Face aux exigences croissantes en matière de transparence et de durabilité, le reporting ESG (Environnement, Social et Gouvernance) s’impose comme un levier stratégique pour les entreprises. Mais comment structurer ce reporting et où trouver les données nécessaires ?
Les trois piliers ESG : une vision globale de la performance
Le reporting extra-financier repose sur trois piliers indissociables, chacun couvrant des aspects essentiels de la responsabilité d’une entreprise :
🌍 Environnement
Impact écologique, consommation énergétique, gestion des déchets.
👥 Social
Conditions de travail, diversité, engagement des collaborateurs.
🏛️ Gouvernance
Transparence, éthique, conformité réglementaire.
Dans un monde où les parties prenantes (investisseurs, clients, partenaires) exigent des engagements concrets et mesurables, il est essentiel de collecter et d’exploiter des données fiables sur ces trois dimensions.
Pilier Environnement : mesurer l’impact écologique de l’entreprise
Le pilier environnemental concerne toutes les informations liées à l’empreinte écologique de l’entreprise, notamment sa consommation de ressources naturelles, ses émissions de gaz à effet de serre et sa gestion des déchets.
L’objectif est d’évaluer et de réduire les impacts environnementaux en mettant en place des stratégies d’optimisation et de transition vers des pratiques plus durables.
Pourquoi ces indicateurs sont essentiels ?
Ils permettent aux entreprises de suivre leurs engagements de réduction des émissions carbone, d’optimisation des ressources et de mise en conformité avec les réglementations environnementales. Plus pragmatiquement, le suivi de ces KPI peut également permettre de réaliser des économies sur des postes de dépenses peu monitorés.
Factures fournisseurs, ERP, logiciels de gestion des bâtiments (BMS)
Services Généraux, Service Achats
Émissions de gaz à effet de serre (CO₂ – Scopes 1, 2 et 3)
Bilan carbone (prestataire externe), logiciels de gestion environnementale
Responsable HSE, Service RSE
Taux de recyclage des déchets et volume total généré
Logiciels de gestion des déchets, ERP
Responsable Environnement, Service Achats
Consommation d’eau (m³) et ratio par unité produite
Factures fournisseurs, ERP
Services Généraux, Responsable HSE
Empreinte carbone du transport et logistique
Logiciel de gestion de flotte, ERP, données transporteurs
Responsable Logistique, Responsable Environnement
Pilier Social : piloter les conditions de travail et l’engagement des collaborateurs
Le pilier social évalue l’impact de l’entreprise sur ses collaborateurs et la société au sens large. Il couvre des aspects clés tels que les conditions de travail, la diversité, la formation et la santé des employés.
Un bon suivi des indicateurs sociaux permet d’anticiper les risques sociaux, de renforcer l’engagement des salariés et d’améliorer l’attractivité de l’entreprise.
Pourquoi ces indicateurs sont essentiels ?
Ils permettent de suivre l’évolution des conditions de travail et de la diversité, tout en identifiant les axes d’amélioration pour favoriser le bien-être et la rétention des talents.
Exemples d’indicateurs
Où les trouver
Interlocuteur
Effectif total et répartition par genre (%)
SIRH, rapports RH
DRH
Taux d’absentéisme (%) et nombre moyen de jours d’absence
Logiciels de gestion des temps, SIRH
DRH, Responsable QHSE
Nombre d’accidents du travail (fréquence et gravité)
Outils QHSE (Enablon, Quentic), SIRH
Responsable QHSE, DRH
Taux de formation des collaborateurs (%)
ERP, SIRH, suivi des budgets formation
Service Formation, DRH
Écart de rémunération hommes/femmes (%)
Rapports RH, SIRH
DRH
Taux d’engagement des employés
Enquêtes internes, baromètres RH
DRH, Responsable RSE
Pilier Gouvernance : garantir la transparence et l’éthique d’entreprise
Le pilier gouvernance mesure la qualité de la gestion et de la transparence de l’entreprise. Il englobe la structure du Conseil d’Administration, les pratiques éthiques, la gestion des risques et la conformité réglementaire.
Un bon pilotage des indicateurs de gouvernance permet de renforcer la confiance des investisseurs, des clients et des collaborateurs.
Pourquoi ces indicateurs sont essentiels ?
Ils permettent de garantir une gestion responsable et transparente, réduisant ainsi les risques juridiques et améliorant la réputation de l’entreprise.
Exemples d’indicateurs
Où les trouver
Interlocuteur
Part des femmes au Conseil d’Administration (%)
Rapports annuels, documents juridiques
Direction Générale, Secrétariat Général
Nombre d’administrateurs indépendants (%)
Statuts de l’entreprise, rapports financiers
Secrétariat Général, Conseil d’Administration
Nombre d’incidents de non-conformité signalés
Logiciels de gestion des risques et conformité (SAP GRC, LexisNexis)
Responsable Conformité, Direction Juridique
Existence d’une politique anti-corruption
Manuel de conformité, charte éthique
Responsable RSE, Responsable Conformité
Nombre de formations sur la conformité et l’éthique
SIRH, rapports internes
DRH, Responsable Conformité
Score de transparence et de gouvernance (notation ESG)
Agences de notation extra-financière, rapports internes
Direction Financière, Responsable RSE
RSE : où en sont les PME et comment se lancer ?
Nous avons réuni des experts et des PME afin qu’ils vous apportent un éclairage pragmatique sur les enjeux de la RSE.
C’est un principe central de la directive qui exige que les entreprises analysent leurs données ESG sous deux perspectives complémentaires :
Matérialité financière : Comment les facteurs ESG influencent l’entreprise ?
Quelques exemples :
Les nouvelles régulations sur le carbone augmentent les coûts de production.
La mauvaise gestion de la diversité peut nuire à la réputation et affecter l’attractivité RH.
Les risques climatiques (inondations, sécheresses) perturbent les chaînes d’approvisionnement.
Matérialité d’impact : Comment l’entreprise influence l’environnement et la société ?
Quelques exemples :
L’entreprise émet-elle des gaz à effet de serre en quantité significative ?
Sa politique de rémunération favorise-t-elle l’égalité hommes-femmes ?
L’entreprise impacte-t-elle la biodiversité par l’usage de ses matières premières ?
Pourquoi c’est un changement clé avec la CSRD ?
Contrairement aux anciennes normes (DPEF, NFRD), la CSRD impose aux entreprises de considérer ces deux dimensions et de justifier leur impact ESG avec des données consolidées et vérifiables, sous peine de non-conformité.
Les défis liés à la production de ces indicateurs
Mettre en place un reporting ESG efficace nécessite de surmonter plusieurs obstacles :
Des données dispersées dans différents outils et services : Les informations sont fragmentées entre ERP, SIRH, fichiers Excel et prestataires externes.
Des processus manuels chronophages et sources d’erreurs : Les extractions, copier-coller et consolidations manuelles ralentissent la production des rapports.
Une traçabilité et une fiabilité des données difficiles à garantir : Sans outil structuré, il est complexe d’assurer la conformité et de détecter les incohérences.
Une réglementation en constante évolution : La CSRD, la taxonomie verte et les exigences des investisseurs nécessitent des mises à jour régulières des reportings.
Reporting extra-financier, CSRD : comment simplifier leur production ?
Dans ce livre blanc, découvrez :
Les indicateurs clés à suivre et où les trouver.
Les défis du reporting ESG et comment …
Conclusion : structurer ses indciateurs ESG pour en faire un levier de performance
Si la réglementation impose un cadre strict, elle offre aussi une opportunité de structurer une démarche bénéfique pour l’entreprise. En maîtrisant ses indicateurs ESG, une entreprise renforce sa transparence, son attractivité et sa compétitivité.
La clé ?S’équiper d’un outil capable d’automatiser la collecte et la consolidation des données ESG, pour un reporting fiable, conforme et actionnable.
Et vous, où en êtes-vous dans votre reporting ESG ?
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Longtemps cantonné aux seules performances RSE, le reporting d’entreprise se transforme profondément avec l’émergence des enjeux ESG. Désormais, les structures doivent intégrer une nouvelle dimension à leur communication : le bilan extra-financier. Ce type de reporting dépasse la simple déclaration réglementaire pour devenir un véritable levier stratégique de pilotage durable et responsable.
Contrairement au reporting Business intelligence traditionnel, qui se concentre principalement sur les résultats comptables, une synthèse extra-financière intègre des conditions qualitatives et quantitatives liées à l’impact de l’activité d’une structure sur ses différentes parties impliquées et son environnement au sens large.
Pourtant, malgré son importance croissante, ces rapports restent encore mal compris, voire redoutés par certaines structures. Quels sont les critères à prendre en compte ? Quelles obligations légales devez-vous respecter ? Comment tirer parti de cette obligation pour renforcer l’image de votre entreprise et optimiser vos performances globales ?
Ce guide complet répond à toutes vos questions sur le CR de durabilité et vous propose des solutions pratiques pour le mettre en œuvre efficacement.
Compte rendu extra-financier : qu’est-ce que c’est ?
Ce bilan consiste à mesurer, suivre et communiquer les performances d’une entreprise sur des aspects autres que strictement comptables. Il s’agit notamment des performances environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), devenues incontournables à l’heure où les boîtes sont jugées non seulement sur leurs résultats comptables, mais aussi sur leur impact global.
Contrairement au CR traditionnel, qui se concentre principalement sur les résultats comptables, le dashboard extra-comptable intègre des conditions qualitatives et quantitatifs liés à l’impact de l’activité d’une entreprise sur ses différentes parties impliquées et son environnement au sens large. Les investisseurs, consommateurs, et régulateurs attendent désormais des sociétés qu’elles publient régulièrement des informations précises et transparentes sur ces aspects non financiers.
Reporting ESG, RSE, DPEF : quelle différence ?
Bien que ces termes soient souvent utilisés de façon interchangeable, chacun a sa propre spécificité :
🔹Reporting Environnement, Social et Gestion: il se concentre principalement sur les critères utilisés par les investisseurs et agences de notation pour évaluer les risques des sociétés. L’objectif du reporting repsonsable est donc avant tout d’informer les marchés pour influencer positivement la notation des établissements sur ces critères.
🔹Reporting RSE : il s’adresse plutôt à l’ensemble des parties impliquées de l’entreprise (clients, collaborateurs, fournisseurs, société civile) pour démontrer son engagement en matière de responsabilité sociétale et environnementale.
🔹Déclaration de Performance Extra-Financière (DPEF) : il s’agit d’une obligation réglementaire introduite par la directive Euro sur la publication d’informations non-comptables. Ce document officiel, obligatoire pour certaines structures, doit présenter la manière dont elles prennent en compte les conséquences sociales et environnementales de leur activité ainsi que leur modèle de gestion des risques associés.
Pour mieux comprendre les spécificités des différents types de dashboard extra-comptable, voici un tableau comparatif qui synthétise clairement les objectifs, les publics cibles et les obligations réglementaires associés à chaque approche :
Type de rapport
Objectif principal
Public cible
Obligation réglementaire
Reporting ESG
Informer les marchés et améliorer la notation de l’entreprise pour attirer des investissements responsables.
Investisseurs, agences de notation
Non obligatoire mais fortement recommandé pour faciliter l’accès aux financements spécifiques.
Reporting RSE
Valoriser et communiquer l’engagement sociétal et environnemental de la structure auprès de ses parties impliquées.
Clients, collaborateurs, fournisseurs, société civile
Non obligatoire mais vivement conseillé pour renforcer l’image de marque et la confiance.
DPEF
Répondre aux exigences réglementaires de l’Europe (CSRD, NFRD) en publiant de façon structurée et transparente les performances extra-financières de la compagnie.
Régulateurs, investisseurs, grand public
Obligatoire pour les grandes compagnies et entreprises cotées en Europe.
Que doit contenir un reporting extra-financier ?
Un reporting complet et pertinent doit inclure :
🔹Des KPI responsables : émissions de carbone, consommation d’énergie, gestion des déchets, protection de la biodiversité.
🔹Des condition sociales : égalité hommes-femmes, santé et sécurité au travail, formation des collaborateurs, inclusion sociale.
🔹Des informations sur la gouvernance : éthique des affaires, lutte contre la corruption, transparence des processus décisionnels, politique de rémunération.
Ces éléments doivent être mesurés, vérifiés et accompagnés de preuves tangibles pour assurer la crédibilité des data communiquées.
Quel est l’intérêt du reporting ESG ?
Ce reporting permet à la compagnie d’attirer des investisseurs soucieux des impacts non-comptable, notamment des fonds d’investissement durable. Une bonne notation améliore la valorisation comptable, facilite l’accès aux financements et renforce la confiance des marchés.
Quel est l’intérêt du compte rendu RSE ?
Le dashboard RSE aide l’entreprise à valoriser ses engagements sociaux et environnementaux auprès de toutes ses parties prenantes (clients, employés, fournisseurs, collectivités). C’est un levier puissant d’amélioration de l’image de marque, d’attraction de talents et de fidélisation client.
Quel est l’intérêt du DPEF ?
La DPEF répond à une obligation légale (issue de la directive CSRD) et est donc incontournable pour les organisations concernées. Elle permet de structurer clairement la stratégie de développement durable et d’engager l’entreprise dans une démarche d’amélioration continue, tout en renforçant sa transparence vis-à-vis des parties externes.
En clarifiant ces différents aspects, votre organisation se positionne avantageusement en répondant aux attentes croissantes des investisseurs, clients et autorités publiques en matière de transparence et d’impact positif.
Le cadre juridique du reporting extra-financier
Ce compte-rendu est désormais encadré par des réglementations européennes et nationales précises, ayant pour objectif d’harmoniser les pratiques des compagnies et renforcer leur responsabilité vis-à-vis des défis responsables, sociaux et de gestion. Ce cadre légal évolue constamment, poussant les compagnies à adapter régulièrement leurs pratiques pour rester en conformité.
Les réglementations du reporting extra-comptable
Plusieurs textes majeurs définissent aujourd’hui le cadre juridique du diagnostic extra-comptable, avec notamment :
🔹La directive CSRD en Europe : entrée en vigueur progressivement à partir de 2024, elle élargit le périmètre du compte-rendu non-comptable, renforçant les exigences sur la précision, la comparabilité et la fiabilité des données responsables publiées par les établissements.
🔹La directive NFRD (Non-Financial report Directive), en vigueur depuis 2017, qui a introduit l’obligation de publier une DPEF pour certaines sociétés.
🔹La Taxonomie européenne, cadre de référence pour classifier les activités économiques considérées comme durables sur le plan responsable.
Ces réglementations structurent l’information à fournir et imposent un niveau élevé de transparence et de précision, avec des KPI bien définis pour permettre une comparaison efficace et objective des performances non-financières des structures.
Rapports extra-financiers, CSRD : Simplifiez leur production et gagnez en performance en 2025
Avec l’entrée en vigueur de la CSRD, les rapports extra-financiers deviennent un enjeu incontournable pour les DAF. Produi…
Toutes les structures ne sont pas soumises aux mêmes obligations en matière de dashboard non-comptable. La directive CSRD, entrée en vigueur progressivement à partir de 2024, élargit considérablement le périmètre des sociétés concernées :
🔹Entreprises cotées : Toutes les compagnies en Europe cotées en bourse (sauf les auto entrepreneurs).
🔹Grandes structures dépassant au moins deux des trois seuils suivants :
🔸Plus de 250 salariés
🔸Chiffre d’affaires supérieur à 40 millions d’euros
🔸Bilan supérieur à 20 millions d’euros
La directive impose également aux PME cotées des obligations allégées mais significatives en matière de synthèse dès 2026.
Quels enjeux pour les grandes firmes ?
Pour les grandes structures, cette analyse représente des défis multiples, allant bien au-delà d’une simple contrainte réglementaire. Aujourd’hui, il constitue un véritable enjeu stratégique, influençant à la fois leur pérennité, leur réputation et leur capacité à attirer investisseurs et talents.
Conformité et anticipation
Les grands établissements doivent naviguer dans un cadre réglementaire complexe et en perpétuelle évolution. Avec l’entrée en vigueur progressive de la directive en Europe, ainsi que des réglementations telles que la DPEF, la nécessité d’une veille proactive et d’une conformité rigoureuse devient incontournable. Anticiper ces évolutions en structurant dès aujourd’hui un dashboard extra-comptable fiable permet aux structures de minimiser les risques de non-conformité, d’éviter les sanctions potentielles, et de se positionner avantageusement face aux futures exigences réglementaires en matière de règles sociétales.
Image et attractivité
À l’heure où les conditions responsables, sociales et de gestion influencent fortement l’opinion publique et les choix de consommation, ce dashboard devient un levier essentiel pour renforcer la réputation des grandes compagnies. En communiquant de manière transparente sur leurs engagements et actions concrètes en faveur du développement responsable, elles peuvent accroître leur attractivité auprès d’investisseurs sensibles aux nouveaux défis, mais également auprès de leurs collaborateurs, clients et partenaires commerciaux. Un compte rendu précis et authentique permet ainsi de construire une image positive et responsable, fondée sur la confiance, tout en limitant les risques réputationnels liés aux controverses ou aux scandales potentiels.
