers aux dirigeants et investisseurs. 

Pourquoi utiliser une solution de Business Intelligence comme MyReport ?

L’analyse de la structure financière est un travail chronophage, surtout quand les données viennent de différentes sources (comptabilité, ERP, outils RH, etc.). En intégrant la solution MyReport dans votre entreprise, les DAF (directeurs administratifs et financiers) et dirigeants peuvent : 

  • Centraliser toutes les données des outils-métiers ; 
  • Automatiser les calculs des ratios et indicateurs ; 
  • Visualiser ces données à travers des tableaux de bord clairs, lisibles et personnalisables ; 
  • Automatiser le reporting ; 
  • Partager des insights accessibles aux partenaires financiers et investisseurs grâce à la datavisualisation. 

Analyser sa structure financière, c’est préserver la solidité de son entreprise, sécuriser sa trésorerie et préparer l’avenir. MyReport est un allié de choix pour automatiser cette analyse, gagner du temps et piloter votre société en toute sérénité.  

Envie de visualiser concrètement vos indicateurs financiers en un clic ? Demandez une démo gratuite de MyReport et transformez vos données en levier de performance. 

Comment les outils de Business intelligence (BI) peuvent-ils aider à la prévision financière ?

Dans un contexte économique en constante évolution, les entreprises doivent anticiper leurs besoins financiers avec précision pour assurer leur stabilité et leur croissance. Pour y parvenir, elles ont tout intérêt à miser sur des outils de Business Intelligence financiers. Et pour cause, les outils de Business intelligence fournissent aux responsables et directeurs administratifs et financiers (RAF et DAF) des clés pour relever les défis de la data analyse en finance en leur permettant notamment :  

  • De mieux comprendre les tendances du marché 
  • D’optimiser leur trésorerie  
  • D’affiner leurs stratégies d’investissement 

La Business intelligence en finance : une révolution dans la gestion financière

La Business intelligence (BI) désigne l’ensemble des outils et processus permettant de collecter, analyser et visualiser des données afin de faciliter la prise de décision. En finance, ces outils sont essentiels pour comprendre les flux de trésorerie, identifier les tendances du marché et anticiper les performances futures​.  

Les solutions de Business intelligence spécialisées dans l’analyse financière, à l’image de MyReport, reposent sur plusieurs grands piliers. 

Des outils qui centralisent les données financières

Pour réaliser leurs analyses et leurs prévisions financières, les RAF et les DAF doivent être en mesure d’exploiter des informations provenant de différentes sources : ERP, CRM, outils comptables, données de marché… Une solution de Business intelligence efficace doit donc permettre d’automatiser la collecte, la structuration, le stockage et la sécurisation de toutes ces données au sein d’un seul référentiel fiable.  

En plus de garantir des gains de temps considérables, cette automatisation améliore également la qualité des données. Les solutions de BI effectuent des contrôles de cohérence, suppriment les doublons et assurent l’intégrité des informations utilisées pour les analyses et les prévisions. 

Création et automatisation de reportings et de tableaux de bord

Les outils Business intelligence doivent aussi permettre aux entreprises d’automatiser la création de reportings financiers et de tableaux de bord afin de gagner en efficacité et en précision. Plutôt que de manipuler des fichiers Excel, les responsables financiers peuvent exploiter des outils comme MyReport pour regrouper les données issues de différentes sources et automatiser la production de rapports financiers de façon quotidienne, hebdomadaire ou encore mensuelle. Ils peuvent aussi avoir accès en temps réel à des tableaux de bord présentant les indicateurs de performance les plus pertinents pour suivre l’activité de l’entreprise au quotidien. 

L’automatisation réduit ainsi le risque d’erreurs, améliore la fiabilité des indicateurs et permet aux décideurs d’accéder rapidement aux informations essentielles pour piloter la performance financière de leur entreprise. 

À noter que les outils de Business intelligence intègrent le plus souvent de la data visualisation dans les reportings et les tableaux de bord. La data visualisation transforme des données complexes en représentations graphiques claires et intuitives. La data visualisation permet donc de rendre l’information accessible en un coup d’œil, améliorant ainsi le pilotage financier et la réactivité face aux évolutions du marché. 

Amélioration de la collaboration et transparence financière

Entre les différents services d’une entreprise, la collaboration peut être facilitée grâce à la BI. En effet, la finance ne fonctionne pas en silo : les décisions prises doivent être alignées avec les objectifs commerciaux, les contraintes opérationnelles et les impératifs stratégiques​. 

La BI au service de l’analyse prédictive

Enfin, la plupart des outils de BI intègrent des algorithmes avancés capables de modéliser des scénarios financiers et d’anticiper les variations du marché​. Ils sont ainsi très utiles pour réaliser des analyses prédictives fiables en agrégeant des données historiques et en les croisant avec des indicateurs économiques plus récents. 

Exploiter les outils de BI pour maîtriser sa trésorerie et ses investissements

Outre l’anticipation des tendances du marché, l’un des enjeux prédictifs clés pour les responsables financiers réside dans la capacité à anticiper les besoins de liquidités et les fluctuations de trésorerie. Ici encore, les outils de Business intelligence en finance comme MyReport sont en mesure d’apporter des réponses en permettant :  

  • De surveiller les flux de trésorerie grâce à des reportings et des tableaux de bord accessibles en temps réel. En suivant les encaissements et décaissements, il est possible d’identifier les retards de paiement et d’optimiser le recouvrement​. 
  • De créer des scénarios financiers en simulant différentes hypothèses (croissance des ventes, évolution des coûts, impact des variations de taux d’intérêt) et d’évaluer leurs conséquences sur la trésorerie. 
  • D’optimiser les investissements en analysant la rentabilité des projets et en comparant différentes stratégies. Les solutions de BI aident ainsi les RAF et DAF à prendre des décisions éclairées sur les allocations de ressources​. 

La Business intelligence en finance transforme radicalement la manière dont les entreprises anticipent leurs besoins financiers et optimisent leur gestion de trésorerie. En automatisant la collecte et l’analyse des données et en améliorant la qualité des prévisions, la BI contribue à une approche plus efficace et proactive de la gestion financière. 

Avec MyReport, les entreprises disposent d’un outil puissant pour analyser leurs flux financiers, modéliser des scénarios et prendre des décisions stratégiques éclairées. Dans un monde où l’anticipation et l’agilité sont essentielles, une solution de Business intelligence financière comme MyReport s’impose donc comme un levier incontournable pour assurer la pérennité et la croissance des entreprises​. 

Comment construire un tableau de bord financier ?

Le tableau de bord financier est un outil précieux pour les Directeurs Administratifs et Financiers (DAF) et les contrôleurs de gestion. Il permet de suivre les performances financières d’une entreprise, d’optimiser la gestion des ressources et de faciliter la prise de décision. En effet, grâce à cet outil, les DAF peuvent surveiller en temps réel leurs indicateurs de performance clés et ajuster la stratégie de l’entreprise en fonction des évolutions du marché et des objectifs fixés. 

Toutefois, si de bons tableaux de bord financiers sont primordiaux pour les DAF et les contrôleurs de gestion, encore faut-il être capable de les construire. C’est pourquoi MyReport, solution de Business Intelligence et de reporting spécialisée dans la finance, vous présente les étapes essentielles à la construction de tableaux de bord financiers, les indicateurs de performance clés qui doivent y figurer, ainsi que des outils modernes qui facilitent leur création et l’analyse des données.

Qu’est-ce qu’un tableau de bord financier ?

Un tableau de bord financier est un outil de pilotage d’entreprise qui synthétise et présente les données financières sous forme de graphiques et d’indicateurs clés de performance (KPI). Il permet aux décideurs d’avoir une vision claire de la situation financière de l’entreprise et de réagir rapidement en cas de besoin. 

Il se distingue du reporting financier, qui consiste en une analyse plus détaillée et statique des résultats de l’entreprise sur une période donnée. Le tableau de bord, quant à lui, permet un suivi dynamique et en temps réel des indicateurs de trésorerie, de rentabilité ou encore de coûts. 

Pourquoi les tableaux de bord financiers sont indispensables aux entreprises ?

Pour assurer la santé économique de l’entreprise, les DAF et les contrôleurs de gestion doivent suivre de nombreux éléments financiers. Un tableau de bord bien conçu doit donc leur permettre de : 

  • Gagner du temps en regroupant toutes les données financières en un seul endroit 
  • Prendre des décisions éclairées en analysant des indicateurs précis et actualisés 
  • Anticiper les risques financiers en surveillant la trésorerie et les flux de revenus/dépenses 
  • Améliorer la rentabilité en identifiant rapidement les coûts excessifs ou les opportunités d’optimisation 

Les étapes pour construire un tableau de bord financier

1. Définir les objectifs de l’entreprise

Avant de créer un tableau de bord, il est crucial de déterminer les objectifs financiers de l’entreprise et de les classer par ordre de priorité. Ces objectifs peuvent être : 

  • D’assurer une bonne gestion de la trésorerie 
  • D’optimiser la rentabilité 
  • De réduire les coûts 
  • D’améliorer le suivi des paiements clients 
  • … 

2. Sélectionner les bons KPI financiers

Une fois les objectifs définis, il faut sélectionner des indicateurs de performance clés (KPI) les plus adaptés pour les illustrer. Les KPI sont les éléments fondamentaux du tableau de bord financier, car ils permettent de suivre les performances de l’entreprise en temps réel et de constater si ces dernières sont bien alignées sur les objectifs fixés.  

Parmi les principaux KPI à surveiller en finance, on retrouve : 

  • Le chiffre d’affaires qui illustre l’évolution des revenus de l’entreprise
  • La marge bénéficiaire : un indicateur clé de rentabilité
  • La trésorerie disponible qui donne une vision claire de la liquidité de l’entreprise
  • Le besoin en fonds de roulement (BFR) qui sert à gérer les flux financiers et à éviter les tensions de trésorerie
  • Le ratio d’endettement qui permet d’évaluer la structure financière et la capacité de remboursement de l’entreprise
  • Les coûts des ventes et les charges fixes qui permettent d’optimiser les dépenses et d’identifier les postes de coûts importants

Ces indicateurs financiers doivent être mis à jour régulièrement pour garantir un suivi précis de la santé financière de l’entreprise.

3. Collecter et structurer les données financières

Un tableau de bord efficace repose sur des données fiables provenant de diverses sources : logiciel comptable, fichiers Excel, relevés bancaires, ERP, CRM… Sans automatisation, la collecte implique des extractions manuelles, la saisie des chiffres clés et la consolidation des informations dans des tableurs. En effet, il est essentiel de classer les données, de standardiser les formats et de vérifier leur qualité pour éviter les incohérences.  

Cette méthode manuelle se révèle chronophage et sujette à de nombreux risques d’erreurs. Heureusement, grâce à une solution de Business Intelligence et de reporting comme MyReport, il est possible d’automatiser la collecte, le traitement, la mise à jour en temps réel et la présentation de toutes les données financières d’une entreprise.

4. Concevoir et mettre en place le tableau de bord

Pour garantir des analyses rapides, un tableau de bord efficace doit être clair, intuitif et lisible. Pour ce faire, il est important de soigner son ergonomie : 

  • En utilisant la data visualisation dans le but de rendre les données plus simples à analyser via des représentations visuelles explicites : graphiques, courbes, histogrammes, camemberts… 
  • En ne le surchargeant pas d’informations (privilégier les KPI essentiels) 
  • En organisant les données par ordre de priorité pour une lecture rapide 
  • En assurant un accès simplifié aux informations pour les collaborateurs concernés 

Bon à savoir : les solutions de BI comme MyReport permettent d’automatiser la conception des tableaux de bord intégrant la data visualisation et présentant des indicateurs de performance financiers mis à jour en temps réel.  

Un tableau de bord financier bien conçu est donc un outil stratégique pour piloter la gestion financière d’une entreprise. Il offre une vision claire et synthétique des performances, facilite l’analyse des indicateurs clés et permet d’anticiper les évolutions du marché. 

Complémentaire au reporting financier et au reporting de contrôle de gestion, qui fournissent des analyses plus poussées des résultats passés, le tableau de bord assure un suivi dynamique et en temps réel.  

Vous souhaitez disposer de tableaux de bord et de reportings fiables pour piloter la santé financière de votre entreprise ? MyReport, vous accompagne en automatisant la collecte de vos données et la création de tableaux de bord et de reportings alignés sur vos objectifs.

Comment calculer les indicateurs financiers permettant de suivre la performance d’une entreprise ?

Quels sont les indicateurs financiers qui permettent de piloter la performance d’une entreprise ? Comment calculer ces KPI financiers ?  MyReport, solution de reporting financier, répond à vos questions et vous explique comment les solutions de Business Intelligence (BI) peuvent faciliter le suivi et l’analyse des états financiers au sein d’une entreprise.

Qu’est-ce qu’un indicateur financier ou KPI financier

Pour les contrôleurs de gestion, les experts-comptables ou les Directeurs administratifs et financiers (DAF), les indicateurs financiers sont des outils essentiels. Sans ces indicateurs, il n’est pas possible pour eux d’analyser la structure financière d’une entreprise et de piloter sa performance. Et pour cause, ce sont ces indicateurs de performance (KPI) financiers qui permettent à ces experts de la finance de mesurer la rentabilité, la solvabilité, la trésorerie ou encore la croissance d’une organisation.  

Des indicateurs financiers pour mesurer la rentabilité de l’entreprise

La rentabilité est un élément clé du pilotage financier d’une entreprise. La rentabilité permet d’évaluer la capacité d’une entreprise à générer du profit par rapport aux ressources investies. Pour suivre efficacement les performances financières d’une entreprise, il est donc nécessaire de calculer certains indicateurs de rentabilité, parmi lesquels :

Indicateur Définition Formule de calcul
La marge brute Mesure la différence entre le chiffre d’affaires et le coût des ventes. Elle permet d’évaluer la performance commerciale et la maîtrise des coûts de production. Marge brute = chiffre d’affaires HT − coût des ventes HT
La marge opérationnelle Exprime le bénéfice généré par l’activité courante de l’entreprise. Un pourcentage élevé indique une bonne rentabilité des opérations. Marge opérationnelle = résultat d’exploitation / chiffre d’affaires
Le retour sur investissement (ROI) Permet d’évaluer l’efficacité d’un investissement. Un ROI positif indique que l’investissement est rentable. ROI = [(gain de l’investissement – coût de l’investissement) / coût de l’investissement] × 100

Des indicateurs financiers pour mesurer la solvabilité de l’entreprise 

La solvabilité mesure la capacité d’une entreprise à rembourser ses dettes à long terme. Parmi les indicateurs de solvabilité essentiels à suivre au sein d’une organisation, on retrouve :

Indicateur Définition Formule de calcul
Le ratio d’endettement Ce ratio permet d’évaluer le poids des dettes par rapport aux actifs d’une entreprise. Ratio d’endettement = (dettes financières / capitaux propres) × 100
La capacité d’autofinancement (CAF) La CAF mesure les ressources internes générées par l’activité. Une CAF positive signifie que l’entreprise peut financer ses investissements sans recourir à l’emprunt. Elle peut être calculée à partir de l’EBE ou du résultat net. CAF via EBE :
CAF = EBE + produits encaissables − charges décaissables

CAF via résultat net :
CAF = résultat de l’exercice + charges calculées − produits calculés + valeur nette comptable d’éléments d’actifs cédés − produits de cession des éléments d’actifs

Des indicateurs financiers pour mesurer la trésorerie de l’entreprise 

Une bonne gestion de trésorerie est essentielle pour assurer la pérennité d’une entreprise. C’est pourquoi il est important de calculer et de suivre des indicateurs financiers comme : 

Indicateur Définition Formule de calcul
Le besoin en fonds de roulement (BFR) Le BFR représente les ressources nécessaires pour financer le cycle d’exploitation. Un BFR positif indique que l’entreprise peut financer son activité avec ses propres ressources. BFR = (stocks + créances clients + créances fiscales) − (dettes fournisseurs + dettes sociales + dettes fiscales)
La trésorerie nette La trésorerie nette mesure la liquidité de l’entreprise. Une trésorerie nette positive signifie que l’entreprise dispose d’un excédent de liquidités. Trésorerie nette = disponibilités − dettes financières à court terme

Des indicateurs financiers pour mesurer la performance et la croissance de l’entreprise

Les indicateurs de performance et de croissance sont essentiels pour évaluer la dynamique de développement d’une entreprise. Ils permettent de mesurer non seulement l’efficacité des actions entreprises, mais aussi la capacité à générer une croissance durable.

Indicateur Définition Formule de calcul
Taux de croissance du chiffre d’affaires Ce taux mesure l’évolution du chiffre d’affaires sur une période donnée. Un taux élevé indique une forte dynamique commerciale. Taux de croissance = (CA année N − CA année N−1) / CA année N−1 × 100
Productivité par employé Cet indicateur permet de mesurer la rentabilité du capital humain. Un chiffre élevé reflète une bonne efficacité des employés. Productivité = chiffre d’affaires / nombre de salariés

Automatiser le calcul des indicateurs financiers avec MyReport

Calculer ces indicateurs manuellement est un travail fastidieux et soumis à d’importants risques d’erreurs. Heureusement, grâce aux solutions de Business Intelligence comme MyReport, il est possible d’automatiser le calcul et la restitution de ces indicateurs financiers.  

La solution MyReport se charge de collecter automatiquement les données essentielles pour calculer ces indicateurs financiers, et ce, depuis n’importe quelle source (ERP, CRM, logiciel comptable…), puis de calculer et de restituer les KPI au sein de reportings et de tableaux de bord intuitifs et simples à interpréter grâce à la datavisualisation.  

Grâce à MyReport, les responsables financiers peuvent donc suivre et analyser leurs performances de manière fiable et efficace, sans perdre de temps sur des calculs manuels. 

Comment la Business Intelligence peut-elle aider à détecter la fraude en PME ?