Accès aux financements
Aujourd’hui, la prise en compte des éléments sociétaux est devenue déterminante dans les décisions d’investissement. De nombreux fonds d’investissement, banques, et organismes privilégient désormais les structures démontrant clairement leur responsabilité sociale. Un rapport rigoureux et crédible permet donc aux grandes sociétés d’améliorer leur notation, facilitant ainsi leur accès à des financements avantageux tels que les fonds ISR (Investissement Socialement Responsable), les obligations vertes (« green bonds »), ou encore des financements spécifiquement conditionnés par des objectifs sociaux ambitieux.
Quels enjeux pour les PME et start-up ?
Même si les PME et start-up ne sont pas toutes soumises à des obligations strictes en matière de reporting non-financier, intégrer cette démarche dès aujourd’hui représente un réel avantage stratégique pour leur développement futur. Souvent perçu à tort comme une contrainte réservée aux grands établissements, le compte-rendu constitue en réalité une opportunité majeure pour les structures de taille plus modeste.
Anticiper les attentes du marché
Même en l’absence d’une obligation réglementaire immédiate, les attentes du marché évoluent rapidement vers une transparence accrue sur les défis responsables, sociaux. Clients, partenaires commerciaux et investisseurs accordent désormais une grande importance à l’impact des structures avec lesquelles ils collaborent. Ainsi, adopter proactivement un compte-rendu permet aux PME de démontrer leur engagement et leur responsabilité, de répondre aux exigences croissantes de leurs parties concernées, et d’anticiper des éléments qui deviendront probablement incontournables dans les années à venir. Cette anticipation constitue un puissant levier de différenciation, capable d’ouvrir de nouvelles opportunités commerciales et de renforcer la confiance auprès de l’écosystème dans lequel elles évoluent.
Renforcer la compétitivité et l’image
Un dashboard transparent et bien structuré améliore significativement l’image et la réputation des PME et start-up. Ces sociétés sont souvent confrontées à une concurrence accrue sur leurs marchés, et doivent trouver des moyens efficaces de se démarquer. Communiquer clairement sur leurs engagements sociétales leur permet non seulement d’attirer une clientèle de plus en plus sensible à ces problématiques, mais aussi d’accéder à des financements spécifiques, comme ceux dédiés à l’investissement socialement responsable (ISR). De plus, cela favorise l’attraction et la fidélisation des talents qui accordent une importance grandissante à l’éthique et aux valeurs sociétales des sociétés pour lesquelles ils travaillent.
Préparer l’avenir
Enfin, avec l’élargissement continu des obligations réglementaires Euro, notamment à travers la directive CSRD, les PME seront de plus en plus concernées par ces exigences à moyen terme. En intégrant dès maintenant des pratiques solides en matière de compte-rendu, elles gagnent en agilité et en réactivité face aux futures évolutions législatives. Cette anticipation stratégique leur permet d’éviter les situations d’urgence et les coûts d’adaptation liés à une mise en conformité tardive, tout en préparant sereinement leur croissance future sur des bases solides, durables et responsables.
Comment mettre en place un reporting extra-financier dans votre compagnie ?
Mettre en place un diagnostic non-comptable efficace nécessite une approche structurée et rigoureuse. Loin de se limiter à un simple exercice administratif, cette démarche implique une vision stratégique claire et une méthodologie solide pour collecter, analyser et diffuser des infos pertinentes et fiables auprès de vos parties intéressées. Un dashboard non-comptable bien maîtrisé vous permet non seulement d’assurer votre conformité réglementaire face aux évolutions constantes des directives européennes (CSRD, Taxonomie, DPEF), mais il constitue également une opportunité unique de valoriser concrètement vos engagements en matière de responsabilité sociale et de gestion.
En structurant efficacement votre démarche, vous optimisez également votre communication auprès des investisseurs, clients et collaborateurs, tout en renforçant votre position concurrentielle grâce à une meilleure transparence et une confiance accrue sur vos engagements sociétaux. Voici donc les étapes essentielles à suivre pour réussir la mise en œuvre d’un compte rendu dédié au sein de votre entreprise.
Trouver les bons outils pour votre audit
Avant toute chose, il est crucial de sélectionner des outils adaptés à la collecte, au suivi et à l’analyse des 🔹données. Ces outils doivent répondre à certaines conditions essentielles :
🔹Compatibilité avec les référentiels réglementaires : choisissez une solution compatible avec les directives et référentiels reconnus internationalement (GRI, SASB, etc.).
🔹Facilité d’intégration : l’outil doit facilement intégrer des données provenant de différentes sources internes (RH, finances, achats, production…) et externes (fournisseurs, partenaires).
🔹Automatisation et fiabilité : privilégiez des solutions qui automatisent au maximum la collecte et le traitement des données pour limiter les erreurs humaines.
Définir vos indicateurs de performance
Pour piloter efficacement votre performance non-comptable, vous devez déterminer précisément les KPI que vous suivrez. Ceux-ci doivent être choisis en fonction de la stratégie responsable propre à votre organisation, ainsi que des exigences réglementaires et des attentes de vos parties impliquées.
La récolte des données est une étape sensible qui demande rigueur et méthode. Voici comment vous assurer de la fiabilité des data recueillies :
🔹Centraliser la collecte : utilisez un outil de dashboard centralisé pour éviter la dispersion et assurer la cohérence des infos collectées.
🔹Former les équipes : impliquez les équipes concernées (RH, achats, QHSE, finances…) en les formant à l’importance du compte rendu, à la manière de collecter les données et aux bonnes pratiques responsables.
🔹Contrôler et auditer : effectuez des contrôles réguliers pour garantir l’exactitude des infos remontées et réalisez des audits périodiques pour assurer une conformité permanente aux référentiels sociétales.
Une fois collectées, analysez ces données pour identifier vos points forts, vos axes d’amélioration et piloter votre stratégie responsable de manière proactive.
Partager la donnée
Enfin, la transparence est un aspect clé du rapport. Il est donc crucial de communiquer vos performances clairement et régulièrement à vos différentes parties prenantes :
🔹Publication d’un rapport annuel : ce document doit être clair, accessible, et structuré selon les directives réglementaires. Il doit également être disponible publiquement, notamment sur votre site web.
🔹Communication interne : partagez régulièrement vos résultats et vos objectifs en interne pour sensibiliser et engager vos collaborateurs autour des défissociétales.
🔹Dialogue avec les parties externes : organisez des réunions ou des webinaires avec vos partenaires, clients et investisseurs pour expliquer vos démarches, valoriser vos engagements et répondre aux interrogations.
Faites de votre reporting extra-financier un levier stratégique grâce à MyReport
Ce diagnostic n’est plus une simple formalité réglementaire. C’est une opportunité majeure pour les structures qui souhaitent renforcer leur positionnement stratégique, valoriser leur démarche responsable et répondre aux attentes croissantes de leurs parties impliquées en matière de transparence et de durabilité. Qu’il s’agisse de répondre aux obligations de la directive européenne, de mettre en place une politique ambitieuse, ou d’améliorer concrètement votre image auprès des investisseurs et du marché, structurer efficacement votre démarche est indispensable. Grâce à ses fonctionnalités avancées de reporting et tableaux de bords, MyReport vous permet de gagner du temps, d’améliorer la fiabilité de vos données et de valoriser efficacement vos performances auprès de vos partenaires et investisseurs.
Pour réussir cette transition vers un dashboard performant, précis et conforme aux réglementations en vigueur, il est essentiel de vous appuyer sur une solution fiable et intuitive. MyReport vous accompagne à chaque étape, de la collecte automatisée des données jusqu’à l’analyse avancée et la publication simplifiée de vos chiffres responsables. Grâce à ses fonctionnalités avancées de reporting et de tableaux de bord, MyReport vous permet de gagner du temps, d’améliorer la fiabilité de vos données et de valoriser efficacement vos performances auprès de vos partenaires et investisseurs.
Envie de découvrir concrètement comment MyReport peut simplifier et optimiser votre reporting ?
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Qu’est-ce que le besoin en fonds de roulement (BFR) ?
Le besoin en fonds de roulement (BFR) correspond à la somme nécessaire pour financer le cycle d’exploitation d’une entreprise. Il reflète l’écart entre les ressources et les charges courantes de l’activité.
En d’autres termes, le BFR représente la différence entre les créances clients et les stocks d’une part, et les dettes fournisseurs d’autre part. Son montant impacte directement la trésorerie et la stabilité financière de l’entreprise.
Pourquoi les entreprises ont besoin de calculer leur BFR ?
Son calcul est essentiel pour assurer la gestion économique d’une entreprise. Une bonne maîtrise du besoin en fonds de roulement permet de :
S’assurer de la disponibilité de la trésorerie pour financer l’exploitation. Une entreprise doit disposer de fonds suffisants pour couvrir ses charges courantes et garantir la continuité de son parcours. Un BFR mal anticipé peut entraîner des difficultés de paiement et freiner le développement.
Optimiser les délais de paiement et limiter les risques d’impayés. Une entreprise qui accorde trop de facilités de paiement à ses clients sans maîtriser ses encaissements peut rencontrer des difficultés de capitaux disponibles. De même, des conditions de règlement trop courtes accordées aux prestataires peuvent créer des tensions budgétaires.
Améliorer la rentabilité en limitant les frais budgétaires associés à un BFR mal géré. Un besoin en fonds de roulement trop élevé peut nécessiter le recours à des financements externes, ce qui génère des coûts supplémentaires sous forme d’intérêts ou de frais bancaires. En optimisant son BFR, une entreprise peut réduire ces charges et améliorer sa rentabilité globale.
Assurer une meilleure prévision financière pour éviter les tensions de trésorerie. Une vision claire et anticipée du BFR permet aux structures d’adopter des stratégies adaptées pour maintenir un équilibre financier. Cela peut inclure des ajustements dans les processus de facturation, un suivi plus strict des encours clients ou encore une renégociation des délais de règlement avec les fournisseurs.
Anticiper les besoins en ressources à court terme et optimiser la gestion des moyens. Une entreprise qui suit son BFR de manière rigoureuse peut mieux anticiper ses besoins en liquidités et éviter de solliciter en urgence des ressources coûteuses. Cela lui permet également de planifier ses investissements et d’ajuster sa politique de suivi des stocks pour minimiser les coûts.
Faciliter la prise de décision stratégique. Un besoin en fonds de roulement maîtrisé apporte des indicateurs précis aux dirigeants et aux DAF, leur permettant d’ajuster leur stratégie en fonction des tendances observées. Une bonne visibilité du BFR aide à anticiper les périodes de tension pécuniaire et à prendre des décisions éclairées en matière d’expansion, d’investissement ou de réduction des coûts.
Améliorer la relation avec les partenaires économiques. Une entreprise qui connaît et maîtrise son BFR est perçue comme plus fiable par les banques et les investisseurs. Cela facilite l’obtention de crédits ou de nouvelles lignes de ressources à des conditions avantageuses.
Calcul pour créer ou reprendre une entreprise
Le calcul du besoin en fonds de roulement est une étape essentielle pour toutes les sociétés, quelle que soit leur taille ou leur maturité. Une entreprise qui ne suit pas régulièrement son BFR risque de rencontrer des problèmes de trésorerie pouvant affecter son développement et sa stabilité comptable.
Un BFR bien évalué permet de mieux structurer le plan de financement et d’assurer une croissance saine de l’entreprise. En identifiant précisément ses besoins en fonds de roulement, une entreprise peut anticiper les fluctuations de liquidités et mettre en place des stratégies adaptées pour éviter les tensions financières.
Sa supervision est particulièrement importante dans les secteurs où les temps de production sont longs, comme l’industrie, la construction ou encore la distribution. En effet, dans ces secteurs, les temps de versement des clients peuvent être longs, ce qui implique une immobilisation significative de la trésorerie avant d’être encaissée.
Un suivi régulier du BFR permet également d’optimiser la gestion des stocks et d’éviter les surstocks inutiles, qui immobilisent du capital et augmentent les coûts de stockage. De même, il aide à réduire les délais de paiement accordés aux clients et à négocier des conditions avantageuses avec les prestataires afin d’améliorer la trésorerie disponible.
Enfin, une entreprise avec un BFR bien maîtrisé est mieux préparée à gérer des périodes de croissance rapide. Lorsqu’une entreprise se développe, ses besoins en liquidités augmentent, notamment en raison de l’augmentation des créances clients et du stock nécessaire pour répondre à la demande. Un suivi précis du BFR permet d’éviter que cette croissance ne devienne un facteur de déséquilibre financier.
Calcul pour le fonctionnement de l’entreprise
Pour une entreprise en fonctionnement, le calcul régulier du besoin en fonds de roulement (BFR) est un élément fondamental du pilotage financier. Un suivi précis permet d’optimiser les flux de trésorerie et d’adopter des stratégies adaptées pour assurer la stabilité économique de l’entreprise.
Gestion des encours clients : Une analyse fréquente des créances clients est essentielle pour identifier les risques d’impayés et accélérer les encaissements. Une entreprise peut mettre en place des relances automatisées, offrir des conditions de versement attractives (escompte pour paiement anticipé) ou recourir à l’affacturage pour réduire son exposition aux impayés.
Maîtrise des stocks : Un inventaire mal maîtrisé peut avoir des conséquences directes sur le BFR. Un suivi rigoureux permet d’éviter les ruptures qui freinent le business et les surstocks qui immobilisent des moyens importants. L’utilisation d’indicateurs comme le renouvellement des stocks aide à déterminer le niveau optimal de marchandises en fonction de l’activité et du délai de réapprovisionnement.
Optimisation des délais de règlement : Une entreprise doit gérer avec attention les suivis de transaction accordés à ses clients et ceux qu’elle négocie avec ses fournisseurs. Réduire le temps d’encaissement tout en allongeant les paiements fournisseurs permet d’améliorer la trésorerie. Un bon pilotage contractuel et des négociations efficaces avec les partenaires commerciaux peuvent avoir un impact significatif sur le BFR.
Les ratios financiers en lien avec le BFR
Les délais et coûts de rotation de stocks
Un stock trop élevé mobilise inutilement de la trésorerie, tandis qu’un inventaire insuffisant peut perturber les opérations. Le ratio de renouvellement des stocks permet de trouver un équilibre et d’éviter les ruptures d’approvisionnement tout en minimisant les coûts de stockage.
Les délais et coûts de versements clients
Un encours client élevé allonge le temps de récupération des fonds. Optimiser les échéances de paiement est crucial pour améliorer la maîtrise des liquidités. Une bonne supervision des relances clients permet de limiter les risques de retard d’acquitement.
Les délais et coûts du crédit fournisseurs
Un bon financement du BFR implique une négociation efficace du délai de paiement avec les prestataires. Un allongement des crédits fournisseurs sans détériorer la relation commerciale peut améliorer les liquidités disponibles.
Le besoin en fonds de roulement (BFR) est un indicateur financier essentiel permettant d’évaluer la capacité d’une entreprise à financer son temps d’exploitation. Il est indispensable pour comprendre la structure des flux comptables et optimiser la gestion de la trésorerie. Le calcul du BFR repose sur plusieurs composantes clés : les actifs circulants, les dettes d’exploitation et les créances clients.
Comment calculer le besoin en fonds de roulement (BFR) ?
La formule pour calculer le BFR
La méthode de calcul classique du BFR est la suivante :
Éléments
Valeur
Stocks
+ X
Créances clients
+ Y
Dettes fournisseurs
– Z
Calcul du BFR =
X + Y – Z
Cette équation met en évidence les éléments du bilan qui influencent directement le besoin en ressources du cycle d’exploitation. Un BFR positif signifie que l’entreprise doit financer elle-même son activité, tandis qu’un BFR négatif indique que l’entreprise utilise les dettes fournisseurs pour financer une partie de son timing de production.
Calcul BFR simplifié
Une version simplifiée est utilisée pour une lecture rapide de la situation comptable :
Éléments
Valeur
Actifs circulants
+ X
Passifs circulants
– Y
Calcul du BFR simplifié =
X – Y
Cette approche globale permet d’obtenir une estimation rapide du besoin en fonds de roulement en comparant les actifs et les obligations financières à court terme. Un suivi régulier de ce ratio est crucial pour assurer l’équilibre financier de l’entreprise et ajuster les stratégies de maîtrise des finances.
Formule BFR étendu
La méthode de calcul étendue prend en compte des éléments supplémentaires qui impactent le BFR, tels que :
Les charges constatées d’avance, qui représentent les paiements effectués en amont pour des prestations ou des services non encore consommés.
Les autres créances d’exploitation, incluant les avances versées à des partenaires ou des créances fiscales et sociales.
Le niveau de roulement des actifs, qui influe directement sur la rapidité avec laquelle une entreprise transforme ses investissements en liquidités.