Directeur administratif et financier (DAF) ou contrôleur de gestion, vous êtes en première ligne pour assurer la fiabilité des chiffres et la transparence des flux financiers de l’entreprise. Vous devez notamment identifier les fraudes, qui constituent une menace réelle pour les PME et peuvent impacter leurs résultats et leur performance. Les outils de Business Intelligence et de data analyse sont vos alliés : en automatisant la collecte, l’analyse et la visualisation des données, ils facilitent la détection rapide des anomalies. MyReport, expert de la BI, vous explique comment l’analyse de données peut aider à lutter contre la fraude en entreprise.  

La fraude en PME : un risque bien réel 

Selon l’enquête Allianz Trade 2023, 69 % des entreprises ont subi des tentatives de fraude au cours des deux années précédentes et 57 % ont déclaré une fraude avérée. Les PME sont tout aussi exposées aux risques de fraude que les grandes organisations, si ce n’est plus. Elles ont besoin d’outils d’analyse de données performants pour améliorer leur processus de contrôle.  

Pour les DAF et contrôleurs de gestion, qui ont souvent la charge de détecter la fraude, il est essentiel d’avoir une vision précise et actualisée des flux financiers pour repérer les écarts suspects. L’implémentation d’outils de data analyse est indispensable pour garder un œil sur des indicateurs clés, permettant la détection de la fraude interne et externe.  

Les outils de Business Intelligence, pour centraliser et fiabiliser les données 

Pourquoi implémenter un logiciel de Business Intelligence dans votre entreprise ? Le premier atout de la BI dans la détection des fraudes réside dans la centralisation des données issues de différentes sources : ERP, logiciel comptable, gestion RH, CRM, etc. Dans une PME, ces outils ne sont pas toujours interconnectés, ce qui rend les croisements et les vérifications plus complexes.  

Avec une solution comme MyReport, les données sont collectées automatiquement et fiabilisées dans un entrepôt de données unique ou data warehouse. Cela permet de : 

  • S’assurer que toutes les données sont à jour, cohérentes et traçables ; 
  • Éviter les manipulations manuelles sources d’erreurs ou d’omissions volontaires ; 
  • Créer un référentiel unique pour mieux détecter les incohérences entre services. 

Cette qualité de données est un prérequis essentiel à toute démarche de contrôle efficace. La BI en finance permet de disposer d’informations fiables, nettoyées et actualisées pour mieux détecter la fraude en entreprise.  

Le reporting automatisé : un gain de temps et une meilleure vigilance 

L’automatisation des reportings avec la Business Intelligence permet de générer des rapports standardisés, mis à jour automatiquement à une fréquence choisie. Celle-ci peut être quotidienne, hebdomadaire ou encore mensuelle selon les besoins de votre entreprise. L’automatisation offre deux bénéfices majeurs dans la détection de la fraude : 

  • La régularité, car les anomalies peuvent être repérées plus vite avec la comparaison instantanée des données passées et présentes ; 
  • La personnalisation, puisque chaque tableau de bord peut intégrer des alertes sur des seuils ou des écarts définis : dépassement de budget, facturation inhabituelle, décaissements non justifiés, etc. 

Vous pouvez ainsi, en tant que DAF ou contrôleur de gestion, vous concentrer sur l’analyse et l’interprétation des données, et non plus sur leur production.  

Bon à savoir : avec MyReport, logiciel de Business Intelligence pour les PME, vous pouvez programmer une alerte pour détecter la fraude. Choisissez des indicateurs clés pour augmenter votre réactivité et améliorer la prise de décision.  

La datavisualisation au service de la détection de la fraude 

Les tableaux de bord proposés par les outils de Business Intelligence comme MyReport s’appuient sur la datavisualisation. Les représentations graphiques (courbes, cartes, diagrammes, etc.) rendent les données plus lisibles et accessibles, facilitant leur analyse. Concrètement, cela permet de : 

  • Suivre des indicateurs clés comme la trésorerie, les dépenses fournisseurs ou le BFR en un coup d’œil ; 
  • Visualiser rapidement des écarts inhabituels ; 
  • Mettre en évidence des transactions isolées, ou des pics d’activité inhabituels. 

Cette visualisation des données facilite l’identification d’anomalies que des tableaux bruts auraient pu dissimuler. Enfin, utiliser la BI pour mieux collaborer permet de gagner en transparence, en réactivité et d’améliorer la prise de décision en entreprise.  

L’intelligence artificielle, une piste prometteuse pour détecter la fraude 

L’intelligence artificielle pourrait bien optimiser la détection de la fraude en entreprise. Les modèles d’analyse prédictive permettent en effet d’aller au-delà du simple contrôle en anticipant les risques de fraude grâce à des méthodes de machine learning.  

Pour ce faire, les algorithmes s’appuient notamment sur l’historique de données et les schémas de comportement des clients ou utilisateurs pour prédire des scénarios de fraude. 

La Business Intelligence au service d’une gestion sécurisée 

La lutte contre la fraude repose avant tout sur une bonne connaissance de vos données et une capacité à réagir vite. En automatisant la collecte et l’analyse des données, ainsi qu’en rendant les informations plus lisibles grâce à la visualisation, la Business Intelligence est un véritable levier de sécurisation pour les entreprises. 

Avec MyReport, vous disposez d’un logiciel à la fois puissant et simple à prendre en main, spécialement pensé pour les petites et moyennes entreprises. Vous pouvez ainsi instaurer un contrôle des données en continu, sans complexifier les processus internes. 

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Qu’est-ce que le Big Data en finance ?

En tant que responsable financier d’une entreprise, vous avez sans doute entendu parler du Big Data. Véritable levier stratégique, il permet d’exploiter un volume massif de données pour optimiser votre gestion financière. L’analyse avancée des données ouvre de nouvelles perspectives pour les entreprises : anticipation des risques, détection d’opportunités, amélioration des offres et automatisation des tâches répétitives. Mais comment exploiter pleinement cette mine d’informations ? MyReport, spécialiste de la Business Intelligence, vous explique comment le Big Data révolutionne la finance. 

Les caractéristiques du Big Data en finance

Le Big Data (ou mégadonnées) en finance fait référence à l’exploitation massive de données variées et complexes pour optimiser la gestion financière des entreprises. Collectées, stockées et analysées, ces data structurées ou non structurées permettent d’obtenir des informations stratégiques. 

Les piliers du Big Data

Fondée sur l’analyse des chiffres et la gestion des risques, la finance bénéficie pleinement des avancées du Big Data. Ce dernier se décline en 5 piliers, « les 5 V », qui montrent une optimisation du traitement des données : 

  • Le volume, en raison de la quantité considérable de données générées 
  • La variété, c’est-à-dire la diversité des typologies de données analysées 
  • La vélocité avec une grande rapidité de traitement et d’analyse 
  • La véracité, en mettant la priorité sur la fiabilité et la qualité des données 
  • La valeur, grâce à la capacité à produire des analyses pertinentes. 

Quelles données sont incluses dans le Big Data ?

Le Big Data représente un volume massif de données numériques de toutes sortes. Il peut s’agir de données transactionnelles (historiques de transactions, achats, virements et transferts d’argent), de données de marché (cours des actions, taux de change, prix des matières premières), de données clients (informations démographiques, habitudes de consommation) ou encore de données opérationnelles (flux de trésorerie, performances financières, etc.).  

Les principales sources de Big Data peuvent être les insights des réseaux sociaux, les données transactionnelles, les logs des sites web ou encore l’open data (données publiques) et le third party data (données achetées auprès de fournisseurs tiers). Toutes ces données peuvent être exploitées en mettant en place des stratégies de data analyse en comptabilité et gestion.  

Big Data et Business Intelligence, quelle différence ?

Souvent confondus, le Big Data et la Business Intelligence sont deux approches complémentaires de l’analyse des données. La BI exploite essentiellement des données internes à l’entreprise stockées dans des entrepôts de données (data warehouses). Le Big Data traite des volumes colossaux de données internes et externes, souvent en temps réel, et s’appuie sur des technologies avancées comme le machine learning pour affiner ses prédictions. 

Quelles sont les applications du Big Data dans la gestion financière ?

Le Big Data présente de nombreux avantages pour les experts comptables, Directeurs Administratifs et Financiers (DAF), Responsables Administratifs et Financiers (RAF) et contrôleurs de gestion. Il leur permet d’optimiser les processus et d’améliorer la prise de décision en gestion financières. Voici quelques applications clés :  

  • Optimisation des processus financiers avec l’automatisation de la collecte et du traitement des données, la centralisation des informations financières et extra-financières, l’amélioration de la fiabilité des données. 
  • Gestion des risques et conformité grâce à la détection précoce des anomalies par l’analyse en temps réel et l’amélioration de la conformité réglementaire (notamment en RGPD). 
  • Amélioration de la prise de décision : le Big Data permet aux experts comptables, DAF, contrôleurs de gestion et RAF de prendre des décisions éclairées, en particulier avec le soutien de l’IA pour la gestion financière qui favorise l’analyse prédictive. Grâce à l’étude d’un volume important de données variées, ils peuvent détecter de nouvelles opportunités, établir des projections et des simulations plus précises, fournir des recommandations stratégiques. 

Grâce au Big Data, les DAF et RAF optimisent leurs décisions et renforcent la performance financière de l’entreprise en s’appuyant sur des données fiables et actionnables. 

MyReport, la solution data pour optimiser votre gestion financière

Envie d’exploiter tout le potentiel de vos données ? MyReport, solution de Business Intelligence, met à votre disposition des outils avancés d’analyse et de gestion. Profitez d’une solution performante pour optimiser votre gestion financière. 

Gestion de grands volumes de données

MyReport regroupe et structure les données financières issues de multiples sources (ERP, CRM, logiciels comptables), facilitant ainsi leur exploitation et fiabilisation. L’outil, personnalisable selon vos besoins, gère de grandes quantités de données variées. 

Analyse de données

MyReport offre des fonctionnalités de collecte et de mise à jour automatisées des données, dont certaines en temps réel. L’outil vous propose des tableaux de bord interactifs et des rapports automatisés, permettant une prise de décision rapide et efficace basée sur des indicateurs clés.  

Bon à savoir : en tant qu’expert-comptable, contrôleur de gestion, DAF ou RAF, vous bénéficiez d’une formation pour l’utilisation quotidienne de MyReport dans votre entreprise.

Visualisation des données

La solution MyReport intègre des fonctionnalités de datavisualisation pour présenter les données de manière claire et intuitive. Accédez à des insights clairs et immédiatement exploitables, grâce à une interface intuitive, des reportings automatisés et des alertes. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur l’analyse plutôt que sur la collecte des données.  

Ne laissez plus vos données inexploitées : découvrez MyReport et demandez une démo dès maintenant ! 

Data analyse en comptabilité et dans le contrôle de gestion : comment réussir une mise en œuvre efficace ?

Pour espérer optimiser leurs performances, anticiper les risques, automatiser leurs processus et améliorer les prises de décisions, les entreprises modernes ont tout intérêt à maîtriser l’ensemble de leurs données. Or, dans un contexte où les volumes d’informations ne cessent de croître, les outils de data analyse et de reporting semblent être la clé de cette maîtrise. En effet, ils permettent de collecter, de structurer et d’exploiter les données de manière pertinente, et ce, à tous les niveaux d’une organisation (direction, marketing, ressources humaines, direction financière…). 

Ce besoin se fait particulièrement ressentir dans la gestion financière. Et pour cause, la comptabilité et le contrôle de gestion reposent sur des flux continus d’informations issues de diverses sources : facturation, trésorerie, suivi des clients, gestion des coûts… Si bien qu’être capable de collecter, de structurer et d’interpréter ces données relève souvent du défi. Pourtant, ce processus conditionne la qualité du pilotage financier et la capacité des Directeurs administratifs et financiers (DAF) à prendre des décisions éclairées.  

C’est dans cette logique que des outils de data analyse comptable comme MyReport se révèlent précieux pour les experts comptables, les DAF, les RAF et les contrôleurs de gestion. En automatisant la collecte, la centralisation, la sécurisation, la structuration et la diffusion des données, ce type de solution de Business intelligence facilite le rapport des experts financiers à la data. En d’autres termes, ces outils contribuent à mettre en place une stratégie de data analyse comptable proactive.

MyReport : une solution adaptée aux enjeux comptables et financiers

Parmi les solutions de Business intelligence, MyReport se démarque en assurant une approche intuitive et performante du reporting comptable et financier. 

L’un des atouts majeurs de MyReport réside dans sa capacité à centraliser et à fiabiliser les données issues de différentes sources. En se connectant à toutes les sources de données de l’entreprise (ERP, logiciel de facturation, outil RH, logiciel comptable, plateforme bancaire…), MyReport permet de centraliser, sécuriser et structurer l’ensemble des informations financières en un seul et même espace. Cette approche garantit une meilleure cohérence des analyses et simplifie le travail des équipes comptables et de gestion. 

MyReport mise aussi sur l’automatisation pour améliorer l’efficacité des processus financiers. Avec MyReport, il est possible de créer de façon simple des reportings financiers et d’automatiser leur production et leur diffusion en quelques clics. Un avantage de poids pour limiter aux gestionnaires financiers cette tâche chronophage et sujette aux erreurs humaines.  

En plus d’automatiser la production et l’envoi des reportings, MyReport permet aux services financiers d’avoir accès en temps réel à des tableaux de bord présentant les indicateurs de performance (KPI) majeurs. Ces KPI se révèlent utiles pour suivre au quotidien l’activité de l’entreprise et détecter rapidement les anomalies comptables.  

Bon à savoir : pour simplifier le travail d’analyse, MyReport intègre dans les tableaux de bord des fonctionnalités avancées de data visualisation. Grâce à des représentations graphiques dynamiques, il devient plus simple d’interpréter les informations financières et d’identifier les tendances clés. Cette approche facilite aussi la communication des résultats et améliore la capacité des entreprises à piloter leur stratégie comptable et financière. 

Enfin, l’un des aspects les plus appréciés par les professionnels de la finance est l’intégration native de MyReport avec Excel. Plutôt que d’imposer un nouvel environnement de travail, l’outil s’appuie sur un logiciel déjà maîtrisé par les DAF et les experts comptables, facilitant ainsi son adoption et son déploiement. Cette compatibilité permet de personnaliser les analyses et d’adapter les reportings aux besoins spécifiques de chaque entreprise. 

Data analyse comptable : quelques clés pour une mise en œuvre réussie

Toutefois, l’adoption d’une stratégie de data analyse comptable ne se limite pas à l’installation d’un outil. Pour garantir une intégration efficace, il est essentiel de suivre une approche méthodique et progressive. 

Tout d’abord, une analyse approfondie des besoins doit être réalisée en amont. Chaque entreprise possède ses propres exigences en matière de gestion financière et de contrôle. Identifier les objectifs prioritaires et les indicateurs clés à suivre permet d’orienter la mise en place de la solution et d’en optimiser l’utilisation. 

Ensuite, il est crucial d’assurer une compatibilité fiable en misant sur des technologies existantes. MyReport s’intègre facilement aux principaux logiciels de comptabilité et de gestion à l’image de Cegid ou Sage. 

L’implication des équipes joue également un rôle déterminant dans la réussite du projet. Une formation adaptée permet aux DAF, aux contrôleurs de gestion et aux experts comptables de se familiariser avec l’outil et d’en exploiter pleinement les fonctionnalités. L’adoption d’une solution de Business intelligence repose sur son appropriation par les utilisateurs, qui doivent être accompagnés dans leur montée en compétence.  

Bon à savoir : MyReport accompagne ses clients à travers une formation assurée par des experts. Cet accompagnement permet une prise en main rapide et une exploitation optimale des fonctionnalités pour une gestion financière plus efficace. 

Enfin, la mise en place d’un suivi régulier des performances est indispensable. L’objectif de la data analyse est d’apporter une amélioration continue à la gestion financière. En mesurant l’impact des nouvelles pratiques et en ajustant les processus en fonction des résultats obtenus, les entreprises peuvent maximiser les bénéfices de leur transformation digitale. 

L’intégration de la data analyse dans la comptabilité et le contrôle de gestion représente une avancée majeure pour les entreprises souhaitant améliorer leurs performances financières. En garantissant une meilleure qualité des données et en optimisant le reporting, elle permet aux DAF et aux experts comptables de prendre des décisions plus éclairées et plus stratégiques. 

Grâce à une solution comme MyReport, les entreprises disposent d’un outil puissant et intuitif, capable de centraliser les informations, d’automatiser les processus et de simplifier l’exploitation des données financières. Ainsi, elles ont toutes les cartes en main pour transformer leur gestion financière et renforcer leur compétitivité. 

Quels sont les avantages de la data analyse pour les comptables et contrôleurs de gestion ?

Vous êtes comptable, expert-comptable ou contrôleur de gestion en PME et vous souhaitez optimiser le traitement des données de votre entreprise ? Tirez le meilleur parti de ces précieuses informations issues de vos logiciels métiers et ressources financières, en optant pour une comptabilité data-driven. Avec MyReport, solution de Business Intelligence la plus complète, prenez le contrôle de vos données et améliorez votre prise de décision.

Qu’est-ce que la data analyse en comptabilité et gestion ?

L’analyse de données – ou data analytics – en comptabilité et gestion d’entreprise consiste à collecter, structurer et interpréter des données financières et opérationnelles pour en extraire des informations exploitables. Elle repose sur l’utilisation d’outils de data analyse, de techniques statistiques et de la datavisualisation pour soutenir la prise de décision stratégique.  

Définition et objectifs de la data analyse comptable

La data analytics transforme des données brutes en informations utiles pour optimiser les performances et la gestion des entreprises. Elle permet en effet d’identifier des tendances, des corrélations ou des anomalies dans les données comptables et financières. Ces informations peuvent servir à :  

  • Améliorer la prise de décision stratégique. 
  • Optimiser les processus internes. 
  • Réduire les risques financiers. 
  • Renforcer la performance globale de l’entreprise. 

Quelles sont les applications principales en comptabilité et gestion ?