Éléments
Valeur
Stocks
+ X
Créances clients
+ Y
Autres créances
+ Z
Dettes fournisseurs
– A
Autres dettes d’exploitation
– B
Calcul du BFR étendu =
X + Y + Z – (A + B)
Le calcul détaillé du BFR permet aux PME d’affiner leur stratégie financière et d’optimiser leur business model en réduisant les délais de paiement, en améliorant le suivi des marchandises et en ajustant les négociations avec leurs partenaires commerciaux. Une maîtrise efficace du BFR a un impact direct sur le chiffre d’affaires, car elle garantit une meilleure fluidité des mouvements comptables et préserve la rentabilité globale de l’entreprise.
Comment financer son besoin en fonds de roulement lors du démarrage de l’activité ?
Le financement du besoin en fonds de roulement ou BFR est un enjeu stratégique pour toutes les sociétés, qu’elles soient en phase de lancement, en pleine croissance ou en période de transition.
Une mauvaise anticipation du BFR peut engendrer des tensions de liquidités et freiner le développement de l’exercice. Pour y remédier, plusieurs solutions existent :
Les crédits bancaires : Les sociétés peuvent solliciter des prêts à court terme ou des lignes de crédit dédiées au financement du BFR. Ces solutions permettent d’obtenir rapidement des liquidités pour couvrir les besoins immédiats.
L’affacturage : Cette solution consiste à céder ses créances clients à une société d’affacturage en échange d’un financement anticipé. Cela permet d’améliorer la trésorerie en réduisant le temps d’encaissement.
Les subventions et aides publiques : Certains dispositifs d’aides et de subventions peuvent être mobilisés pour financer le BFR, notamment dans le cadre de la création ou du développement d’une entreprise.
L’optimisation du délai de paiement : Leur négociation avec les clients et les fournisseurs est une stratégie clé pour améliorer la supervision du BFR. Réduire le temps d’encaissement et allonger les temps d’acquittement fournisseurs permet de limiter le recours à des financements externes.
Le crowdfunding et le capital-investissement : Pour les PME en croissance, il est possible de solliciter des investisseurs ou d’avoir recours à la collecte de fonds participative afin de mobiliser des fonds destinés à soutenir le processus d’exploitation.
L’émission d’obligations à court terme : Certains établissements choisissent d’émettre des titres de créance pour obtenir des fonds rapidement et à moindre coût par rapport aux prêts bancaires.
L’auto-financement : Un suivi rigoureux des excédents de fonds permet d’autofinancer une partie du BFR sans recourir à des financements externes.
Chaque entreprise doit choisir le moyen de financement le plus adapté à son exercice, sa structure financière et son chiffre d’affaires afin d’optimiser son bilan et d’assurer une conduite saine de ses actifs.
Comment interpréter efficacement son besoin en fonds de roulement ?
Résultat du BFR
Explication
Le besoin en fonds de roulement est positif
L’entreprise doit financer elle-même son cycle d’exploitation. Cela peut signifier un recours à des financements externes.
Le besoin en fonds de roulement est négatif
Les dettes fournisseurs financent les opérations, ce qui peut être un atout si bien géré.
Le besoin en fonds de roulement est nul
La structure n’a pas de besoin à financer, ce qui simplifie le pilotage de la liquidité et réduit les risques de tension financière.
Comment améliorer le besoin en fonds de roulement ?
L’optimisation du besoin en fonds de roulement (BFR) est un levier essentiel pour garantir la stabilité budgétaire et la croissance d’une entreprise. Une conduite efficace du BFR permet de dégager des liquidités, de réduire la dépendance aux financements externes et d’assurer une meilleure rentabilité. Plusieurs stratégies permettent d’améliorer son BFR et d’optimiser le pilotage des flux comptables.
1. Un meilleur suivi des stocks
Un suivi rigoureux des produits en entrepôt est indispensable pour éviter d’immobiliser inutilement des fonds. Une entreprise qui surstocke mobilise des moyens fiduciaires qui pourraient être investies ailleurs, tandis qu’un sous-stock peut entraîner des ruptures et nuire au bon déroulement de l’activité.
Pour améliorer cette coordination :
Mettre en place un suivi des niveaux de stock en temps réel afin d’adapter l’approvisionnement aux besoins réels.
Optimiser le cycle d’approvisionnement en négociant des livraisons plus rapides et en ajustant la fréquence des commandes.
Éviter le surstockage de produits à faible rotation en s’appuyant sur des analyses précises des ventes et des tendances.
Avec des outils comme MyReport, les sociétés peuvent analyser l’évolution de leur marchandises, ajuster leurs commandes et anticiper les variations de la demande pour un équilibre optimal entre stock disponible et immobilisation de fonds.
Contrôleurs de gestion, optimisez la qualité de vos données avec un outil de BI.
Découvrez dans ce livre blanc comment optimiser la qualité de vos données avec un outil de BI.
2. Un suivi précis des encours clients et une réduction des délais de paiement
L’optimisation du BFR passe également par une conduite efficace des créances clients. Un encours client élevé signifie que l’entreprise finance ses ventes sans encore avoir encaissé l’argent correspondant, ce qui peut entraîner des tensions de finances.
Pour améliorer cet aspect :
Réduire le temps de règlement clients en mettant en place des politiques de facturation rigoureuses.
Automatiser les relances pour limiter les retards d’encaissement et éviter les impayés.
Encourager les paiements anticipés en offrant des remises ou des conditions d’acquitement attractives.
Grâce à MyReport, les équipes financières peuvent suivre en temps réel l’évolution des créances clients et identifier les soldes en retard afin de prendre des mesures correctives rapidement.
3. Une négociation efficace avec les fournisseurs
Une supervision optimisée des dettes fournisseurs est un levier important pour améliorer le BFR. L’allongement des paiements des prestataires permet de conserver plus longtemps de la tréso disponible et de limiter les tensions financières.
Les bonnes pratiques incluent :
Négocier des conditions de versements plus longs sans détériorer la relation commerciale.
Établir des partenariats stratégiques avec les fournisseurs pour obtenir des conditions de versement avantageuses.
Éviter les acquitements anticipés inutiles sauf en cas de remises significatives.
Un suivi efficace des dettes fournisseurs avec MyReport permet d’avoir une vision précise des échéances à venir et d’ajuster les versements en fonction des liquidités disponibles.
4. L’utilisation de solutions adaptées pour optimiser le suivi du BFR
L’analyse et le suivi du BFR nécessitent une vision claire et actualisée des données financières. Les solutions comme Le BFR simplifié pour les DAF permettent aux directeurs financiers de disposer d’un outil efficace pour analyser et piloter leur BFR en toute simplicité.
Avec MyReport, les PME peuvent automatiser la collecte des données, visualiser les tendances du BFR et mettre en place des actions correctives avant que des tensions financières n’apparaissent.
Conclusion
Une bonne maîtrise du besoin en fonds de roulement est essentielle pour la stabilité financière et la pérennité des entreprises. L’amélioration du pilotage des marchandises, des créances clients et des dettes fournisseurs permet d’optimiser la tréso et de réduire la dépendance aux financements externes.
Grâce à MyReport, les DAF et dirigeants disposent d’une solution performante pour suivre leur BFR en temps réel, analyser son évolution et ajuster leur stratégie financière. L’anticipation et la gestion proactive du BFR permettent aux PME de sécuriser leur trésorerie, d’améliorer leur rentabilité et de garantir leur croissance à long terme. Vous souhaitez mieux maîtriser votre BFR ? Demandez une démo de notre solution dès maintenant, quand vous le souhaitez 👇
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Le contrôleur de gestion joue un rôle clé dans la performance financière et opérationnelle des entreprises. Leur mission : transformer un volume croissant de données en analyses précises pour éclairer la prise de décision. Pourtant, la qualité de son travail dépend directement de l’outil d’analyse de données et de reporting qu’il utilise au quotidien.
Or, trop souvent, ces outils ne sont pas adaptés à leurs besoins réels. Certains contrôleurs de gestion doivent composer avec des solutions trop limitées (Excel, modules ERP basiques), qui impliquent encore trop de traitements manuels. D’autres, au contraire, se retrouvent face à des plateformes BI trop complexes, nécessitant des compétences techniques poussées et une forte dépendance à l’IT.
Conséquence ? Une perte de temps considérable, des analyses incomplètes ou obsolètes, et une frustration grandissante face à des outils censés être des facilitateurs, mais qui deviennent des obstacles.
Un bon outil de reporting ne doit pas seulement être performant, il doit être accessible et conçu pour répondre aux besoins des contrôleurs de gestion. Dans cet article, nous vous aidons à identifier si votre solution actuelle est un levier de performance… ou un frein à votre efficacité.
1. Quels sont les besoins réels du contrôleur de gestion aujourd’hui ?
Le rôle du contrôle de gestion ne se limite plus à la production de reportings financiers. Ils sont des acteurs stratégiques, garants d’analyses précises pour orienter la prise de décision. Pour cela, ils ont besoin d’outils de reportinget d’analyse à la fois puissants et simples d’utilisation.
Concrètement, un contrôleur de gestion doit pouvoir :
🔹Centraliser les données issues de multiples sources (ERP, CRM, Excel, outils métiers) pour obtenir une vision globale cohérente.
🔹Automatiser la collecte et la consolidation des données afin de limiter les manipulations manuelles et le risque d’erreurs.
🔹Analyser en profondeur les KPI grâce à des fonctionnalités avancées d’exploration des données, sans dépendre de l’IT.
🔹Accéder à des données fiables en temps réel pour des décisions rapides et éclairées.
🔹Être autonome dans la création et la personnalisation des reportings, sans compétences techniques spécifiques.
Si votre outil actuel ne vous permet pas de répondre à ces exigences, il freine probablement votre efficacité au quotidien.
2. Les limites des outils traditionnels
ERP et modules intégrés : puissants mais rigides
Les ERP offrent des modules de reporting, mais ceux-ci sont souvent standardisés et rigides. Ils ne permettent pas toujours de personnaliser les analyses ni d’intégrer facilement des données externes. Les extractions sont souvent laborieuses et nécessitent des retraitements manuels.
💬 Exemple concret :
“Avant, pour réaliser les reportings, les collaborateurs faisaient des extractions de l’ERP qui étaient refiltrées, pour ensuite être repassées à la moulinette d’Access (Microsoft).”
🙋♀️ Agnès De Troy, Contrôleuse financière chez Houlès
Groupe Houlès
MyReport a levé la principale contrainte de l’ERP: avoir des données à jour en temps réel et ainsi gagner en réactivit…
Excel et Google Sheets : trop manuel et source d’erreurs
Bien que très répandu, Excel devient vite limitant dès qu’il s’agit de traiter des volumes importants de données ou de croiser plusieurs sources. Il oblige à des manipulations fastidieuses, expose à des erreurs et ne permet pas de travailler en temps réel.
Outils de BI avancés : puissants mais difficiles à prendre en main
Des solutions comme Power BI ou Tableau offrent des capacités d’analyse avancées, mais elles requièrent souvent des compétences en SQL ou en modélisation. Pour un contrôleur de gestion, cela signifie une dépendance à l’équipe IT pour la moindre modification ou extraction de données.
3. Testez votre outil : est-il vraiment adapté à vos besoins ?
Les outils de reporting et d’analyse ne sont pas tous conçus pour répondre aux exigences spécifiques des contrôleurs de gestion. Certains sont trop basiques et nécessitent de nombreuses manipulations manuelles, tandis que d’autres sont trop complexes et exigent une forte implication de la DSI. Un bon outil doit allier simplicité, puissance et flexibilité pour permettre aux contrôleurs de gestion d’exploiter pleinement leurs données, sans perte de temps ni dépendance aux équipes techniques.
Auto-évaluation rapide 🔎
Répondez par “Oui” ou “Non” pour évaluer votre outil de reporting :
Question 1 sur 8.
Un outil de reporting doit être un accélérateur de performance, pas un frein ! Si votre solution vous impose des tâches manuelles chronophages, limite vos analyses ou vous oblige à solliciter régulièrement l’IT, elle ne vous permet pas d’exploiter tout votre potentiel. Aujourd’hui, des solutions existent pour centraliser et exploiter les données en toute autonomie, sans complexité superflue. Prendre le temps d’évaluer son outil actuel est essentiel pour s’assurer qu’il répond bien aux exigences du métier et aux défis à venir.
4. Quelles sont les nouvelles attentes du contrôleur de gestion en matière d’outils d’analyse ?
Les outils modernes doivent répondre à plusieurs critères fondamentaux pour permettre aux contrôleurs de gestion de travailler efficacement et en toute autonomie.
Une intégration facile avec les systèmes existants : Un bon outil doit pouvoir se connecter aisément aux ERP, CRM, fichiers Excel, bases de données ou encore aux outils IoT et métiers. L’objectif est de garantir une consolidation fluide des données, sans traitement manuel.
Une accessibilité sans expertise technique : Les contrôleurs de gestion doivent pouvoir manipuler l’outil sans avoir besoin de compétences en codage ou en SQL. Un environnement no-code ou low-code est indispensable pour assurer une adoption rapide et efficace.
L’automatisation des tâches répétitives : Fini les extractions manuelles et les copier-coller chronophages. Un outil moderne doit permettre de planifier la collecte, le nettoyage et la mise à jour des données de manière automatique.
Un environnement familier et optimisé : Si Excel reste l’outil le plus utilisé par les contrôleurs de gestion une bonne solution d’analyse doit s’intégrer naturellement à cet environnement, tout en apportant des fonctionnalités avancées (drill-down, exploration multi-sources, calculs dynamiques, etc.).
Une collaboration et un partage simplifiés : Les outils doivent offrir des possibilités de diffusion des tableaux de bord en ligne, un accès multi-utilisateurs avec gestion des droits, et des mises à jour en temps réel des reportings.
Optimisez votre reporting avec un outil conçu pour le contrôleur de gestion
Les contrôleurs de gestion ne peuvent plus se permettre de perdre du temps avec des outils inadaptés, trop rigides ou trop complexes. Pour être véritablement efficace, il faut un outil qui combine puissance, flexibilité et simplicité d’utilisation, tout en répondant aux exigences croissantes en matière de pilotage de la performance.
C’est exactement ce que propose MyReport. Notre solution est conçue pour permettre aux contrôleurs de gestion d’être 100 % autonomes dans la gestion et l’analyse de leurs données, sans dépendre de la DSI ni passer des heures sur des manipulations manuelles.
Avec MyReport, vous pouvez :
🔹Centraliser facilement vos données, quelle que soit leur source (ERP, CRM, Excel, outils métiers).
🔹Automatiser la collecte et la mise à jour des informations pour gagner un temps précieux.
🔹Explorer vos KPI en profondeur, grâce à des fonctionnalités avancées d’analyse accessibles sans compétences techniques.
🔹Personnaliser et partager vos reportings en toute simplicité, avec une gestion fine des droits d’accès.
Vous souhaitez découvrir comment MyReport peut devenir un véritable levier de performance pour votre entreprise ? Demandez une démo dès maintenant et testez la solution en situation réelle 📅
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Le reporting ESG (Environnement, Social et Gouvernance) est essentiel pour les entreprises qui souhaitent souligner leur engagement envers la durabilité. Ce reporting met en lumière les performances des entreprises sur le plan environnemental, social et de la gouvernance, allant au-delà des simples chiffres économiques et financiers.
Il vise à garantir une transparence accrue, facilitant ainsi l’évaluation des entreprises en termes de gestion des risques et de responsabilité sociale et environnementale. Cela est d’autant plus pertinent dans un monde où investisseurs, consommateurs et régulateurs valorisent fortement l’impact environnemental et la responsabilité sociale.
Aujourd’hui, le reporting ESG n’est plus optionnel mais est devenu une obligation réglementaire, notamment avec la Directive sur le Reporting de Durabilité des Entreprises (CSRD) de l’UE. Cet article explore les moyens de simplifier le reporting ESG, un enjeu majeur pour les organisations, et comment cela peut constituer un avantage concurrentiel dans un marché exigeant en durabilité.
L’Essor du reporting ESG
Le reporting ESG s’est imposé comme un impératif stratégique pour les entreprises, face à l’intérêt croissant des parties prenantes telles que les investisseurs, les consommateurs et les régulateurs. Les investisseurs, en particulier, mettent de plus en plus l’accent sur les critères ESG dans leurs décisions d’investissement, comprenant que de bonnes performances ESG sont souvent synonymes de meilleurs rendements financiers et d’une réduction des risques à long terme. Les consommateurs, de leur côté, montrent une sensibilité accrue aux enjeux environnementaux et sociaux.
Ils tendent à privilégier les entreprises aux pratiques responsables, ce qui peut avoir un impact significatif sur la réputation et les ventes. Par exemple, des recherches indiquent que les consommateurs, et notamment les jeunes générations, sont disposés à payer plus pour des produits issus d’entreprises alignées sur leurs valeurs de protection de l’environnement et de justice sociale. Les régulateurs contribuent aussi de manière significative à l’essor du reporting ESG.
Des réglementations comme la Directive sur le Reporting de Durabilité des Entreprises (CSRD) de l’Union européenne imposent désormais le reporting ESG à de nombreuses entreprises, demandant une transparence accrue sur les performances environnementales, sociales et de gouvernance. Ces réglementations visent à harmoniser les pratiques des entreprises avec les objectifs de durabilité et à accroître la confiance des investisseurs et des consommateurs.
En outre, adopter des pratiques ESG solides rend souvent les entreprises plus attrayantes pour les talents. En effet, les employés, en particulier ceux des nouvelles générations, préfèrent travailler pour des sociétés qui reflètent leurs valeurs en matière de responsabilité sociale et environnementale. Cela peut non seulement améliorer la satisfaction et la fidélisation des employés mais aussi contribuer à la performance globale de l’entreprise. En conclusion, le reporting ESG est devenu une nécessité stratégique essentielle pour les entreprises désireuses de satisfaire les attentes de leurs parties prenantes et de se positionner avantageusement dans un contexte économique exigeant une forte orientation vers la durabilité.
DAF, Contrôleur de gestion : comment construire votre tableau de bord parfait ?
Découvrez dans ce livre blanc comment construire votre tableau de bord parfait !
Les entreprises engagées dans le reporting ESG font face à un environnement complexe et changeant, marqué par de nombreux défis. Un défi majeur est la complexité des normes et régulations qui régissent le reporting ESG. Les entreprises doivent respecter une vaste gamme d’exigences locales et internationales, y compris la Directive sur le Reporting de Durabilité des Entreprises (CSRD) de l’Union européenne, la Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR) en Europe, et les propositions de la SEC aux États-Unis pour la divulgation ESG.
Cette multitude de régulations et de normes rend le reporting ESG particulièrement difficile. Les entreprises sont confrontées à des exigences spécifiques à chaque région et secteur, engendrant des coûts et des complexités notables en termes de ressources et de temps. Par exemple, au Royaume-Uni, la Streamlined Energy and Carbon Reporting Regulation (SECR) oblige les grandes entreprises à divulguer leur consommation d’énergie, leurs émissions de gaz à effet de serre, et leurs initiatives d’efficacité énergétique dans leurs rapports annuels.
Un autre défi majeur est la diversité des données à collecter et à analyser. Les entreprises doivent compiler un large éventail de données environnementales, sociales et de gouvernance, souvent réparties entre différents départements et fournisseurs. La collecte de ces données dans divers formats et l’assurance de leur qualité représentent un processus fragmenté et complexe.
Le manque de données de qualité et la dispersion des informations compliquent l’élaboration d’une vue d’ensemble des performances et des risques ESG. De plus, l’absence de standardisation des indicateurs ESG constitue un obstacle supplémentaire. Malgré l’existence de cadres de reporting comme le Global Reporting Initiative (GRI), le Sustainability Accounting Standards Board (SASB), et le Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD), il n’existe pas encore de norme universelle pour le reporting ESG.
Cela oblige les entreprises à naviguer entre différents cadres et normes, ce qui peut réduire la cohérence et la comparabilité des rapports ESG. Enfin, la vérification et la normalisation des données ESG sont des défis importants. Les directeurs financiers et les responsables ESG doivent garantir l’exactitude et la fiabilité des données, en particulier celles relatives à la chaîne d’approvisionnement et au suivi des émissions.
Si la technologie, y compris l’automatisation et l’intelligence artificielle, peut faciliter ce processus, elle ne résout pas totalement les problèmes de vérification et de normalisation. En résumé, les défis du reporting ESG sont variés et nécessitent une approche stratégique et coordonnée pour se frayer un chemin à travers ce paysage réglementaire complexe et en constante évolution.
Les bénéfices d’un reporting ESG simplifié
Un reporting ESG simplifié apporte de nombreux avantages aux entreprises, bien au-delà de la simple conformité avec les réglementations. Parmi les bénéfices clés, on note une augmentation de la transparence et de la crédibilité. En diffusant des rapports ESG clairs, cohérents et fiables, les entreprises gagnent la confiance de leurs parties prenantes, y compris les investisseurs, les clients, les employés et la communauté.
Cette transparence renforce la crédibilité de l’entreprise, ce qui peut améliorer sa réputation et consolider ses relations avec les parties prenantes. Le reporting ESG simplifié encourage également un engagement plus fort de ces dernières. En partageant des informations précises et accessibles sur leurs actions environnementales, sociales et de gouvernance, les entreprises peuvent communiquer plus efficacement leurs buts et avancées.
Cela favorise une collaboration accrue avec les parties prenantes, qui peuvent alors mieux comprendre et soutenir les initiatives de l’entreprise. Cet engagement réciproque est la clé de relations plus fortes et d’une compréhension approfondie des priorités et attentes mutuelles.
En outre, adopter un reporting ESG simplifié aide à améliorer la performance et la compétitivité sur le long terme. En identifiant et gérant les risques ESG de façon efficace, les entreprises peuvent minimiser les risques financiers et opérationnels liés à des pratiques non durables.
Cela peut également ouvrir des opportunités de marché liées à la durabilité, attirer des investisseurs attentifs aux critères ESG et renforcer leur position sur un marché de plus en plus axé sur la responsabilité sociale et environnementale. De plus, simplifier le reporting ESG permet aux entreprises de prendre des décisions stratégiques éclairées. Avec des données ESG précises et comparables, les dirigeants sont mieux équipés pour évaluer les performances de l’entreprise et ajuster leur stratégie afin d’aligner les objectifs de durabilité avec les objectifs financiers.
Un rapport ESG simplifié apporte de nombreux avantages aux entreprises, bien au-delà de la simple conformité avec les réglementations. Parmi les bénéfices clés, on note une augmentation de la transparence et de la crédibilité. En diffusant des rapports ESG clairs, cohérents et fiables, les entreprises gagnent la confiance de leurs parties prenantes, y compris les investisseurs, les clients, les employés et la communauté. Un tableau de bord financier clair et cohérent peut aider à illustrer la performance ESG et ses impacts financiers, renforçant ainsi la crédibilité de l’entreprise.
Data visualisation : guide et bonnes pratiques
Découvrez dans ce livre blanc les bénéfices de la Data visualisation pour votre société.
Les outils à disposition pour simplifier le reporting ESG
Les entreprises peuvent aujourd’hui s’appuyer sur MyReport pour structurer et optimiser leur reporting ESG. En automatisant la collecte et la consolidation des données issues de différentes sources, MyReportsimplifie la production des indicateurs ESG, réduisant ainsi les tâches chronophages et le risque d’erreurs humaines. Grâce à une interface intuitive et une intégration fluide avec vos outils métiers, MyReport facilite l’exploitation des données ESG pour un reporting plus fiable et conforme aux exigences réglementaires.
L’automatisation est un levier clé pour fiabiliser le reporting ESG. MyReport permet d’extraire et de centraliser automatiquement les données environnementales, sociales et de gouvernance depuis vos bases de données, ERP ou fichiers Excel. En limitant les interventions manuelles, MyReport garantit des données homogènes, actualisées et prêtes à être analysées en quelques clics.
La centralisation des données au sein de MyReport offre un référentiel unique pour piloter la performance ESG de votre entreprise grâce notamment à la datavisualisation. Toutes les données clés sont accessibles depuis une plateforme unifiée, permettant une analyse rapide et une visualisation claire des tendances. Vous pouvez ainsi comparer vos performances ESG avec vos objectifs, générer des rapports personnalisés et partager des dashboards interactifs avec les parties prenantes.
Enfin, MyReport permet d’harmoniser le reporting ESG en structurant les données selon les cadres de référence européens. Cette conformité garantit la production de rapports standardisés, répondant aux exigences de la Directive sur le Reporting de Durabilité des Entreprises (CSRD) de l’Union européenne.
MyReport : une solution innovante pour simplifier le reporting ESG
MyReport se présente comme une solution innovante et complète, conçue pour simplifier le processus de reporting ESG. Elle se distingue par sa capacité à intégrer efficacement les critères ESG dans la stratégie de reporting des entreprises, répondant ainsi aux défis actuels dans ce domaine.
Ce logiciel est un outil puissant pour centraliser et gérer les données ESG de manière efficace. Il aligne ces données avec les objectifs de durabilité et les cadres de reporting reconnus, tels que le Global Reporting Initiative (GRI) et le Sustainability Accounting Standards Board (SASB). Un aspect essentiel de MyReport est son suivi et sa mise à jour en temps réel des données ESG, permettant une collecte et une actualisation continues. Cela assure une représentation précise et à jour des performances environnementales, sociales et de gouvernance de l’entreprise.
La fonctionnalité de suivi en temps réel est essentielle pour la prise de décisions éclairées, offrant aux entreprises la capacité de répondre rapidement aux changements et aux nouvelles exigences réglementaires. La personnalisation des rapports représente une autre caractéristique majeure de MyReport. Les utilisateurs peuvent générer des rapports sur mesure, répondant à leurs besoins spécifiques, grâce à une variété d’options de personnalisation pour les tableaux, graphiques et autres éléments de rapport.
Cette capacité de personnalisation rend la présentation des données ESG claire et engageante, améliorant la communication avec les parties prenantes et stimulant l’engagement des investisseurs et des clients. En outre, MyReport propose des fonctionnalités avancées d’analyse des données, soutenant une prise de décision fondée sur des informations précises. Les utilisateurs peuvent créer des tableaux de bord interactifs et des rapports analytiques pour évaluer les performances ESG et identifier les domaines nécessitant des améliorations.
Cette analyse approfondie des données ESG aide les entreprises à prioriser leurs initiatives de durabilité et à aligner leurs stratégies sur leurs objectifs de développement durable. En résumé, MyReport est une solution révolutionnaire qui facilite le reporting ESG en intégrant les critères ESG dans la stratégie de reporting, assurant un suivi en temps réel, et offrant une personnalisation et une analyse détaillée des rapports. Ce qui facilite une prise de décision éclairée et une gestion efficace des performances ESG.
Fiche produit MyReport
Découvrez les caractéristiques et bénéfices de notre solution de BI tout-en-un
Les étapes clés pour implémenter un reporting ESG efficace
Pour mettre en place un reporting ESG efficace, adoptez une démarche à la fois structurée et coordonnée. Voici comment assurer la robustesse et l’efficience de votre processus de reporting ESG.
La première étape est d’identifier et de structurer les processus internes pour la collecte des données ESG pertinentes. Cela implique une analyse approfondie de la stratégie, des opérations et de la chaîne de valeur de votre entreprise. Il est primordial de déterminer les indicateurs ESG spécifiques à votre organisation, en vous appuyant sur des cadres de reporting reconnus tels que le Global Reporting Initiative (GRI), le Sustainability Accounting Standards Board (SASB) ou la Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD). Les données ESG doivent être recueillies à partir d’une variété de sources, y compris les registres opérationnels, les enquêtes auprès des employés, les audits de durabilité et les déclarations réglementaires. L’engagement des parties prenantes, incluant les fournisseurs et les communautés locales, est aussi essentiel pour enrichir votre base de données.
L’implication des équipes internes est déterminante pour le succès de votre reporting ESG. Il est nécessaire de former et de sensibiliser vos employés aux exigences ESG, aux enjeux et aux attentes des parties prenantes. Des formations dédiées peuvent aborder les fondamentaux des critères ESG, les attentes des parties prenantes et les meilleures pratiques du secteur. Établir une gouvernance de projet ESG solide est également essentiel, ce qui implique de structurer et de coordonner les efforts des différentes parties prenantes internes, qu’elles soient décisionnaires ou activement impliquées dans les projets. La création d’un comité ESG permet de fixer les étapes, les priorités et les objectifs SMART (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes, Temporisés).
La mesure des résultats est une étape clé du processus de reporting ESG. Il est important de définir des indicateurs clés de performance (KPI) pour évaluer les progrès et les performances ESG de l’entreprise. Ces KPI doivent être corrélés aux données financières pour illustrer l’impact des activités de l’entreprise sur ses performances financières, en accord avec le principe de la double matérialité de la CSRD. Le suivi en temps réel des données ESG et la mise à jour continue des rapports sont vitaux pour une prise de décision éclairée.
Les entreprises doivent être prêtes à ajuster leurs stratégies et leurs actions en fonction des résultats obtenus et des nouvelles exigences réglementaires. Cela exige une flexibilité et une capacité d’adaptation continues pour garantir la pertinence et l’efficacité du reporting ESG. En résumé, l’implémentation réussie d’un reporting ESG demande une démarche structurée, une implication active des équipes et une mesure continue des résultats, assurant ainsi que les entreprises répondent aux attentes des parties prenantes, se conforment aux réglementations et améliorent leur performance et leur réputation sur le long terme.
Le rapport ESG comme un avantage concurrentiel
En conclusion, le reporting ESG transcende désormais la simple conformité réglementaire pour devenir une démarche stratégique clé. Cette approche est vitale pour les entreprises aspirant à se distinguer dans un contexte économique qui valorise de plus en plus la durabilité. Simplifier le processus de reporting ESG est essentiel pour naviguer avec agilité dans un paysage réglementaire complexe et répondre efficacement aux attentes des parties prenantes. Adopter une démarche proactive en matière de reporting ESG peut se révéler être un avantage concurrentiel de taille.
En intégrant les critères ESG au cœur de leur stratégie de reporting, les entreprises peuvent non seulement améliorer leur image, mais aussi attirer de nouveaux talents et élargir leur accès au capital grâce à une confiance accrue de la part des investisseurs. Une stratégie gagnante consiste à structurer les processus internes, à engager et former les équipes, et à évaluer et ajuster continuellement les performances ESG.
Cette approche exige une vision claire et l’intégration des principes de gestion responsable à travers toutes les opérations de l’entreprise, comme le préconise le management responsable. Avec des outils avant-gardistes tels que MyReport, simplifier le reporting ESG devient possible, assurant ainsi une plus grande transparence et crédibilité, tout en renforçant les relations avec les parties prenantes. Si vous êtes prêt à faire de votre reporting ESG un levier de compétitivité, demandez une démo de MyReport aujourd’hui pour explorer comment optimiser vos processus de reporting ESG.
Avec MyReport, les entreprises bénéficient d’une transparence et d’une crédibilité renforcées, tout en consolidant leur relation avec les parties prenantes et en améliorant leur performance et compétitivité sur le long terme. N’attendez plus pour faire de MyReport votre allié : demandez une démo dès aujourd’hui et transformez votre reporting ESG en un avantage concurrentiel majeur.
Pour plus d’informations et pour découvrir comment MyReport peut vous assister dans la simplification de votre reporting ESG, demandez une démo dès à présent.
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Le reporting ESG (Environmental, Social, and Governance) est la manière dont les organisations divulguent leurs performances et progrès dans trois domaines essentiels : l’environnement, la responsabilité sociale, et la gouvernance. Cette communication inclut des informations quantitatives et qualitatives concernant l’impact environnemental de l’entreprise, ses pratiques sociales, et sa gouvernance interne. Il a pour but de favoriser la transparence, renforcer la confiance et offrir des détails précis sur les opérations de l’entreprise ainsi que leur effet sur la société et l’environnement. Il est évidemment en lien avec les nouveaux rapports extra-financiers que les directions financières doivent adopter.
Que signifie ESG ?
ESG est l’acronyme de Environnement, Social et Gouvernance. Il sert à évaluer les performances extra-financières d’une entreprise dans ces trois catégories, comprenant l’impact écologique, la gestion des ressources, les relations avec les employés, les fournisseurs, les clients et les communautés, ainsi que la gouvernance d’entreprise (leadership, rémunérations, audits, contrôles internes, et droits des actionnaires).
Qu’est-ce qu’un reporting ESG ?
Un reporting ESG est un document qui synthétise les efforts d’une entreprise en matière d’impact environnemental, social et de gouvernance. Il contient des données quantitatives et qualitatives pour évaluer la durabilité de l’entreprise, partageant ses initiatives, impacts, et résultats avec les parties prenantes telles que les investisseurs, consommateurs, employés, et régulateurs.
Quelle est la différence entre ESG et RSE ?
La principale différence entre ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) et RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) réside dans leur perspective et objectif. La RSE concerne l’engagement volontaire des entreprises à intégrer des considérations sociales, environnementales, et économiques dans leurs opérations, visant le développement durable et le bien-être collectif. L’ESG, en revanche, représente un ensemble de critères pour les investisseurs et agences de notation afin d’évaluer la performance durable d’une entreprise sous les angles environnemental, social, et de gouvernance, souvent sous l’influence réglementaire ou de la demande des investisseurs.
Le contrôleur de gestion industriel, un métier sous haute pression
Dans un environnement industriel en constante évolution, les contrôleurs de gestion jouent un rôle crucial. Ils sont les gardiens de la performance économique de leur entreprise, jonglant quotidiennement entre l’analyse des coûts de production, le suivi des marges, et l’optimisation des flux. Leur mission ? Fournir des analyses précises et pertinentes, indispensables pour orienter les décisions stratégiques.