L’analyse de données présente de nombreux avantages pour les comptables, les experts-comptables et les contrôleurs de gestion en entreprise. Elle transforme durablement leur manière de travailler et augmente leur efficacité. Voici les principales applications de la data analyse comptable :  

  • L’amélioration de la qualité des audits et du contrôle budgétaire : un logiciel de Business Intelligence permet de traiter de grands volumes de données, tout en réduisant le risque d’erreurs. Les bilans sont plus précis et fiables.  
  • L’automatisation de tâches répétitives : les outils de data analytics comptable automatisent notamment le reporting, pour un gain significatif en productivité. Ils libèrent ainsi du temps pour des missions plus stratégiques. 
  • L’optimisation de la prise de décision : en offrant un point de vue éclairé sur les données passées et présentes, la data analyse contribue à l’efficacité de la planification stratégique et budgétaire de l’entreprise.  
  • Une communication simplifiée : la data analyse fournit des données unifiées, précises, accessibles et interprétables par toutes les personnes concernées. La Business Intelligence ou BI en finance et contrôle de gestion contribue à l’alignement et à la collaboration des différents services de l’entreprise.  

MyReport, la solution de data analyse pour les comptables et contrôleurs de gestion

Vous souhaitez optimiser vos performances, automatiser vos processus, améliorer votre prise de décision ? Vous doter d’un outil de data analyse comptable est une étape primordiale pour pouvoir traiter et exploiter la grande quantité de données à votre disposition. La comptabilité et le contrôle de gestion reçoivent en effet de nombreuses informations, qu’elles proviennent de la trésorerie, du suivi des clients ou encore de la facturation.  

Un outil de Business Intelligence comme MyReport s’avère très précieux pour optimiser vos tâches quotidiennes, votre reporting et votre prise de décision. Optez pour une stratégie comptable proactive avec :  

  • La centralisation des données à partir de vos différents outils de gestion (ERP, CRM, outils de paie, etc.) dans un même entrepôt de données ou data warehouse. L’accès et la fiabilité des informations sont optimisés. MyReport s’intègre à plus de 100 sources de données et logiciels métiers. 
  • L’automatisation des processus et des tâches chronophages, comme la collecte de données ou la création de rapport. Libérez un temps précieux et réduisez le risque d’erreurs avec la génération de reportings et tableaux de bords, actualisables à la demande. Passez à MyReport et gagnez 5 semaines par an sur vos reportings financiers ! 
  • Des données sécurisées et fiabilisées, indispensables pour les métiers rigoureux de comptables, experts-comptables et contrôleurs de gestion. Vous pouvez vous assurer de la fiabilité des informations financières grâce à MyReport. 
  • Des KPIs personnalisables suivis et pilotés en temps réel, où que vous vous trouviez, sur PC ou mobile. Chaque service de l’entreprise peut créer ses dashboards et ses indicateurs à partir de multiples sources de données consolidées. 
  • La data visualisation, pour une prise de décision éclairée. Elle simplifie l’interprétation des données en les transformant en graphiques ou tableaux faciles à comprendre et intuitifs. C’est un outil essentiel pour optimiser le travail des contrôleurs de gestion et comptables, ainsi que pour communiquer les données à l’ensemble de l’entreprise. 
  • Une accessibilité et une autonomie accrue, car MyReport permet aux utilisateurs de travailler directement depuis Excel, une interface familière. Vous pouvez générer vos reportings et tableaux de bord sans dépendre du service informatique​. 

Bon à savoir : pour tirer le meilleur de MyReport, nos équipes d’experts vous proposent une formation initiale. Celle-ci vous permet de prendre en main l’outil et de le configurer pour vos applications. Vous souhaitez découvrir d’autres fonctionnalités avancées ? Nous vous proposons une offre de formation permanente et des documents d’informations détaillés.  

MyReport est la solution de data analyse la plus intuitive et la plus riche en fonctionnalités. Envie de la découvrir ? Demandez une démo dès maintenant. 

Solution de Business Intelligence : quels avantages pour les directeurs financiers et les contrôleurs de gestion ?

Pour les directeurs financiers (DAF) et les contrôleurs de gestion, les solutions de Business Intelligence sont devenues des alliées incontournables pour piloter la performance financière d’une entreprise. Et pour cause, ces outils leur permettent de collecter, de traiter et d’analyser d’énormes quantités de données et d’automatiser la production de tableaux de bord et de reportings financiers.  

Grâce à ces outils de data analyse, les DAF et les contrôleurs de gestion peuvent transformer simplement et efficacement des données brutes en rapports et indicateurs financiers au service d’une prise de décision plus rapide et plus éclairée. 

Solution de BI et de reporting : centraliser et fiabiliser les données financières

Pour assurer le pilotage financier d’une entreprise, les DAF et les contrôleurs de gestion doivent pouvoir s’appuyer sur des données fiables provenant de diverses sources (ERP, logiciels comptables, CRM, outils de gestion RH, etc.). Or, la collecte et le traitement de ces données financières relèvent souvent du défi. Heureusement, les solutions de Business Intelligence en finance sont là pour les aider à agréger, nettoyer, structurer et stocker toutes ces informations, garantissant ainsi une meilleure fiabilité et plus de traçabilité. 

Un gain de temps dans la gestion des données

Traditionnellement, la consolidation des données financières reposait sur des extractions manuelles et des traitements sous Excel : des tâches extrêmement chronophages et soumises à d’importants risques d’erreurs. Grâce aux outils de BI et data analyse comptable, les DAF peuvent désormais automatiser la collecte, le traitement et la structuration des informations. La Business Intelligence les aide ainsi à réduire le temps consacré à la production des reportings financiers tout en augmentant leur fiabilité. 

Sécurisation des processus et de la conformité réglementaire

Les solutions de BI financières aident aussi les DAF et les contrôleurs de gestion à sécuriser leurs procédures et à mieux respecter les règles de conformité obligatoires. En effet, elles intègrent le plus souvent des fonctions de contrôle de cohérence et des pistes d’audit, assurant la conformité des données avec les normes comptables et fiscales. Elles facilitent aussi la gestion des obligations réglementaires comme la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) en permettant de suivre les indicateurs extra-financiers.

Automatiser et personnaliser le reporting financier

Pour les DAF et les contrôleurs de gestion, les données financières collectées et structurées doivent être utilisées pour créer des reportings financiers. Un reporting financier se présente sous la forme d’un rapport qui illustre les données essentielles pour suivre la performance financière d’une entreprise et pour identifier les écarts par rapport aux objectifs. 

Automatiser et simplifier la production des rapports financiers

Avec un logiciel de Business Intelligence, la production et la livraison de ces reportings financiers peuvent être automatisées, et ce, en se basant sur des données mises à jour en temps réel. Outre le reporting, les solutions de Business Intelligence donnent aussi accès aux DAF et aux contrôleurs de gestion à des tableaux de bord présentant en temps réel les indicateurs de performance majeurs pour piloter l’entreprise au quotidien.  

Grâce au reporting financier et aux tableaux de bord, il devient possible pour les spécialistes de la finance de produire des analyses comparatives et de générer des prévisions financières en quelques clics. 

Data visualisation : faire parler les données pour mieux les interpréter

Les solutions de Business Intelligence comme MyReport intègrent aussi des outils de data visualisation pour simplifier le travail d’analyse des DAF et des contrôleurs de gestion. La data visualisation permet notamment de transformer des tableaux Excel complexes, en graphiques interactifs ou en dashboards dynamiques. Ce processus simplifie l’interprétation des indicateurs financiers clés, assurant une prise de décision plus rapide et plus intuitive. 

Un pilotage optimisé de la performance financière 

Les solutions de Business Intelligence permettent donc aux DAF et aux contrôleurs de gestion d’affiner leur stratégie en accédant à des analyses en temps réel et en intégrant des outils de prévision financière. 

Anticiper les risques et mieux gérer sa trésorerie

Avec un accès instantané aux flux financiers, il devient plus simple d’identifier les tendances et d’anticiper d’éventuels problèmes de trésorerie. Les outils de BI permettent également de mettre en place des alertes en cas d’écart significatif par rapport aux prévisions, facilitant ainsi la gestion proactive des finances de l’entreprise. 

Suivi en temps réel des indicateurs de performance

Grâce aux solutions de Business Intelligence et de reporting, les DAF peuvent suivre en continu des indicateurs financiers clés, tels que le BFR (Besoin en Fonds de Roulement), l’évolution des charges, ou encore la rentabilité par produit ou par activité. Cela permet d’ajuster rapidement la stratégie financière et d’améliorer la performance globale de l’entreprise. 

L’adoption d’une solution de Business Intelligence et de reporting comme MyReport représente un levier stratégique pour les DAF et les contrôleurs de gestion souhaitant optimiser la gestion financière et le pilotage de performance d’une entreprise. En centralisant les données issues de différentes sources et en automatisant les reportings, MyReport assure un accès rapide et fiable aux indicateurs financiers clés. En outre, son intégration native avec Excel et sa simplicité d’utilisation garantissent une autonomie précieuse aux équipes financières, sans nécessiter de compétences avancées en informatique décisionnelle. Enfin, grâce à ses tableaux de bord dynamiques et à sa data visualisation intuitive, MyReport aide les entreprises à prendre des décisions éclairées en temps réel, tout en sécurisant et fiabilisant leurs processus financiers.  