Mais dans ce secteur complexe, les défis ne manquent pas. La gestion de données provenant de multiples sources – ERP, systèmes de production, logiciels de gestion des stocks – est un véritable casse-tête. Ajoutez à cela l’urgence de produire des reportings fiables et exploitables en temps réel, et vous obtenez un quotidien marqué par la pression et l’exigence.
Face à ces enjeux, de nombreux contrôleurs de gestion industriels s’appuient sur des outils de reporting pour structurer et analyser leurs données. Pourtant, ces solutions la plupart du temps intégrées dans les ERP montrent rapidement leurs limites lorsqu’il s’agit de répondre aux spécificités d’une activité industrielle. Manque de flexibilité, complexité dans l’exploitation des données, ou encore impossibilité de piloter certains indicateurs clés : autant de freins qui entravent l’efficacité des contrôleurs de gestion et réduisent leur capacité à agir avec précision.
Dans cet article, nous verrons pourquoi les outils de reporting classiques, tels que les modules standards d’ERP ou les solutions généralistes comme Excel, peinent à répondre aux spécificités du contrôleur de gestion industriel. Ces outils, souvent rigides et peu adaptés, limitent la capacité à centraliser des données complexes ou à piloter des indicateurs clés. À l’inverse, une solution de Business Intelligence comme MyReport se démarque en offrant flexibilité, performance et une approche pensée pour les besoins uniques de votre métier de contrôleur de gestion industriel.
1. Les défis spécifiques des contrôleurs de gestion industriels
Le rôle du contrôleur de gestion industriel est particulièrement exigeant, car il nécessite de jongler avec des données multiples et complexes tout en répondant aux impératifs d’efficacité et de précision. Voici un aperçu des principaux défis auxquels ils sont confrontés au quotidien :
Un environnement complexe et fragmenté
Les entreprises industrielles génèrent une immense quantité de données provenant de sources variées, telles que les ERP, qui centralisent les informations financières et logistiques, les systèmes MES (Manufacturing Execution System) utilisés pour le suivi des opérations de production, les outils de gestion des stocks, ainsi que les capteurs connectés et machines intelligentes.
La diversité de ces systèmes complique l’accès aux données et leur consolidation, ce qui augmente les risques d’erreurs et de pertes de temps. Pour un contrôleur de gestion industriel, centraliser ces informations est indispensable afin de garantir une vision globale et cohérente de la performance.
Des indicateurs spécifiques à suivre de près
Le choix des KPI en contrôle de gestion industriel n’est pas figé. Comme le souligne Pierre-Laurent Bescos (formateur en contrôle de gestion à la DFCG), il dépend de plusieurs facteurs :
🔸La stratégie de l’entreprise et ses objectifs financiers.
🔸Le contexte et les outils déjà en place.
🔸Les contraintes opérationnelles (centres de responsabilité, saisonnalité, etc.).
Bien que chaque entreprise ait ses propres spécificités, certains indicateurs restent essentiels pour assurer un suivi efficace de la production et de la rentabilité. Voici quelques KPI fréquemment utilisés dans l’industrie :
🔹 Indicateur clé pour les entreprises travaillant sur devis :
CA en commande / CA journalier = Nombre de jours de CA en portefeuille
CA en commande = montant total des commandes à réaliser.
CA journalier = CA annuel / 360 jours (adaptable selon la saisonnalité des ventes).
➡ Cet indicateur donne une bonne vue de l’horizon à venir concernant l’activité d’une entreprise.
🔹Le TRS (Taux de Rendement Synthétique) : une mesure clé pour évaluer l’efficacité des équipements de production.
🔹Les coûts de production : analyse détaillée des coûts directs (matières premières, main-d’œuvre) et indirects (maintenance, énergie).
🔹Les écarts budgétaires : suivi des écarts entre prévisions et réalisations pour optimiser les marges.
🔹Les flux de stocks : contrôle précis pour éviter les ruptures ou les surstocks, qui impactent directement la rentabilité.
🔹Valorisation des stocks : Évaluation de la valeur des stocks pour une gestion financière précise.
🔹Temps théoriques vs réels de production : Comparaison des temps théoriques et réels pour identifier les écarts et optimiser les processus.
🔹État des commandes : Suivi de l’état des commandes, incluant les étapes de traitement et les délais de livraison.
Un KPI pertinent pour une entreprise peut être inutile pour une autre. Le choix des indicateurs dépend des priorités stratégiques, des données disponibles et du secteur d’activité. Un suivi pertinent implique donc une capacité à adapter ses tableaux de bord en fonction des évolutions de l’entreprise et du marché.
C’est là que MyReport se distingue, en permettant aux contrôleurs de gestion industriels de personnaliser leurs analyses sans contrainte technique, tout en garantissant une fiabilité optimale des données.
Une pression accrue sur la réactivité du contrôleur des gestion industriel
Dans l’industrie, le temps est un facteur critique. Un retard dans la production ou une erreur de prévision peut entraîner des conséquences importantes, comme une augmentation des coûts, des pénalités de retard ou une perte de compétitivité. Pour rester performants, les contrôleurs de gestion doivent :
🔹Disposer de données actualisées en temps réel pour anticiper les problèmes et prendre des décisions rapides.
🔹Fournir des analyses instantanées à leurs interlocuteurs (direction générale ou financière, production, achats).
Les outils de reporting classiques, souvent rigides et peu interactifs, ne permettent pas cette réactivité. Cela limite la capacité des CDG industriels à agir efficacement dans des situations critiques.
Collaborer efficacement dans un environnement transversal
Dans l’industrie, le temps est un facteur critique. Un retard dans la production ou une erreur de prévision peut entraîner des conséquences importantes, comme une augmentation des coûts, des pénalités de retard ou une perte de compétitivité. Pour rester performants, les contrôleurs de gestion industriels doivent disposer de données actualisées en temps réel, ce qui leur permet d’anticiper les problèmes et de prendre des décisions rapides. Ils doivent également fournir des analyses instantanées à leurs interlocuteurs, qu’il s’agisse de la direction générale, de la production ou des achats.
Or, les outils de reporting classiques (souvent rigides et peu interactifs) ne permettent pas d’atteindre cette réactivité. Cette limitation réduit la capacité des CDG industriels à agir efficacement dans des situations critiques, mettant en péril l’agilité et la performance de l’entreprise.
2. Les limites des fonctionnalités de reporting intégrées
Les fonctionnalités de reporting intégrées dans les ERP ou les outils standards comme Excel sont souvent utilisées par les contrôleurs de gestion industriels pour structurer leurs analyses. Cependant, ces outils, conçus pour des besoins généraux, révèlent rapidement leurs limites face aux spécificités du secteur industriel. Voici pourquoi ces fonctionnalités ne sont pas toujours adaptées :
Des fonctionnalités trop standards pour les besoins industriels spécifiques
Les options de reporting intégrées dans les ERP ou les logiciels standards sont souvent génériques et peu flexibles. Elles peinent à répondre à des enjeux industriels précis, tels que le suivi des KPIs critiques comme le TRS, les coûts par unité produite ou les écarts de stocks, ou encore la personnalisation des analyses nécessaires pour des problématiques complexes, comme l’évaluation de la rentabilité des lignes de production ou l’impact des arrêts machines. Ces limitations obligent souvent les utilisateurs à recourir à des traitements manuels, augmentant les risques d’erreurs et les pertes de temps.
Une compatibilité limitée avec les systèmes industriels
Les entreprises industrielles s’appuient sur une multitude de systèmes tels que les ERP, MES, outils de gestion des stocks ou capteurs IoT, chacun générant des données dans des formats variés. Les fonctionnalités de reporting intégrées rencontrent souvent des limites pour centraliser les données issues de multiples sources, indispensables à une vue d’ensemble cohérente, s’adapter aux spécificités des environnements complexes, notamment pour intégrer des données hétérogènes ou non structurées, et évoluer avec les besoins métiers, ce qui impose fréquemment des ajustements coûteux et chronophages.
Contrôleurs de gestion, optimisez la qualité de vos données avec un outil de BI.
Découvrez dans ce livre blanc comment optimiser la qualité de vos données avec un outil de BI.
Les contrôleurs de gestion industriels passent beaucoup de temps sur des tâches répétitives liées au reporting, notamment :
🔹La consolidation manuelle des données : Les utilisateurs doivent souvent extraire, formater et intégrer les informations issues de différents systèmes.
🔹L’absence d’automatisation : Les mises à jour des rapports ou des tableaux de bord sont gérées manuellement, ralentissant les processus.
🔹Des analyses limitées : Les fonctionnalités intégrées offrent rarement des capacités avancées comme le drill-down ou l’exploration approfondie des données, compliquant l’identification rapide des anomalies ou des écarts.
Des limites en matière de collaboration et de sécurité des données
Dans un secteur où la transversalité est essentielle, ces outils montrent également des faiblesses :
🔹Partage peu fluide : Les rapports sont souvent échangés par email, augmentant les risques de travailler sur des versions obsolètes.
🔹Gestion rudimentaire des accès : Impossible de définir précisément qui peut accéder à certaines données sensibles.
🔹Peu de collaboration en temps réel : Les fonctionnalités existantes ne permettent pas de travailler simultanément sur un même rapport ou tableau de bord.
Un manque d’anticipation et de projection
Les fonctionnalités intégrées dans les systèmes existants se limitent souvent à une analyse descriptive des données passées, sans offrir de capacités avancées telles que la simulation de scénarios pour anticiper les impacts potentiels d’une décision ou le développement d’analyses prédictives, pourtant essentielles pour prévoir les besoins futurs et optimiser les processus industriels sur le long terme.
Des fonctionnalités inadaptées aux réalités industrielles
En conclusion, les fonctionnalités de reporting intégrées ou standardisées, bien qu’utiles pour des tâches simples, montrent rapidement leurs limites lorsqu’il s’agit de répondre aux exigences spécifiques des contrôleurs de gestion industriels. Leur rigidité freine les analyses approfondies, complexifie les processus, et ralentit la prise de décision, ce qui peut avoir un impact direct sur la performance globale de l’entreprise.
10 conseils pour améliorer la qualité de vos données
Découvrez dans cette checklist 10 conseils pour optimiser la qualité de vos données.
3. Pourquoi un outil de BI comme MyReport est la solution idéale ?
Les contrôleurs de gestion industriels ont besoin d’un outil capable de s’adapter aux spécificités de leur secteur tout en offrant flexibilité, rapidité et simplicité d’utilisation. Contrairement aux outils de reporting classiques, MyReport est une solution de Business Intelligence conçue pour répondre précisément à ces exigences. Voici pourquoi MyReport s’impose comme un choix stratégique pour les contrôleurs de gestion industriels.
Une solution adaptée aux spécificités industrielles
MyReport intègre des fonctionnalités pensées pour répondre aux besoins uniques des entreprises industrielles :
🔹Centralisation des données multi-sources : MyReport permet de collecter et d’unifier les données issues de différents systèmes (ERP, MES, CRM, gestion des stocks, capteurs IoT). Cela offre une vue d’ensemble complète et fiable.
🔹Analyse avancée des KPI industriels : suivez facilement des indicateurs clés comme le TRS, les coûts par unité produite ou les écarts de production. Avec MyReport, ces analyses spécifiques sont intégrées dans des tableaux de bord dynamiques et personnalisables.
🔹 Un outil adaptable aux besoins spécifiques Contrairement aux solutions figées des ERP, MyReport offre une flexibilité totale pour choisir et personnaliser les KPI suivis. Que vous souhaitiez analyser l’horizon de votre carnet de commandes ou affiner le suivi de votre marge industrielle, MyReport vous permet d’exploiter les données les plus pertinentes pour votre activité.
🔹Suivi des écarts budgétaires : identifiez rapidement les écarts entre vos prévisions et vos réalisations, grâce à des modèles de reporting configurables en quelques clics.
Simplicité d’utilisation et flexibilité no-code
L’un des atouts majeurs de MyReport est sa prise en main intuitive, parfaitement adaptée aux contrôleurs de gestion qui souhaitent gagner en autonomie et ne plus dépendre de l’informatique pour leurs analyses. MyReport fonctionne directement dans Excel, un environnement familier et déjà maîtrisé par de nombreux utilisateurs. Cela permet une adoption rapide tout en offrant la puissance et la flexibilité d’une solution de Business Intelligence avancée.
Grâce à ses fonctionnalités no-code, MyReport permet de construire des reportings et tableaux de bord simplement en glissant-déposant des données, sans nécessiter de compétences techniques ou de codage. Les tableaux de bord du contrôleur de gestion industriel sont entièrement personnalisables, offrant une grande adaptabilité pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises et évoluer facilement en fonction des priorités stratégiques.
Automatisation et fiabilité
Avec MyReport, oubliez les tâches chronophages et les erreurs fréquentes dues à des processus manuels :
🔹Automatisation des tâches : planifiez la collecte, la consolidation et la mise à jour des données. Vos tableaux de bord se mettent automatiquement à jour, réduisant les risques d’erreurs humaines.
🔹Alertes et notifications : paramétrez des alertes en cas de dépassement de seuils critiques (par exemple, un écart important dans le TRS ou un dépassement des coûts de production).
🔹Fiabilité des données : grâce à la centralisation et à la gestion fine des droits, vous travaillez toujours avec des données fiables et sécurisées.
Collaboration et gestion des droits avancée
Dans un environnement où la collaboration est essentielle, MyReport facilite le partage des informations pour le contrôleur de gestion industriel tout en assurant une gestion rigoureuse des accès :
Partage simplifié des rapports : diffusez vos tableaux de bord à l’ensemble des parties prenantes (direction, production, achats) en toute simplicité.
Gestion fine des droits : attribuez des permissions spécifiques par rôle ou par utilisateur. Vous pouvez contrôler l’accès jusqu’au niveau des champs de données, garantissant la confidentialité des informations sensibles.
Collaboration en temps réel : travaillez à plusieurs sur les mêmes fichiers sans risque de perte ou de modification non autorisée. Publiez vos rapports en ligne et permettez à vos équipes d’y accéder où qu’elles soient.
Anticipation et prise de décision stratégique
Au-delà de l’analyse descriptive, MyReport offre des fonctionnalités avancées pour accompagner les contrôleurs de gestion dans la planification et la simulation. Avec son module d’analyse prédictive, il est possible d’identifier les tendances futures en exploitant l’historique des données. Cela permet d’anticiper les besoins de l’entreprise et d’optimiser les processus en fonction des évolutions prévues.
MyReport vous permet également de simuler différents scénarios afin d’évaluer leurs impacts potentiels. Par exemple, vous pouvez analyser les conséquences d’un changement de fournisseur ou d’une augmentation des cadences de production, et ainsi choisir la meilleure option stratégique. Ces outils apportent une réelle valeur ajoutée en renforçant la capacité à prendre des décisions éclairées et basées sur des données fiables.
DAF, Contrôleur de gestion : comment construire votre tableau de bord parfait ?
Découvrez dans ce livre blanc comment construire votre tableau de bord parfait !
Un allié indispensable pour le contrôleur de gestion industriel
Grâce à ses fonctionnalités avancées, sa simplicité d’utilisation et sa capacité à s’adapter aux spécificités du secteur industriel, MyReport aide les contrôleurs de gestion à gagner du temps, à améliorer la qualité de leurs analyses et à piloter leur performance avec précision.
5. Comment Focal améliore sa performance grâce à MyReport
Focal, acteur majeur dans l’industrie de l’acoustique haut de gamme fondée en 1979, a fait face au défi de moderniser ses outils de reporting pour accompagner sa croissance et améliorer la prise de décision. En optant pour MyReport, l’entreprise a réussi à centraliser ses données, à optimiser ses processus et à offrir une visibilité accrue à ses équipes.
Avec une croissance soutenue et une présence internationale, l’entreprise avait besoin d’une solution de Business Intelligence capable de :
🔹Centraliser les données provenant de son ERP Divalto.
🔹Simplifier la création de tableaux de bord pour un accès facilité aux informations.
🔹Améliorer la qualité des données et garantir leur fiabilité.
🔹Faciliter la diffusion des rapports auprès des différents services.
La solution MyReport
Pour répondre à ces enjeux, Focal a choisi de s’équiper d’une solution de BI. Grâce à MyReport, l’entreprise a notamment pu :
🔹Centraliser ses données financières et opérationnelles : En unifiant les données provenant de son ERP Divalto, Focal a obtenu une vision globale de son activité.
🔹Créer des tableaux de bord sur mesure : Des tableaux de bord personnalisés ont été conçus pour suivre les indicateurs clés de performance (KPI) tels que le chiffre d’affaires par produit, la marge brute, les coûts de production, etc.
🔹Analyser en profondeur ses résultats : MyReport a permis à Focal d’effectuer des analyses approfondies de ses résultats financiers, d’identifier les tendances et les écarts par rapport aux objectifs.
🔹Améliorer la prévision : Grâce à des fonctionnalités avancées d’analyse prédictive, Focal a pu mieux anticiper les évolutions futures et ajuster sa stratégie en conséquence.
Les bénéfices obtenus pour le contrôleur de gestion industriel
🔹Amélioration de la qualité de la décision: Les contrôleurs de gestion de Focal disposent désormais d’informations fiables et à jour pour prendre des décisions stratégiques.
🔹Gain de temps: L’automatisation des tâches répétitives a libéré du temps pour les contrôleurs de gestion, leur permettant de se concentrer sur des analyses plus poussées.
🔹Meilleure visibilité sur la performance: Les tableaux de bord personnalisés offrent une visibilité en temps réel sur les indicateurs clés de performance, permettant de détecter rapidement les anomalies et d’agir en conséquence.
🔹Renforcement de la collaboration: Les tableaux de bord partagés facilitent la communication entre les différents services et favorisent une culture de la donnée.
« Pour exemple, aujourd’hui grâce à MyReport et aux classeurs de nomenclature mis en place
il est possible de connaître en un clic toutes les informations se rapportant à un produit fabriqué :
sa quantité, son fournisseur, ses composants. »
En choisissant MyReport, Focal a fait le choix d’une solution flexible et performante pour optimiser sa gestion de l’information. Les résultats obtenus sont probants : amélioration de la productivité, meilleure prise de décision et renforcement de la culture de la donnée au sein de l’entreprise.
Focal
Découvrez la transformation réussie de Focal avec MyReport : migration d’ERP, automatisation des rapports et optimisation d…
6. MyReport : l’allié incontournable du contrôleur de gestion industriel
Dans un secteur industriel où la gestion des données est un enjeu stratégique, il est essentiel de disposer d’un outil de reporting capable de s’adapter aux spécificités de l’activité. Les outils classiques, souvent trop génériques, ne répondent pas aux besoins complexes des contrôleurs de gestion industriels, en particulier lorsqu’il s’agit de centraliser des données issues de sources multiples et de fournir des analyses pertinentes en temps réel.
Avec MyReport, vous bénéficiez d’une solution conçue pour se connecter à vos outils métiers – ERP, CRM, logiciels de gestion des stocks ou encore systèmes de comptabilité – afin de centraliser toutes vos informations dans une plateforme unique. Cette centralisation garantit une vision globale et cohérente de l’activité, tout en réduisant les risques liés aux erreurs humaines et au cloisonnement des données.
Prêt à transformer votre gestion des données industrielles ? Découvrez comment MyReport peut vous aider à structurer vos analyses et optimiser votre performance. Demandez une démo dès maintenant ! 👇
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Un grand merci à Pierre-Laurent Bescos, spécialiste du contrôle de gestion et formateur à la DFCG, pour ses conseils et son expertise sur le choix des indicateurs en contrôle de gestion industriel. Son analyse nous rappelle qu’il n’existe pas de modèle unique de reporting, et que l’essentiel est de sélectionner les KPI en fonction du contexte et des objectifs de l’entreprise.
Le reporting extra-financier ESG (Environnemental, Social, Gouvernance) s’impose progressivement comme un enjeu clé pour les entreprises, porté par des attentes croissantes des parties prenantes : investisseurs, clients, régulateurs. Ces indicateurs visent à mesurer non seulement la performance financière, mais également l’impact global de l’entreprise sur la société et l’environnement. Cette tendance, renforcée par des régulations comme la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), bien que ne s’appliquant pas encore directement aux PME, incite toutes les entreprises à préparer leur transition vers une gestion plus durable et transparente.
C’est souvent le Directeur Administratif et Financier (DAF) qui hérite de cette mission, qui est souvent perçue comme une contrainte. Mais ce rôle supplémentaire est-il une simple corvée, ou peut-il devenir une véritable opportunité stratégique pour le DAF et son entreprise ?
Le reporting extra-financier est bel et bien un défi pour le DAF
L’accès aux données nécessaires est souvent complexe
Les indicateurs ESG nécessitent de collecter des données éparpillées dans plusieurs départements. Par exemple, les données environnementales peuvent provenir des équipes techniques ou des responsables d’approvisionnement, tandis que les indicateurs sociaux dépendent souvent des ressources humaines. Le DAF doit jouer un rôle de coordination transverse, ce qui représente une charge de travail importante dans des organisations où ces processus ne sont pas encore structurés. Sans un système centralisé, ces collectes se révèlent fastidieuses et sujettes à des erreurs.
Les outils métiers en place sont peu adaptés
La majorité des outils financiers classiques ne permettent pas de répondre aux exigences complexes de ce reporting extra-financier. Par conséquent, de nombreux DAF se retrouvent à gérer des processus manuels, souvent sous Excel, pour tenter de répondre aux besoins de transparence. Ces outils, bien qu’efficaces pour des tâches financières traditionnelles, ne sont pas conçus pour analyser des données qualitatives ou quantitatives issues de multiples sources.
Les attentes liées au reporting extra-financier sont élevées et parfois floues
Les régulateurs et les investisseurs exigent des données ESG fiables, compréhensibles et conformes à des normes variées telles que le GRI (Global Reporting Initiative) ou le SASB (Sustainability Accounting Standards Board). Toutefois, l’absence de standards universels rend leur mesure délicate. Les DAF doivent également composer avec des attentes fluctuantes des parties prenantes, qui cherchent souvent à adapter ces indicateurs à leurs propres besoins.
RSE : où en sont les PME et comment se lancer ?
Nous avons réuni des experts et des PME afin qu’ils vous apportent un éclairage pragmatique sur les enjeux de la RSE.
Mais un défi qui peut être transformé en opportunité stratégique
Renforcer la transversalité et le leadership
La gestion des données ESG positionne le DAF comme un acteur transversal, en lien direct avec tous les départements de l’entreprise. Cette mission offre l’opportunité de démontrer ses compétences de leadership en pilotant un projet structurant pour l’organisation. En devenant le garant des données stratégiques ESG, le DAF renforce son influence interne et améliore sa collaboration avec les directions RH, techniques et marketing.
Apporter une vision globale
Les indicateurs ESG offrent une perspective unique, complémentaire à celle des données financières. Par exemple, mesurer l’empreinte carbone, le bien-être des salariés ou la gouvernance d’une entreprise permet d’apprécier sa performance à travers un prisme plus complet. Le DAF, en apportant cette vision d’ensemble, aide la direction à aligner les objectifs stratégiques sur des enjeux durables, renforçant ainsi la réputation et l’attractivité de l’entreprise.
Améliorer les processus de gestion des données
L’intégration des données ESG pousse naturellement à revoir les systèmes d’information et les outils de collecte. Les plateformes modernes, telles que les solutions de reporting et d’analyse de données comme MyReport, permettent de centraliser les données et d’automatiser les collectes. En améliorant la qualité et la traçabilité des données, le DAF peut optimiser non seulement les processus ESG, mais aussi les processus financiers classiques.
Les bonnes pratiques pour relever le défi du reporting ESG
Centraliser les données dans un entrepôt unique
La centralisation des données permet une vue d’ensemble fiable et cohérente. En regroupant les données issues de différentes sources dans une plateforme unique, le DAF réduit les risques d’erreurs, facilite les mises à jour et garantit une meilleure transparence. Un entrepôt de données performant permet aussi de croiser les données ESG avec les données financières pour des analyses encore plus pertinentes.
Automatiser les collectes récurrentes
Les collectes manuelles sont non seulement chronophages mais aussi sujettes aux erreurs. En adoptant des outils d’automatisation, le DAF peut garantir une collecte régulière, fiable et rapide des données ESG. Cela permet également de libérer du temps pour se concentrer sur l’analyse et l’interprétation des résultats.
Structurer les indicateurs selon des référentiels reconnus
S’appuyer sur des standards comme le GRI ou le SASB offre une structure précise et facilite la compréhension des rapports par toutes les parties prenantes. Ces référentiels permettent également de comparer la performance ESG avec celle d’autres entreprises, renforçant ainsi la crédibilité des données.
Il ne tient qu’au DAF d’envisager le reporting extra-financier comme une opportunité
Loin d’être une simple contrainte, le reporting extra-financier représente une opportunité stratégique pour le DAF. En devenant le garant des données extra-financières, il joue un rôle central dans la stratégie durable de l’entreprise et renforce son influence auprès de la direction. Cette responsabilité lui permet de moderniser les processus, d’améliorer la qualité des données et de contribuer à la réputation de l’entreprise.
Avec les bons outils et une organisation adaptée, le DAF peut transformer cette mission en un levier de différenciation et de performance pour l’entreprise. Le reporting ESG n’est donc pas seulement une obligation à respecter, mais bien une chance unique de réaffirmer la valeur ajoutée du DAF dans un monde en pleine transformation.
Avec MyReport, vous disposez d’une plateforme intuitive et puissante pour automatiser vos collectes, structurer vos indicateurs selon les référentiels clés, et produire des analyses croisées qui mettent en lumière vos performances ESG et financières. Libérez-vous des tâches répétitives pour vous concentrer sur ce qui compte : l’interprétation des données et la prise de décisions stratégiques.
Transformez le reporting ESG en un levier de différenciation et d’innovation avec MyReport. Demandez dès maintenant une démonstration personnalisée pour découvrir comment notre solution peut vous accompagner dans vos ambitions ESG et au-delà. Vous souhaitez en savoir plus ? Demandez une démo dès maintenant 👇
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Votre entreprise vous a mis à disposition une licence Manager, vous êtes formé(e) et prêt(e) à démarrer la création de votre tableau de bord en vue de la réunion qui arrive mais MyReport n’est pas encore installé sur votre poste ? Pour cela vous devez solliciter l’équipe IT mais ils ne sont pas disponibles dans l’immédiat et vous allez devoir attendre, au risque de perdre un temps précieux pour démarrer vos projets de reports ?
Vous souhaitez modifier un KPI de votre tableau de bord mais vous perdez toujours un temps fou à remettre la main sur le bon dossier, le bon report puis le bon onglet ?
Vous en avez marre de devoir passer systématiquement par Excel pour pouvoir creuser et analyser un KPI de votre tableau de bord dans Builder ?
Cette nouvelle version de MyReport va vous faciliter la vie et vous permettre de travailler encore plus efficacement !
Avec MyReport 6.1, accédez directement, depuis le Hub Décisionnel, à la personnalisation de vos dashboards et à leur analyse approfondie dans Excel !
A noter que l’installation de MyReport Updater dans l’entreprise est indispensable pour pouvoir bénéficier de ces nouveautés.
Déployez facilement les modules MyReport Page & MyReport Builder sur votre poste
Avant la 6.1
Vous disposez enfin de la licence tant attendue, vous êtes formé et prêt à démarrer la modification de votre tableau de bord en vue de votre réunion qui arrive, mais MyReport n’est pas encore installé et configuré sur votre poste.
Après avoir passé les multiples étapes de sollicitation de l’IT, le temps de réponse et l’installation, vous avez enfin le module Page. A présent, vous vous retrouvez seul devant votre interface et vous ne savez pas comment accéder au projet. Vous resollicitez votre référent, qui configure votre accès projet.
Après plusieurs heures d’échanges avec l’IT, de temps d’attente et de manipulations multiples, vous pouvez enfin commencer à travailler sur Page. Tout cela vous a fait perdre un temps précieux et votre réunion va bientôt démarrer. Vous remettez votre projet de modification de tableau de bord à plus tard avec frustration.
Et si cette version 6.1 vous permettait de déployer automatiquement et en quelques clics sur votre poste les modules liés à votre licence, et ceci en toute autonomie ?
Avec la 6.1
A l’ouverture de MyReport Center, vous disposez, dans le volet Application, des icônes MyReport Page & MyReport Builder qui vous permettent de télécharger directement et en toute autonomie les modules.
Pourquoi vous allez être fan ?
Plus besoin de solliciter votre équipe IT, vous êtes 100% autonome et avez la main sur l’installation des modules dont vous avez besoin pour avancer sur vos travaux de reporting et dashboard (et par ailleurs, Jean-Michel de la DSI n’en sera que plus ravi puisqu’il pourra de son côté avancer sur la mise en place de la norme ISO 27001, un sujet on ne peut plus stratégique pour l’entreprise 😉).
Modifiez vos indicateurs depuis votre tableau de borden un clic
Avant la 6.1
Place à présent à la modification de votre tableau de bord. Vous souhaitez ajouter un champ à votre listing. Vous ouvrez donc MyReport Page et votre projet. Mais impossible de vous rappeler de quel dossier il s’agit, ni du report ou encore de l’onglet en question. Vous prenez plusieurs minutes à remettre la main sur les bons éléments, passablement agacé. Vous ajoutez votre champ, enregistrez votre report et refermez mécaniquement le module Page pour revenir sur Center… et vous rendre compte qu’il vous manque une info. Vous n’avez alors plus qu’à ré-ouvrir Page et recommencer.
Et si cette version 6.1 vous permettait d’ouvrir Page directement sur le paramétrage de votre graphique depuis Center ?
Avec la 6.1
Il vous suffit de cliquer sur l’indicateur que vous souhaitez modifier en faisant « Ouvrir avec Page » et tadaaaaam :
Vous ouvrez MyReport Page directement sur le paramétrage de votre indicateur. Vous n’avez alors plus qu’à effectuer les modifications souhaitées.
Pourquoi vous allez être fan ?
Vous allez pouvoir passer plus de temps à réfléchir à des sujets stratégiques que vous creuser les méninges pour retrouver le bon chemin pour accéder à votre report. Pas mal non ?
Creusez et approfondissez les données de vos indicateurs sur Excel en un clic
Avant la 6.1
Votre tableau de bord est finalisé et vous souhaitez à présent mieux comprendre les données d’un KPI de ce tableau de bord et les retravailler. Vous utilisez la fameuse boucle Center/Excel, très pratique pour analyser en profondeur les données d’un KPI sur Excel. Vous vous placez sur votre KPI, cliquez sur « Exporter dans Excel », et disposez ainsi des données directement exploitables dans Excel. Toutefois pour les creuser davantage, vous devez repasser par Builder. Vous vous placez cette fois-ci dans votre tableur, cliquez sur « Builder » dans le bandeau Excel, chargez le report en cours, et pouvez désormais retravailler vos données pour obtenir une analyse approfondie de votre KPI.
Cette boucle Center/Excel est certes très pratique, mais elle demande toutefois de nombreux clics.
Et si cette version 6.1 vous permettait d’ouvrir votre KPI Center directement dans Builder sans avoir à passer par la case intermédiaire Excel ?
Avec la 6.1
Il vous suffit de cliquer sur l’indicateur que vous souhaitez modifier en faisant « Ouvrir avec Builder » et de nouveau la magie opère :
Vous ouvrez MyReport Builder directement sur le paramétrage de votre indicateur. Vous n’avez alors plus qu’à effectuer vos modifications et accéder à un reporting plus abouti encore pour une analyse approfondie !
Pourquoi vous allez être fan ?
Vous évitez le passage obligatoire par Excel et son bandeau dont vous n’avez pas besoin dans ce cas-çi. Et parce que quand votre journée est rythmée par les réunions de CODIR & opérationnelles, les comptes-rendus, les prises de décisions et autres projets stratégiques … on ne dit pas non à quelques clics en moins !
Et en plus…
La 6.1 c’est plus de 30 améliorations et 120 corrections depuis la 6.0 !
Quelques-unes de ces améliorations :
Meilleure lisibilité des reports dans le Center (taille police & densité)
Authentification des utilisateurs avec un annuaire ADB2C
Meilleure lisibilité de l’éditeur de personnalisation des API Rest (RSD)
Simplification de la configuration de la connexion SSL côté client…
Découvrez la vidéo de présentation
Comment profiter de cette version 6.1 ?
Vous voulez profiter de toutes ces nouveautés ? On vous explique ici comment procéder :
Vous n’êtes pas client MyReport ? Vous avez raison de vous intéresser à notre solution ! Vos collaborateurs vont pouvoir exploiter tout le potentiel des données de l’entreprise en toute autonomie 😊 Complétez ce formulaire et un membre de notre équipe prendra contact pour échanger avec vous autour de vos besoins et organiser une démo
Vous êtes client MyReport Essential et vous souhaitez en savoir plus sur MyReport Business Evolution ? Remplissez ce formulaire et nous prendrons contact avec vous pour vous faire une démo et un devis.
Vous êtes client MyReport Business Evolution ? Alors il vous suffit de télécharger le setup 6.1 disponible sur le portail MyReport !
Et si vous utilisez déjà MyReport Updater : cliquez juste sur « Mettre à jour » pour que la magie opère !
Dans un monde où les données sont devenues le cœur des entreprises, leur sécurité est un enjeu stratégique. Les PME, bien que moins visibles que les grandes entreprises, sont souvent la cible privilégiée des cyberattaques, car elles sont perçues comme moins bien protégées. Pourtant, une seule faille dans la sécurité des données peut entraîner des conséquences dramatiques : perte de clients, amendes colossales et réputation entachée.
Dans cet article, nous explorerons les principales menaces, les pratiques à adopter pour sécuriser vos données et les outils indispensables pour une protection efficace.