En adoptant MyReport, les DAF et les contrôleurs de gestion mettent donc toutes les chances de leur côté pour gagner du temps, améliorer la précision des analyses et renforcer la performance financière de leur entreprise. 

Une autonomie renforcée pour les équipes financières 

L’un des bénéfices majeurs de la Business Intelligence est de rendre les équipes financières et comptables plus autonomes dans l’analyse des données. 

Une exploitation simplifiée des données sans expertise technique 

Les solutions BI actuelles sont conçues pour être accessibles aux DAF et aux contrôleurs de gestion sans nécessiter de compétences avancées en informatique décisionnelle. Grâce à des interfaces intuitives et des modules intégrés à Excel, ces professionnels peuvent exploiter la data de manière fluide et efficace. 

Un accès collaboratif aux informations financières 

La Business Intelligence permet également de faciliter la communication entre les différents services de l’entreprise. Chaque acteur (direction générale, services opérationnels, équipes comptables) peut accéder aux données et aux tableaux de bord qui lui sont pertinents, favorisant une meilleure coordination et un pilotage financier plus réactif. 

Comment l’IA peut-elle aider les services financiers ?

L’intelligence artificielle (IA) révolutionne le monde de l’entreprise, quel que soit le secteur d’activité, en apportant des solutions innovantes. Celles-ci permettent d’augmenter la productivité, d’améliorer la prise de décision, de personnaliser l’expérience des clients ou encore d’améliorer la collaboration entre les différents services. Mais que peut-elle faire pour les services financiers ? MyReport, expert de la Business Intelligence et de la data analyse, vous propose un aperçu de cette révolution prometteuse.

À quels défis de la gestion financière l’IA peut-elle répondre ?

Les services financiers des entreprises connaissent une transformation majeure de la gestion financière à l’aune des nouvelles technologies. Leur rôle évolue au-delà de la finance traditionnelle pour inclure notamment de la prise de décision stratégique. Les DAF (directeurs administratifs et financiers), RAF (responsables administratifs et financiers), contrôleurs de gestion ou experts-comptables sont ainsi amenés à :  

  • Diversifier leurs missions : la gestion financière ne se limite plus au budget et au reporting financier. Elle intègre désormais d’autres tâches que la comptabilité, comme la planification stratégique, la gestion des talents, l’analyse de performance ESG (environnement, sociétal et gouvernance) et l’optimisation opérationnelle. Les services financiers contribuent enfin Lien vers Comment l’IA est-elle utilisée dans la gestion financière ?  
  • l’indispensable désilotage de l’entreprise. 
  • Exploiter les nouvelles technologies : intégrer l’IA pour la gestion financière permet de gagner en efficacité et de réduire la charge de travail des équipes comptables. Le métier devient ainsi progressivement moins stressant et plus varié. 
  • Assumer un rôle stratégique : les services financiers exercent une influence grandissante dans l’entreprise. Ils sont amenés à analyser des données pour optimiser la prise de décision, en partenariat avec les dirigeants et les autres services. 

Inclure l’IA dans les processus des services financiers a un impact direct sur la stratégie et l’efficacité globale de l’entreprise. Les DAF, RAF, contrôleurs de gestion, comptables et experts-comptables gagnent en efficacité et libèrent du temps pour leurs nouvelles missions à forte valeur ajoutée.  

Les apports concrets de l’intelligence artificielle pour les services financiers

Que peut faire l’intelligence artificielle pour aider le métier de DAF ? L’IA apporte des solutions innovantes pour la gestion financière, applicables au quotidien. 

Optimisation des processus

L’IA peut être utilisée pour automatiser le suivi des encaissements et décaissements, permettant aux DAF de mieux gérer la trésorerie et d’optimiser les prévisions de cash-flow. Par exemple, un algorithme peut détecter des paiements en retard et suggérer des relances automatisées, allégeant ainsi la charge de travail des équipes financières. 

Analyse prédictive et gestion des risques

Dans le cadre du pilotage financier, l’IA peut affiner les prévisions budgétaires. En analysant les tendances passées et les flux de trésorerie en temps réel, elle permet d’anticiper des écarts budgétaires et d’adapter les décisions financières en conséquence. Cela facilite une gestion proactive des risques, qu’ils soient liés au marché ou à l’opérationnel. 

Lutte contre la fraude

Pour un DAF, la fraude interne et les erreurs comptables sont des enjeux majeurs. L’IA permet d’identifier les transactions suspectes en repérant des anomalies dans les flux financiers. Par exemple, elle peut détecter des écarts anormaux entre facturation et paiement, et déclencher une alerte en cas de risque de fraude. 

Réduction des coûts 

Enfin, l’IA présente un autre avantage pour l’entreprise, à savoir la réduction des coûts opérationnels. L’intelligence artificielle a un coût, mais, à terme, elle peut contribuer à augmenter la rentabilité de la société grâce à l’automatisation.

PME et ETI : et si vous choisissiez la Business Intelligence ? 

Bien que l’IA offre de puissantes capacités prédictives, les solutions de Business Intelligence (BI) restent aujourd’hui plus accessibles et rapidement rentables pour les PME et ETI. Un outil comme MyReport permet aussi d’optimiser les processus financiers et de faciliter la prise de décision.  

L’analyse des données passées et présentes

La BI offre une vue claire et synthétique de l’état de l’entreprise, en analysant les données historiques et actuelles. Elle en facilite la compréhension grâce à la datavisualisation et facilite ainsi la prise de décision opérationnelle et stratégique.  

La centralisation des données 

Un outil de Business Intelligence performant comme MyReport permet de structurer et de centraliser vos données financières. Il agglomère les informations et crée ainsi un référentiel commun et fiable, améliorant ainsi la cohérence et le pilotage de l’entreprise. 

Une visualisation efficace

MyReport propose des tableaux de bord interactifs et des graphiques qui facilitent l’interprétation des tendances et des relations entre les données. Cette visualisation efficace aide à la compréhension rapide de l’information, aussi bien pour les experts financiers que pour les autres services. La communication des analyses à des fins collaboratives en est aussi améliorée.  

L’accessibilité des données

Une solution de BI comme MyReport se veut facile d’utilisation et accessible, même aux personnes n’ayant pas de connaissances techniques avancées. Les interfaces sont intuitives et une formation est incluse pour garantir une prise en main rapide et efficace par vos équipes.  

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5 raisons pour lesquelles vous n’arrivez à rien décider en CODIR

Le comité de direction est, en théorie, un appui stratégique essentiel pour le dirigeant. C’est là que se discutent les grandes orientations, que s’évaluent les résultats et que se prennent les décisions structurantes pour l’avenir de l’entreprise.

Mais dans la pratique, ces réunions manquent souvent d’efficacité. Les décisions sont repoussées, les débats tournent en rond, les arbitrages peinent à émerger. Pourquoi ? Parce que les membres du CODIR ne disposent pas toujours des moyens nécessaires pour appuyer leurs décisions sur des données fiables, claires et partagées.

Voici cinq raisons fréquentes qui expliquent pourquoi votre comité de direction ne parvient pas à vous accompagner efficacement dans le pilotage stratégique de votre entreprise.

1. Des reportings construits à la dernière minute

Avant chaque comité, vos directeurs passent un temps considérable à extraire, consolider et mettre en forme des données. Ces reportings sont souvent réalisés dans l’urgence, au détriment de leur fiabilité et de leur cohérence.

Résultat : vous vous retrouvez avec des présentations incomplètes, parfois peu comparables d’une réunion à l’autre. La donnée devient un support de communication ponctuelle, au lieu d’être un outil de pilotage continu.

2. Des décisions basées sur des perceptions plutôt que sur des données

En l’absence de chiffres consolidés et partagés, chacun arrive avec sa propre lecture de la situation. Les discussions se fondent alors sur des ressentis ou des hypothèses individuelles, au lieu de s’appuyer sur des éléments factuels.

Ce manque de référentiel commun nuit à la qualité du dialogue stratégique et complique considérablement la prise de décision collective.

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3. Une dépendance forte à quelques profils “experts” de la donnée

Dans de nombreuses entreprises, l’accès aux données reste réservé à un cercle restreint : direction financière, contrôle de gestion, parfois la DSI. Les autres membres du CODIR doivent s’en remettre à eux pour obtenir les indicateurs nécessaires.

Cette dépendance freine les échanges et limite l’autonomie des décideurs. Un pilotage efficace suppose que chacun puisse accéder, analyser et partager l’information de manière fluide et autonome.

4. Des indicateurs disponibles trop tard pour être utiles

Quand les tableaux de bord sont mis à jour manuellement ou ne sont diffusés qu’en amont des réunions mensuelles, la décision s’appuie sur des données déjà obsolètes.

Ce décalage réduit fortement la capacité de réaction de l’équipe de direction. Il est difficile d’ajuster une stratégie ou de corriger une trajectoire avec des indicateurs datés de plusieurs semaines.

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5. Une vision trop fragmentée pour permettre un réel pilotage stratégique

Chaque directeur pilote son propre périmètre, avec ses outils, ses tableaux, ses indicateurs. Il en résulte une vision fragmentée de la performance de l’entreprise, difficile à agréger.