Comprendre les risques liés à la sécurité des données
Les menaces les plus courantes pour les PME
Les PME font face à de nombreuses menaces numériques, souvent sous-estimées. Voici les principales :
🔹Les cyberattaques : Les attaques par ransomwares, phishing et malware sont en augmentation constante. Ces méthodes visent à accéder illégalement aux données de l’entreprise ou à les rendre inaccessibles en échange d’une rançon.
🔹Les fuites internes : Qu’elles soient intentionnelles ou accidentelles, les fuites de données causées par les employés représentent un risque important. Cela inclut l’envoi de fichiers sensibles à des adresses incorrectes ou l’utilisation d’équipements non sécurisés.
🔹Le vol de matériel : Les appareils mobiles et ordinateurs portables contiennent souvent des informations sensibles. Leur vol peut exposer des données critiques si des mesures de sécurité, comme le chiffrement, ne sont pas en place.
Conséquences d’une mauvaise sécurité des données
Les failles dans la sécurité des données peuvent avoir des répercussions lourdes :
Perte de confiance des clients et partenaires : Un incident de sécurité peut nuire durablement à la réputation de l’entreprise.
Sanctions juridiques et réglementaires : En cas de non-conformité aux réglementations comme le RGPD, les PME risquent des amendes allant jusqu’à 4 % de leur chiffre d’affaires annuel.
Coût financier direct : Les cyberattaques entraînent des dépenses imprévues, qu’il s’agisse de payer une rançon, de restaurer les systèmes ou de couvrir les pertes liées à une interruption d’activité.
Bonnes pratiques pour améliorer la sécurité des données
Sensibiliser et former les employés
Les collaborateurs sont souvent le premier maillon faible en matière de sécurité des données. Investir dans leur formation permet de réduire considérablement les risques. Quelques mesures à adopter :
🔹Former les équipes pour identifier les tentatives de phishing et autres arnaques numériques.
🔹Mettre en place une politique de mots de passe robustes, avec des mises à jour régulières.
🔹Sensibiliser les employés à ne pas utiliser de réseaux Wi-Fi publics pour accéder aux données sensibles de l’entreprise.
Sauvegarder régulièrement les données
Les sauvegardes sont essentielles pour minimiser les pertes en cas de cyberattaque ou de panne. Voici les bonnes pratiques :
🔹Planifier des sauvegardes automatiques quotidiennes pour les données critiques.
🔹Diversifier les types de sauvegardes : locales (serveurs internes) et externes (solutions cloud).
🔹Tester périodiquement la restauration des données pour garantir l’intégrité des sauvegardes.
Chiffrer les données sensibles
Le chiffrement permet de rendre les données illisibles sans une clé d’accès. C’est une mesure indispensable pour protéger les informations confidentielles, notamment en cas de vol d’appareils ou de transfert de données sur des réseaux publics.
Limiter les droits d’accès
Adoptez le principe du « moindre privilège » : chaque employé ne doit accéder qu’aux données nécessaires à ses tâches. Une gestion fine des droits d’accès réduit les risques de fuites et d’erreurs.
10 idées reçues sur la Business intelligence (BI)
Démystifiez dans cette checklist 10 idées reçues sur la Business Intelligence.
🔹Obtenir le consentement explicite des utilisateurs avant de collecter leurs données.
🔹Mettre en place des mesures pour sécuriser les données stockées.
🔹Être en mesure de notifier les autorités compétentes en cas de violation de données dans un délai de 72 heures.
Obtenir des certifications en cybersécurité
Les certifications permettent de prouver aux clients et partenaires que votre entreprise respecte des standards élevés en matière de sécurité. Parmi les plus reconnues :
🔹ISO 27001 : Elle atteste de la mise en place d’un système de gestion de la sécurité de l’information (SGSI).
🔹Cyber Essentials : Idéal pour les PME, cette certification garantit une protection contre les cybermenaces courantes.
Stratégies clés pour sécuriser vos données efficacement
Solutions de sauvegarde adaptées
La sauvegarde des données est un élément fondamental de toute stratégie de sécurité. Voici quelques recommandations pour une gestion optimale :
🔹Stockage redondant : Conservez des copies de vos données dans plusieurs emplacements distincts, comme un serveur interne et une solution cloud.
🔹Planification automatisée : Configurez des sauvegardes régulières pour éviter toute perte due à un oubli ou une panne imprévue.
🔹Restaurations régulières : Testez périodiquement la restauration des données pour vous assurer que vos sauvegardes sont utilisables en cas d’incident.
Gestion des mots de passe
Les mots de passe faibles ou réutilisés sont souvent la porte d’entrée des cyberattaques. Pour sécuriser les accès :
🔹Impliquez des règles strictes pour les mots de passe, avec une longueur minimale et des caractères variés.
🔹Renouvelez-les régulièrement et interdisez leur partage entre collaborateurs.
🔹Favorisez l’authentification à deux facteurs (2FA) pour une couche de sécurité supplémentaire.
Surveillance proactive et gestion des incidents
Il est crucial d’avoir une approche proactive pour identifier rapidement les menaces :
🔹Journalisation des événements : Enregistrez les actions sur vos systèmes pour détecter les anomalies.
🔹Analyse des risques : Évaluez régulièrement les vulnérabilités de vos systèmes pour corriger les failles avant qu’elles ne soient exploitées.
🔹Plan de réponse : Préparez un plan clair pour réagir efficacement en cas de violation de données, incluant des étapes pour informer les parties concernées et rétablir les services.
Data visualisation : guide et bonnes pratiques
Découvrez dans ce livre blanc les bénéfices de la Data visualisation pour votre société.
Investir dans la sécurité des données : un choix stratégique
Réduction des coûts de la sécurité des données à long terme
Investir dans la sécurité des données n’est pas seulement une dépense, c’est une stratégie qui génère des économies significatives sur le long terme. Une attaque informatique, une fuite de données ou une amende pour non-conformité au RGPD peut coûter des milliers, voire des millions d’euros à une entreprise. Ces coûts incluent :
🔹Interruption d’activité : Une cyberattaque peut immobiliser vos opérations pendant des jours, entraînant une perte de revenus immédiate.
🔹Réputation ternie : Reconquérir la confiance des clients après une faille de sécurité demande du temps et des ressources importantes en communication et marketing.
🔹Sanctions réglementaires : Les PME sont soumises à des obligations légales strictes en matière de sécurité des données. Une amende pour non-conformité peut atteindre 4 % du chiffre d’affaires annuel global.
👉 Avec une solution comme MyReport, les PME peuvent réduire les coûts liés aux erreurs humaines grâce à des processus automatisés et un contrôle centralisé des données. En sécurisant l’accès et en rendant les systèmes robustes face aux menaces, les entreprises évitent de devoir réparer les conséquences d’un incident, ce qui coûte souvent bien plus cher que de le prévenir.
Renforcement de la confiance
La sécurité des données joue un rôle crucial dans la perception de votre entreprise par les clients, partenaires et investisseurs. Une entreprise proactive en matière de protection des données :
🔹Renforce sa crédibilité : Les clients, surtout dans des secteurs sensibles comme la finance, le retail ou les services, choisissent des prestataires qui garantissent la confidentialité et l’intégrité de leurs informations.
🔹Attire des partenaires solides : Les grandes entreprises et les institutions exigent de leurs partenaires une gestion impeccable de la sécurité.
🔹Se démarque de la concurrence : Une communication transparente sur vos pratiques de sécurité peut devenir un véritable argument différenciateur.
👉 MyReport aide les PME à structurer leurs données et à renforcer leur maîtrise des processus, ce qui contribue à instaurer un climat de confiance. En montrant que votre entreprise prend au sérieux la sécurité, vous rassurez vos interlocuteurs et favorisez des relations commerciales durables.
Préservation de la continuité des activités
En cas d’incident, la continuité des activités est souvent mise en péril. Une faille de sécurité peut entraîner :
🔹Perte d’accès aux données critiques : Sans une gestion rigoureuse, vos données pourraient être rendues inaccessibles par un ransomware ou d’autres types d’attaques.
🔹Ralentissements opérationnels : Une attaque peut paralyser vos équipes, empêchant le suivi des performances ou la production de reportings stratégiques.
🔹Manque de réactivité : Sans plan clair, il est difficile de limiter l’impact d’un incident et de redémarrer rapidement.
👉 Grâce à une approche structurée et des outils comme ceux proposés par MyReport, les entreprises peuvent maintenir leurs activités même en cas de problème. Avec des processus automatisés et des sauvegardes régulières, la reprise est rapide et fluide. MyReport facilite également l’identification des sources de problèmes grâce à des tableaux de bord clairs, permettant une meilleure réactivité face aux menaces.
En investissant dans la sécurité des données et en intégrant des solutions qui fluidifient la gestion des données, les PME assurent leur résilience face aux imprévus et leur capacité à continuer à délivrer de la valeur à leurs clients.
Faites de la sécurité des données une priorité
Dans un contexte où les cybermenaces évoluent constamment, la sécurité des données ne peut être laissée au hasard. Pour les PME, qui disposent souvent de ressources limitées, il est essentiel d’adopter des pratiques solides et de sensibiliser leurs collaborateurs à l’importance de la protection des informations sensibles. La mise en place de sauvegardes fiables, de politiques d’accès rigoureuses et d’un plan de réponse aux incidents garantit non seulement la sécurité, mais aussi la pérennité de l’entreprise.
Chez MyReport, nous comprenons que la sécurité des données est au cœur des préoccupations des PME. Nos solutions vous permettent de centraliser, analyser et partager vos données en toute confiance, grâce à des fonctionnalités qui répondent aux standards les plus exigeants en matière de sécurité. En choisissant MyReport, vous bénéficiez d’un environnement sécurisé pour vos reportings, tout en simplifiant vos processus d’analyse de données et de pilotage de la performance.
Pour aller plus loin, découvrez comment MyReport peut vous accompagner dans la sécurisation de vos données.👇
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Le Data Storytelling, ou l’art de raconter une histoire à partir des données, s’impose comme une compétence clé dans un monde saturé d’informations. Il combine des données fiables, des visualisations percutantes et une narration engageante pour capter l’attention, simplifier des analyses complexes, et guider les décisions stratégiques.
Contrairement à une simple présentation de graphiques ou de tableaux, le Data Storytelling contextualise les données en mettant en lumière des insights stratégiques. Il s’agit de créer un récit cohérent et logique qui relie les chiffres à des actions concrètes, ce qui permet aux entreprises de transformer des informations abstraites en leviers opérationnels.
Les trois piliers du Data Storytelling
1. Les données : La base de tout
Les données sont au cœur de toute stratégie de Data Storytelling. Pour qu’elles soient exploitables, elles doivent répondre à trois critères essentiels :
🔹Fiabilité : Des données erronées ou incomplètes risquent de fausser tout le récit.
🔹Pertinence : Seules les données directement liées à l’objectif du storytelling doivent être utilisées.
🔹Actualité : Les informations obsolètes peuvent entraîner des conclusions désuètes ou inutiles.
Les entreprises doivent s’appuyer sur des outils robustes, tels que des logiciels de Business Intelligence, pour collecter, nettoyer et centraliser leurs données.
2. La visualisation : Rendre les données accessibles
Une visualisation réussie joue un rôle essentiel en simplifiant des données complexes pour les rendre immédiatement compréhensibles. Grâce à des outils performants, il devient possible de transformer des feuilles de calcul longues et fastidieuses en graphiques, diagrammes ou tableaux percutants qui captent l’attention et transmettent efficacement les informations clés. Pour garantir l’efficacité d’une visualisation, plusieurs principes doivent être respectés. La clarté est primordiale : chaque graphique doit transmettre un message unique et précis. La cohérence visuelle est tout aussi importante, avec des codes couleurs et des styles uniformes pour éviter toute confusion. Enfin, la simplicité reste une règle d’or : il est crucial de limiter le nombre d’éléments sur un graphique afin de ne pas submerger l’audience et de favoriser une lecture fluide et intuitive.
3. La narration : Donner vie aux données
Les données et graphiques seuls ne suffisent pas. La narration vient apporter une structure et un contexte aux chiffres. Elle relie les données à des problématiques concrètes et guide l’audience vers une compréhension partagée. Une bonne narration suit une structure claire :
🔹Introduction : Quel est le contexte ou le problème à résoudre ?
🔹Développement : Que disent les données, et que révèlent-elles ?
🔹Conclusion : Quelle est la prochaine étape ou la recommandation clé ?
10 idées reçues sur la Business intelligence (BI)
Démystifiez dans cette checklist 10 idées reçues sur la Business Intelligence.
Pourquoi le Data Storytelling est-il devenu essentiel ?
Accélérer la prise de décision
Dans un monde où le volume de données double chaque année, il devient crucial de les synthétiser pour éviter la paralysie décisionnelle. Le Data Storytelling joue un rôle clé en rendant les données exploitables :
🔹Synthèse rapide : Les décideurs peuvent identifier les priorités sans se perdre dans les détails techniques.
🔹Insights exploitables : La mise en avant des points critiques aide à orienter les actions immédiates.
🔹Précision stratégique : Les conclusions basées sur des données solides renforcent la qualité des décisions.
Engager les équipes et parties prenantes
Les données brutes sont souvent perçues comme froides et abstraites, difficiles à appréhender par les équipes ou les parties prenantes. Le Data Storytelling apporte une dimension humaine en transformant ces chiffres en récits engageants et compréhensibles. Cette approche favorise la collaboration en alignant les différents services autour d’une vision commune, clarifiée et partagée grâce à des représentations visuelles (ou datavisualisation) et narratives percutantes. En donnant du sens aux données, elle motive les équipes en leur fournissant des objectifs tangibles et inspirants, renforçant ainsi leur engagement et leur sentiment d’implication. Enfin, le Data Storytelling améliore considérablement la communication avec des parties prenantes externes comme les investisseurs, les clients ou les partenaires, en leur offrant une compréhension claire et accessible des performances et des projets de l’entreprise.
Démocratiser l’accès à l’information
Toutes les parties prenantes d’une organisation n’ont pas les compétences pour analyser directement des bases de données complexes. Grâce au Data Storytelling, les analyses de données deviennent accessibles à un public plus large, indépendamment de leur expertise technique. Cela favorise une prise de décision décentralisée, une meilleure transparence dans les échanges et une appropriation accrue des initiatives stratégiques par tous les collaborateurs.
Comment maîtriser l’art du Data Storytelling ?
1. Collectez des données de haute qualité
La qualité des données est la pierre angulaire du Data Storytelling. Voici quelques pratiques clés :
🔹Centralisation : Utilisez des outils de BI pour regrouper vos données issues de multiples sources.
🔹Nettoyage : Supprimez les doublons, corrigez les erreurs et standardisez les formats.
🔹Segmentation : Identifiez les données les plus pertinentes pour l’objectif visé.
2. Adaptez votre approche à l’audience
Comprendre son audience est essentiel pour structurer un message clair et percutant. Selon votre public :
🔹Les décideurs stratégiques auront besoin de synthèses claires et de recommandations.
🔹Les équipes opérationnelles nécessiteront des détails pratiques et des guides d’action.
🔹Les partenaires externes apprécieront des chiffres-clés et des projections concrètes.
3. Construisez une narration solide grâce au data storytelling
Un récit captivant repose sur une structure narrative claire et engageante, qui guide efficacement l’audience à travers les données. Tout commence par la définition d’un objectif clair : identifiez précisément ce que vous voulez que votre audience retienne de votre présentation. Cet objectif doit orienter l’ensemble de votre récit. Ensuite, veillez à utiliser des données percutantes, en sélectionnant uniquement les chiffres et informations qui apportent une réelle valeur ajoutée à votre message. Enfin, assurez-vous d’ajouter des transitions fluides pour relier les différentes parties de votre analyse. Cela permet de maintenir un flux naturel et cohérent dans votre récit, facilitant ainsi la compréhension et l’engagement de votre audience.
4. Choisissez les bons outils de visualisation
Des logiciels comme MyReport permettent de créer des visualisations interactives adaptées aux besoins spécifiques de votre organisation. Quelques conseils :
🔹Optez pour des graphes simples (barres, lignes) pour les comparaisons.
🔹Utilisez des tableaux croisés pour explorer des relations complexes.
🔹Assurez une cohérence graphique avec des palettes de couleurs harmonisées.
Data visualisation : guide et bonnes pratiques
Découvrez dans ce livre blanc les bénéfices de la Data visualisation pour votre société.
Avant de partager vos récits basés sur les données, il est essentiel de passer par une phase de validation pour garantir leur impact et leur clarté. Commencez par recueillir des retours en présentant vos analyses à un petit groupe test, ce qui vous permettra d’identifier les éventuelles zones d’incompréhension ou d’amélioration. Ensuite, prenez le temps d’affiner les visuels : simplifiez les graphiques si nécessaire pour éliminer tout élément superflu qui pourrait détourner l’attention de l’information essentielle. Enfin, adaptez le ton de votre message en fonction des retours obtenus, afin de mieux capter l’intérêt et l’engagement de votre audience. Cette démarche itérative garantit que vos récits sont non seulement clairs, mais également pertinents et percutants.