Or, pour décider efficacement, un comité de direction a besoin d’une vision transversale, partagée et actualisée. Faute d’un outil central de pilotage, la coordination stratégique reste limitée.

Redonner au CODIR sa fonction stratégique

Un comité de direction efficace repose autant sur la qualité des personnes que sur les moyens mis à leur disposition. Lorsque les données sont accessibles, fiables, et partagées dans un format clair et exploitable, les décisions sont plus rapides, plus alignées, plus pertinentes.

Des outils comme MyReport permettent à chaque membre du CODIR de disposer en toute autonomie des bons indicateurs, actualisés régulièrement, sans dépendance technique, et partageables en quelques clics.

De quoi transformer le comité de direction en véritable organe de pilotage, au service des décisions stratégiques de l’entreprise.

Réussir le reporting CRDS de votre entreprise

Qu’est-ce que la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) 

La Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) est une directive européenne qui marque un tournant majeur dans la manière dont les structures communiquent sur leurs performances en matière de durabilité. Entrée en vigueur en janvier 2023, cette nouvelle réglementation vient renforcer et remplacer la NFRD (Non-Financial Reporting Directive), jugée insuffisante face aux enjeux climatiques, sociaux.

Elle s’inscrit dans une stratégie globale portée par l’UE pour construire une économie plus responsable, plus transparente et plus durable. Elle vise à harmoniser le reporting extra-financier des sociétés, en instaurant des normes communes (les ESRS, pour European Sustainability Reporting Standards), et en exigeant un niveau de précision et de transparence plus élevé sur les informations publiées. Elle est également vue comme une corde de plus à ajouter aux outils de prise de décision pour les dirigeants.

CSRD : définition et signification

La CSRD, pour Corporate Sustainability Reporting Directive, est un texte législatif adopté par la Commission européenne qui encadre la publication d’informations extra-financières sur les pratiques environnementales, sociales et de gouvernance des groupes. Elle s’inscrit dans la stratégie du Pacte vert européen et répond à un besoin croissant de transparence sur les impacts réels des activités économiques.

Entrée en vigueur en janvier 2023, elle remplace l’ancien cadre réglementaire, trop limité dans son périmètre et ses exigences. Elle élargit considérablement le nombre d’entreprises concernées et impose une standardisation rigoureuse des rapports via l’introduction des ESRS, les normes européennes de reporting en matière de durabilité.

Pourquoi la CSRD a-t-elle été créée ?

Jusqu’à récemment, les publications extra-financières des sociétés étaient souvent partielles, peu comparables et difficilement exploitables, à la fois pour les parties prenantes internes (comités de direction, conseils d’administration) et externes (investisseurs, clients, régulateurs). L’UE a donc souhaité encadrer plus fermement ce type de reporting, afin d’harmoniser les pratiques et de fiabiliser les data communiquées.

L’ambition est double : rendre les entreprises responsables de leurs impacts ESG tout en renforçant la confiance du marché dans les démarches dites durables. Il ne s’agit plus seulement d’un exercice de communication ou d’image, mais bien d’un compte-rendu structuré, auditablе, intégré à la stratégie de l’entreprise.

Elle est également un levier pour activer la finance, en permettant aux acteurs financiers d’évaluer objectivement les risques et opportunités liés à la transition écologique et sociale. En d’autres termes, mieux informer pour mieux financer.

Les indicateurs à suivre pour une stratégie RSE cohérente

La loi impose la publication d’indicateurs précis, organisés autour des trois piliers du développement durable :

  • Environnement : émissions de gaz à effet de serre (scope 1, 2 et 3), consommation d’énergie, empreinte carbone, biodiversité…
  • Social : politiques RH, santé et sécurité, diversité, qualité de vie au travail, implication des collaborateurs
  • Gouvernance : structure décisionnelle, lutte contre la corruption, politique de rémunération, relations avec les parties prenantes…

Ces informations doivent être collectées, structurées et publiées selon les exigences des ESRS, avec un haut niveau de précision. Cela suppose un véritable travail de fond, à la fois sur le plan opérationnel (collecte des data, fiabilisation, consolidation) et stratégique (alignement avec les targets de l’entreprise, intégration au pilotage).

Reporting extra-financier, CSRD : comment simplifier leur production ?

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Finance verte, économie durable et taxonomie européenne

En parallèle de la CSRD, l’Union européenne a mis en place une taxonomie verte qui définit ce qu’est une activité économique. Ce référentiel est essentiel pour identifier les compagnies réellement engagées dans la transition et orienter les investissements vers les bons projets. Il complète la CSRD en apportant une grille de lecture commune aux acteurs économiques.

Le reporting de durabilité devient donc un outil stratégique, au croisement des exigences réglementaires, des attentes sociétales et des logiques de performance fiduciaire. Pour les dirigeants, c’est un changement de paradigme : la durabilité n’est plus un « nice to have », c’est un critère d’évaluation majeur.

Quelles entreprises sont concernées par la CSRD ?

L’un des changements majeurs introduits par la CSRD réside dans l’élargissement significatif du périmètre des  structures impactées. Là où la NFRD ne s’appliquait qu’à un nombre restreint de grands groupes, la CSRD vise désormais plusieurs milliers d’acteurs économiques à travers l’UE.

Concrètement, sont imapctées :

  • Toutes les sociétés cotées sur les marchés réglementés européens, y compris les PME cotées (à l’exception des micro-entreprises),
  • Les grandes structures dépassant deux des trois seuils suivants : 250 salariés, 40 millions d’euros de chiffre d’affaires, ou 20 millions d’euros de total de bilan,
  • Les filiales européennes des groupes non européennes, dès lors que leur chiffre d’affaires dans l’Union dépasse 150 millions d’euros.

Ce nouveau périmètre représente un saut quantitatif : on estime que plus de 50 000 sociétés seront soumises à cette obligation de reporting, contre environ 11 000 sous le régime précédent.

Cela signifie que de nombreuses entreprises, parfois peu préparées, vont devoir se structurer rapidement pour répondre aux exigences. Ce mouvement vers une transparence accrue ne concerne donc plus seulement les grands groupes internationaux, mais aussi des acteurs de taille intermédiaire, souvent moins bien équipés sur les sujets RSE ou extra-financiers.

Il est également important de noter que certaines entreprises non soumises directement à la CSRD pourraient l’être indirectement. Par exemple, des PME travaillant avec des donneurs d’ordre soumis à la directive pourront être sollicitées pour fournir des informations nécessaires à la consolidation des rapports de durabilité. L’effet d’entraînement est donc réel, même en dehors du champ réglementaire strict.

Quelles obligations et conséquences pour les entreprises ?

Elle transforme en profondeur la façon dont les structures abordent le reporting extra-financier. Elle introduit une série d’obligations structurées autour de la fiabilité, de la comparabilité et de la transparence des informations publiées. Ces nouvelles règles s’accompagnent d’un niveau d’exigence inédit, qui implique une montée en compétence des équipes, une refonte des processus internes et un effort d’alignement stratégique.

De la NFRD à la CSRD : ce qui va changer

La transition ne se limite pas à une extension du périmètre. Le changement est aussi qualitatif. Alors que la NFRD laissait une grande liberté dans la manière de présenter les informations, la CSRD impose un cadre strict avec des normes de publication précises : les ESRS. Ces standards européens définissent les thèmes à couvrir, les indicateurs à fournir et le format de restitution.

Par ailleurs, les compte-rendus devront désormais faire l’objet d’une vérification obligatoire par un tiers indépendant, ce qui marque une évolution vers une forme d’audit des informations extra-financières, similaire à ce qui existe pour les états fiduciaires.

Le principe de la double matérialité

C’est l’un des concepts centraux introduits par la CSRD. La double matérialité signifie que les entreprises doivent rendre compte non seulement de l’impact de leur environnement sur leur résultats (financière), mais aussi de l’impact de leurs activités sur la société et la planète (d’impact).

Cette logique pousse les entreprises à élargir leur champ d’analyse : il ne s’agit plus uniquement de protéger leur bilan, mais de comprendre et de documenter leur rôle dans les transformations environnementales, sociales et économiques en cours.

Le respect des normes européennes (European Sustainability Reporting Standards)

Les ESRS constituent le socle technique de la réforme. Élaborées par l’EFRAG (European Financial Reporting Advisory Group), ces normes visent à homogénéiser la publication des informations extra-financières au sein de l’UE. Elles couvrent à la fois des exigences transversales (stratégie, anticipation des risques, modèles d’affaires…) et des thématiques spécifiques (climat, biodiversité, droits humains, etc.).

Les sociétés doivent se conformer à ces normes, en expliquant les choix d’indicateurs, les méthodologies de collecte des data, et en s’assurant de leur cohérence sur le long terme. L’utilisation de ces standards est obligatoire, sauf justification documentée.

Le partage obligatoire d’informations sur l’ESG

L’une des targets clés est de fournir aux parties prenantes – notamment les investisseurs – des KPI fiables, standardisées et facilement accessibles. C’est pourquoi les groupes devront intégrer leur rapport de durabilité dans leur compte-rendu de pilotage, et publier leurs data au format numérique structuré (XHTML + balisage XBRL).

Les sanctions d’une mauvaise application de la CSRD

Comme pour toute obligation réglementaire, des sanctions sont prévues en cas de non-conformité. Elles seront définies au niveau national par chaque État membre, mais elle impose qu’elles soient “effectives, proportionnées et dissuasives”. Cela peut inclure des amendes, des injonctions de correction, voire une atteinte à la réputation en cas de publication jugée trompeuse ou incomplète.

Les autorités de contrôle auront également la possibilité de vérifier les indicateurs publiés, en s’appuyant sur les commissaires aux comptes ou organismes tiers responsables de la vérification. Le non-respect pourra donc avoir un impact à la fois juridique, fiduciaire et stratégique.

Quand appliquer la CSRD ?

Le calendrier d’entrée en vigueur de la CSRD a été pensé pour permettre une montée en charge progressive. L’application des obligations varie selon la taille et le type d’entreprise, avec une logique d’élargissement par vagues successives. Comprendre ce calendrier est essentiel pour anticiper la conformité et structurer efficacement sa feuille de route.

Voici les principales étapes du déploiement de la CSRD :

1er janvier 2024 – Grandes entreprises déjà soumises
Les structures qui étaient déjà tenues de publier un reporting extra-financier (essentiellement les grandes sociétés cotées de plus de 500 employés) doivent appliquer la CSRD à partir de l’exercice 2024. Le premier devra donc être publié en 2025.

1er janvier 2025 – Grandes entreprises non soumises
Les grandes compagnies qui n’étaient pas soumises, mais qui dépassent les seuils réglementaires (250 salariés, 40 M€ de chiffre d’affaires, 20 M€ de total de bilan), entrent à leur tour dans le champ d’application. Elles devront publier leur premier compte-rendu CSRD en 2026.

1er janvier 2026 – PME cotées sur les marchés réglementés
Les petites et moyennes entreprises en bourses y seront soumises à partir de 2026, avec toutefois la possibilité d’un report de deux ans (jusqu’en 2028) si elles le justifient. Cette phase marque un changement important : pour la première fois, la loi s’applique à des structures de taille intermédiaire.

1er janvier 2028 – Entreprises non européennes
Les structures ayant un chiffre d’affaires supérieur à 150 millions d’euros dans l’UE, et disposant d’au moins une filiale ou succursale dans l’Union, devront également publier un report de durabilité conforme à la CSRD, à partir de 2028.

Il est à noter que le reporting devra toujours porter sur l’année fiscale précédente. Ainsi, une société soumise à la règlementation à partir de 2025 devra collecter ses data dès le 1er janvier de cette année-là pour être en mesure de publier un rapport complet courant 2026.

Ce calendrier laisse peu de place à l’improvisation. Les sociétés doivent dès aujourd’hui entamer leur démarche de conformité : évaluer leur niveau de maturité, identifier les écarts, former les équipes, structurer la collecte, définir les rôles internes, etc.

Ce déploiement est aussi une opportunité : celle de transformer les contraintes réglementaires en levier de résultat, d’engagement et de différenciation sur le marché.

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Piloter le reporting CSRD pour votre entreprise

La mise en conformité avec la directive ne peut pas se limiter à une opération ponctuelle ou descendante. Elle implique un véritable changement de posture : le compte-rendu de durabilité devient une démarche transversale, continue, qui touche à la fois la stratégie, les opérations, la gouvernance, la gérance des kpi et la culture d’entreprise. Autrement dit, il faut piloter ce projet comme un chantier structurant à part entière.

Identifier les parties prenantes internes

Plusieurs directions sont visées par la CSRD : direction générale, direction financière, contrôle de gestion, direction RSE, ressources humaines, systèmes d’information, voire direction juridique. Il est indispensable de désigner un ou plusieurs sponsors en interne, capables de porter la démarche au plus haut niveau et de faciliter l’arbitrage entre les différentes priorités.

Au-delà des fonctions support, certaines directions opérationnelles peuvent aussi être mobilisées : production, logistique, achats… en particulier pour la collecte d’indicateurs de performance environnementale ou sociale.

Structurer la collecte et la consolidation des données

La CSRD repose sur un socle de data solides, traçables, auditées. Cela nécessite de repenser les méthodes de collecte et de fiabilisation de l’information. Dans de nombreuses sociétés, les infos extra-financières sont encore dispersées, stockées dans des fichiers Excel ou issues de sources peu automatisées.

Un bon pilotage passe par la mise en place d’outils dédiés, capables de centraliser, structurer et actualiser les indicateurs clés. C’est là qu’un outil comme MyReport prend tout son sens : il permet de connecter différentes sources, de construire un référentiel clair, de créer des reporting et tableaux de bord financiers automatisés, et de diffuser l’info à l’échelle de l’entreprise.

Mettre en place des processus de validation et de contrôle

Avec la CSRD, les informations publiées devront faire l’objet d’une vérification indépendante. Cela suppose de mettre en place une logique de contrôle interne adaptée : circuit de validation des infos, responsabilité par indicateur, documentation des sources, archivage, etc.

Cette organisation garantit la qualité des livrables, mais elle protège aussi la compagnie en cas de contrôle ou de litige. Le pilotage ne peut donc pas reposer uniquement sur la direction RSE : il doit impliquer l’ensemble de la chaîne de valeur de l’information.

Suivre et ajuster les résultats dans le temps

Le reporting de durabilité n’est pas figé. Les normes évolueront dans les années à venir, notamment avec l’intégration progressive des secteurs spécifiques. Par ailleurs, les attentes des parties prenantes changent, et les pratiques de marché s’améliorent.

Il est donc essentiel d’installer une logique d’amélioration continue : suivre les écarts entre les objectifs fixés et les résultats observés, ajuster les indicateurs, faire évoluer les outils… Le reporting doit devenir un véritable levier de pilotage stratégique, au même titre que les indicateurs financiers.

Quels sont les nouveaux critères de reporting CSRD ?

Avec la CSRD, les compagnies doivent répondre à de nouveaux critères, définis par un périmètre structuré : les ESRS. Ces périmètres uniformisent les contenus attendus et renforcent la comparabilité des KPI publiées.

Ces critères se regroupent autour de trois dimensions majeures :

1. Des normes transversales et thématiques
Les structures doivent publier des indications précises sur des sujets ESG : climat, pollution, conditions de travail, diversité, droits humains, mais aussi stratégie et gestion des risques. L’ensemble du rapport devra s’inscrire dans une logique de cohérence globale, alignée avec les targets de durabilité.

2. Le principe de double matérialité
Toute société doit désormais analyser à la fois l’impact de ses activités sur l’environnement et la société (matérialité d’impact), et l’influence des enjeux ESG sur son bilan (matérialité financière). C’est un changement structurant dans la manière d’aborder le reporting.

3. Une transparence élargie à la chaîne de valeur
La CSRD ne s’arrête pas aux limites de votre : les impacts liés aux partenaires, fournisseurs ou sous-traitants doivent également être pris en compte. Cela implique une collecte de données plus étendue et des outils adaptés pour structurer l’information.

En résumé, ces nouveaux critères exigent une organisation rigoureuse, des processus fiables et une vision claire de la stratégie de l’entreprise. Ils transforment le reporting en un véritable levier de pilotage.

Comment préparer votre organisation pour la CSRD ?

Mettre en place un rapport réussi, ce n’est pas simplement répondre à une obligation réglementaire : c’est installer une dynamique de transformation dans l’entreprise. Pour y parvenir, il faut avant tout inscrire le reporting dans une logique stratégique. Il ne s’agit pas d’un exercice à part, réservé à quelques experts, mais d’un processus transverse qui doit s’aligner avec les objectifs globaux de l’organisation.

Cela commence par l’engagement de la direction. Un compte-rendu crédible suppose que les enjeux ESG soient pris au sérieux au plus haut niveau, intégrés aux arbitrages et aux décisions de pilotage. Plus le projet est porté par la direction, plus il est susceptible de générer de la valeur à long terme.

La qualité des données est également un facteur déterminant. Le succès d’un rapport de durabilité repose sur la fiabilité, la traçabilité et la cohérence des indicateurs publiés. Il faut donc mettre en place des processus solides, mobiliser les bons contributeurs en interne, et instaurer une culture commune autour de la donnée ESG. Cela demande de la méthode, des outils adaptés et un vrai travail d’acculturation auprès des équipes.

Dans ce contexte, le choix d’une solution de reporting Business Intelligence devient un enjeu central. Pour répondre aux exigences sans complexité, tout en gardant la maîtrise des indications, MyReport offre une réponse simple, efficace et évolutive. Grâce à son interface intuitive, à son intégration native dans Excel, et à ses fonctions de diffusion automatisée, MyReport permet aux entreprises de structurer leur rapport, de consolider leurs indicateurs clés, et de partager leurs résultats facilement, en interne comme en externe.

L’automatisation des collectes et des publications permet de dégager un temps précieux pour ce qui compte vraiment : l’analyse, la prise de recul, et la mise en œuvre des actions correctrices. En somme, MyReport ne se contente pas de vous aider à être conforme : il vous donne les moyens d’en faire un levier de pilotage stratégique, accessible à tous, au service d’une performance durable.

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