Les pièges à éviter avec le data storytelling
Malgré ses nombreux avantages, le Data Storytelling comporte des risques :
🔹Biais de sélection : Ne choisissez pas uniquement les données qui confirment une hypothèse préexistante.
🔹Surchage visuelle : Trop d’informations sur un même graphique peut nuire à la clarté.
🔹Simplification excessive : En tentant de vulgariser, vous pourriez négliger des points critiques.
Transformez vos données en actions stratégiques avec MyReport
Le Data Storytelling est devenu une compétence incontournable pour toute organisation souhaitant maximiser l’impact de ses analyses. En alliant données fiables, visualisations percutantes et récits engageants, vous pouvez non seulement éclairer vos décisions, mais aussi mobiliser vos équipes et convaincre vos parties prenantes.
Avec des outils comme MyReport, vous disposez d’une solution complète pour centraliser vos données, créer des rapports interactifs et structurer des récits clairs et convaincants. Transformez vos données en un véritable moteur d’action : demandez une démo dès aujourd’hui 👇
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
Le ratio de rentabilité financière est un indicateur clé pour évaluer la performance économique des entreprises. En mesurant la capacité d’une organisation à générer des bénéfices à partir des fonds propres investis, il offre une vision claire et objective de sa rentabilité. Cet indicateur est particulièrement prisé des investisseurs, des directeurs financiers, des contrôleurs de gestion et des analystes, car il permet de comparer des entreprises de tailles différentes ou évoluant dans des secteurs variés.
Dans cet article, nous approfondirons tout ce que vous devez savoir sur le ratio de rentabilité financière, depuis sa définition et son mode de calcul jusqu’à son interprétation, ses limites et les outils pour l’optimiser.
Qu’est-ce que le ratio de rentabilité financière ?
Le ratio de rentabilité financière, également connu sous le nom de Return on Equity (ROE), est un indicateur financier mesurant la rentabilité des capitaux propres investis dans une entreprise. Il répond à une question fondamentale pour les parties prenantes : Les fonds propres investis génèrent-ils un rendement suffisant par rapport aux attentes ?
Pourquoi ce ratio de rentabilité financière est-il stratégique ?
Le ROE est utilisé dans diverses situations pour :
🔹Évaluer la performance des capitaux propres.
🔹Aider les investisseurs à prendre des décisions éclairées.
🔹Mesurer l’efficacité des dirigeants dans la gestion des ressources financières.
🔹Comparer la rentabilité des entreprises au sein d’un même secteur.
Dans le contexte des PME, ce ratio est particulièrement utile pour optimiser les tableaux de bord financiers, disponibles via des outils comme MyReport.
Formule du ratio de rentabilité financière
Le calcul du ratio de rentabilité financière repose sur une formule simple :
Ratio de rentabilité financière = Résultat net / Capitaux propres × 100
Décryptage des éléments de la formule
🔹Résultat net : Il représente le bénéfice réalisé par l’entreprise après déduction des impôts et des charges.
🔹Capitaux propres : Ils regroupent les fonds apportés par les actionnaires ainsi que les bénéfices non distribués.
Exemple pratique
Imaginons qu’une PME affiche un résultat net de 750 000 € et des capitaux propres de 3 000 000 €. Le calcul serait :
ROE (Return on Equity) :
Formule :Résultat net / Capitaux propres × 100
Exemple : Résultat net = 750 000 €, Capitaux propres = 3 000 000 €
Calcul :750 000 € / 3 000 000 € × 100 = 25 %
Dans ce cas, chaque euro de capitaux propres investis génère 0,25 € de bénéfice net. Un ratio de 25 % est généralement considéré comme très satisfaisant.
Comment dépasser les limites d’Excel ?
Découvrez dans ce livre blanc comment dépasser les limites d’Excel.
Quels sont les facteurs qui influencent le ratio de rentabilité financière ?
1. Le résultat net
Une hausse des bénéfices améliore automatiquement ce ratio. Les entreprises peuvent accroître leur rentabilité nette grâce à une stratégie commerciale efficace et une gestion des coûts maîtrisée.
2. Les capitaux propres
Un niveau élevé de capitaux propres peut réduire le ratio si le résultat net reste stable. Cependant, un niveau trop bas peut signaler un recours excessif à l’endettement, ce qui augmente les risques financiers.
3. Le levier financier
L’endettement, lorsqu’il est bien utilisé, permet d’augmenter la rentabilité financière. Cette stratégie doit toutefois être maîtrisée pour éviter des difficultés de trésorerie.
4. L’efficacité opérationnelle
L’utilisation d’un outil de reporting performant comme MyReport peut aider à identifier les leviers d’optimisation. Grâce à des données précises et mises à jour en temps réel, les décideurs peuvent agir rapidement sur les points faibles.
Interprétation du ratio de rentabilité financière
L’interprétation du ratio dépend de plusieurs facteurs contextuels, tels que le secteur d’activité, la taille de l’entreprise et les tendances économiques.
1. Ratio élevé
Un ratio élevé, par exemple supérieur à 15 %, indique généralement une bonne utilisation des fonds propres. Cela peut attirer de nouveaux investisseurs et renforcer la confiance des actionnaires existants.
Attention à l’endettement
Cependant, un ratio trop élevé peut également refléter un recours excessif au levier financier. Une analyse approfondie des données financières est nécessaire pour éviter tout biais.
2. Ratio faible
Un ratio faible (inférieur à 5 %) peut indiquer une faible rentabilité des capitaux propres ou des inefficacités opérationnelles. Il est crucial d’identifier les causes sous-jacentes, comme des coûts fixes trop élevés ou une marge nette insuffisante.
Solutions pour améliorer un ratio faible
🔹Identifier les axes d’amélioration avec un outil de data analyse.
🔹Optimiser les processus décisionnels grâce à des tableaux de bord financiers.
Optimiser le ratio de rentabilité financière
L’optimisation du ROE repose sur plusieurs leviers clés :
1. Améliorer la rentabilité nette
Une rentabilité accrue passe par une augmentation des revenus et une réduction des charges inutiles. Grâce à une gestion des données efficace, comme celle proposée par MyReport, les entreprises peuvent identifier rapidement les postes à optimiser.
2. Utiliser intelligemment le levier financier
Un niveau d’endettement modéré peut augmenter la rentabilité des fonds propres. L’important est de trouver un équilibre entre rentabilité accrue et risque financier maîtrisé.
3. Automatiser l’analyse des performances
L’utilisation d’outils de datavisualisation comme MyReport permet de suivre les performances financières en temps réel et de prendre des décisions éclairées.
4. Focus sur la trésorerie et les marges
Une gestion rigoureuse de la trésorerie et une amélioration des marges peuvent avoir un impact direct sur la rentabilité financière.
DAF, Contrôleur de gestion : comment construire votre tableau de bord parfait ?
Découvrez dans ce livre blanc comment construire votre tableau de bord parfait !
Bien qu’essentiel, le ROE présente certaines limites qu’il convient de comprendre.
1. Influence de l’endettement
Le ratio peut être artificiellement gonflé par un recours excessif à l’endettement, ce qui peut masquer des faiblesses structurelles.
2. Variabilité sectorielle
Les attentes en termes de rentabilité diffèrent d’un secteur à un autre. Par exemple, une entreprise technologique aura généralement un ROE plus élevé qu’une entreprise industrielle.
3. Absence d’analyse qualitative
Le ROE ne prend pas en compte la qualité de la gestion ou les perspectives de croissance de l’entreprise. Pour compléter l’analyse, il est judicieux d’utiliser un outil d’aide à la décision, tel que MyReport.
Pourquoi MyReport est indispensable pour suivre vos ratios financiers
MyReport propose une suite d’outils spécialement conçus pour aider les PME à optimiser leur gestion financière. Grâce à :
🔹Une visualisation des données claire et intuitive, qui permet une analyse approfondie des ratios financiers.
🔹Des fonctionnalités avancées de data analyse pour identifier les leviers d’optimisation.
🔹Des tableaux de bord personnalisés qui offrent une vue d’ensemble en temps réel des performances financières.
Avec MyReport, les entreprises peuvent non seulement suivre leur ratio de rentabilité financière, mais aussi améliorer leur processus de décision.
Le ratio de rentabilité financière est un indicateur incontournable pour mesurer la performance des capitaux propres investis dans une entreprise. En comprenant ses subtilités, ses limites et ses leviers d’optimisation, les PME peuvent maximiser leur rentabilité tout en renforçant leur attractivité auprès des investisseurs.
Grâce à des outils comme MyReport, il est désormais possible de suivre et d’améliorer cet indicateur de manière simple et efficace. Demandez une démonstration dès aujourd’hui pour découvrir comment MyReport peut transformer votre gestion financière ! 👇
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise
A. Dé « promptez »- vous, cet article n’a pas été rédigé par l’IA.
L’IA générative fait partie des sujets hype du moment. Et personne ne passe à côté de ce phénomène qui suscite beaucoup de questionnements et de débats, encore moins les entreprises. Pourtant, l’IA ne date pas d’hier, mais il y a encore quelque temps, elle semblait être réservée aux profils les plus tech d’entre nous. Alors qu’aujourd’hui, n’importe quel collaborateur qui prend le temps de s’y intéresser peut :
🔹Ou encore faire dire ce qu’il veut à la voix de son acteur préféré…
L’IA est partout dans notre quotidien. Mais qu’en est-il vraiment au sein des PME ? Quel est l’intérêt pour les PME d’y avoir recours ? Quels sont les différents enjeux auxquels elles font face ?
B. BI et IA, que se cache-t-il derrière ces quelques lettres ?
Le terme de Business Intelligence se démocratise en 1989. Aujourd’hui, la Business Intelligence se définit comme l’ensemble des technologies permettant aux entreprises d’analyser les données au profit de leurs prises de décisions. L’intérêt premier d’un outil de BI est qu’il se connecte automatiquement à toutes vos sources de données pour les regrouper, les collecter et les analyser. Cela permet ainsi d’avoir une vision d’ensemble de votre entreprise, mais également de son fonctionnement et des différents enjeux de gestion.
Prenons un exemple concret : vous souhaitez connecter et croiser vos données de ventes, vos achats, vos stocks et votre comptabilité. Et chaque matin, vous voulez accéder à un tableau de bord qui regroupe et analyse ces données actualisées en temps réel. L’objectif : obtenir des KPIs fiables comme le taux de rentabilité, le besoin en fonds de roulement, le délai de transformation… Et bien tout ça est rendu possible par la BI.
Il convient également de s’accorder sur une définition de l’IA. Il existe aujourd’hui de très nombreuses définitions de l’intelligence artificielle. Chez MyReport, on vous propose de retenir que l’IA est un processus d’imitation de capacités cognitives humaines.
Pour cela, l’IA utilise des algorithmes. Ce sont des programmes informatiques sophistiqués qui sont exécutés sur des systèmes informatiques de plus en plus puissants. On parle de serveurs, de processeurs, de mémoire, de disques durs…
Ces programmes s’appuient aussi, et c’est essentiel, sur des données existantes toujours plus nombreuses. Plus récemment, l’IA est rentrée dans le quotidien de nombreuses personnes suite à la création du premier modèle d’IA (GPT-1) par la société OpenAI suivi du fameux ChatGPT basé sur le modèle GPT-3.
L’IA peut donc par exemple venir en appui d’une solution de BI comme MyReport pour automatiser le traitement des factures. Chez l’un de nos clients, l’IA affecte les factures entrantes aux bons interlocuteurs. Les collaborateurs peuvent alors avoir accès aux factures qui les concernent sans avoir à attendre qu’elles soient affectées. Ils peuvent ainsi anticiper les dépenses visibles depuis l’outil de BI. Ce qu’il faut bien garder en tête c’est que l’IA n’est pas une solution packagée proposée par un éditeur. C’est une technologie complémentaire qui s’avère encore assez complexe à démocratiser au sein des PME.
Bien qu’elles aient deux buts bien distincts, ces deux technologies ont un point commun : la data. Et en parlant de data, savez-vous vraiment où en sont les PME dans leur utilisation de la donnée ?
II. PME, par où commencer ?
A. Où en sont les PME en termes de data ?
La donnée est aujourd’hui au cœur de toutes les stratégies d’entreprise. Mais voilà, son utilisation concrète reste encore restreinte au sein des PME. D’ailleurs, l’OMDE nous révèle qu’en 2023, 85% des dirigeants de PME étaient convaincues que l’exploitation des données leur permettrait d’améliorer la performance de leur entreprise. Convaincues mais tout est encore à faire pour activer ce potentiel. En effet, ce sont encore seulement un quart des entreprises qui estiment être en capacité d’exploiter correctement leurs données. Et pour cause, 48% des décideurs ont un niveau faible de connaissances des sujets data.
B. Comprendre ses données avant de passer à l’IA.
Chez MyReport, nous voyons la BI comme la première étape essentielle pour implanter une culture data dans votre entreprise. En tant que PME, votre priorité est de pouvoir vous appuyer sur des données claires et fiables pour prendre de bonnes décisions. C’est là tout l’intérêt de la BI. Elle permet de collecter, transformer, analyser et visualiser vos données de manière structurée et accessible.
La BI aide à centraliser les données provenant de différentes sources et à les nettoyer pour garantir leur qualité. Avec des tableaux de bord intuitifs et des rapports personnalisés, vous pouvez facilement accéder aux informations nécessaires au bon développement de votre entreprise. Grâce à ces analyses, la BI permet de transformer des données brutes en insights exploitables pour prendre des décisions basées sur des faits plutôt que sur des suppositions.
Contrairement à certaines technologies plus complexes, la BI est conçue pour être accessible. Des outils comme MyReport offrent des interfaces user-friendly. Ils permettent aux utilisateurs les moins techniques de créer des rapports et des analyses sans avoir besoin de compétences avancées en informatique.
L’IA repose, quant à elle, sur le traitement et l’analyse des données. Pour que l’IA soit efficace, il est crucial que les données soient bien structurées, propres et cohérentes. C’est pourquoi, le passage direct à l’IA sans une fondation solide en BI peut être risqué. Les résultats produits par l’IA pourront être erronés et vous amener à prendre de mauvaises décisions.
Bien que, selon nous, il faille commencer par la BI, nous sommes convaincus de l’intérêt de se pencher sur ces nouvelles technologies. Mais aussi de se renseigner pour comprendre et commencer à réfléchir aux cas d’usage que vous pourriez mettre en place en fonction de vos besoins en interne.
III. L’IA pour les PME, quels défis ?
A. Les avantages de l’IA pour les PME.
Bien que la BI reste n°1, on ne peut pas nier que mettre en place de l’IA au sein des PME peut se révéler être un véritable atout selon les besoins.
Pami ces avantages, on note :
🔹La transformation des métiers (dans le bon sens). Plutôt que de craindre un remplacement des emplois, l’IA Générative est présentée comme un catalyseur de transformation des métiers,
🔹La détection des tendances du marché. Les outils d’IA peuvent analyser les données du marché en temps réel pour détecter les tendances émergentes, permettant aux PME de rester compétitives dans un environnement en constante évolution.
🔹L’optimisation des processus métier. Elle vous permet d’identifier des inefficacités dans les processus métier et proposer des solutions pour les améliorer, ce qui peut réduire les coûts et accroître la productivité des équipes…
Mais voilà, bien que de nombreux avantages aient déjà été observés, peu de PME y ont recours et on vous explique pourquoi.
B. Mais des obstacles qui perdurent.
Les PME font face à de nombreux freins dans la démocratisation de l’Intelligence Artificielle.
🔹Un manque de compétences spécialisées : le manque de personnel qualifié en matière d’IA peut être un obstacle majeur et recruter des experts n’est pas une priorité pour les PME.
🔹Des craintes sur la confidentialité et la sécurité des données : les collaborateurs et dirigeants font part de leurs préoccupations en matière de confidentialité et de sécurité afin d’éviter les violations et les cyberattaques. Par ailleurs, les PME doivent se conformer à de nouvelles réglementations RGPD.
🔹Une résistance culturelle et organisationnelle au changement : l’introduction de l’IA peut perturber les processus de travail et nécessiter une adaptation de la part des collaborateurs. Certains d’entre eux peuvent résister au changement ou craindre que l’IA ne remplace leurs emplois s’ils n’ont pas été assez informés au préalable.
IV. Conclusion
Pour les PME, le chemin vers une utilisation efficace de la BI et de l’IA commence par une compréhension approfondie de leurs données et de leurs besoins spécifiques. La BI représente une première étape essentielle pour instaurer une culture de la donnée. Elle permet une prise de décision éclairée grâce à des informations claires et fiables. L’IA, bien qu’elle présente des défis en termes de compétences, de sécurité et d’appropriation, offre des opportunités considérables pour les PME. En s’informant et en se préparant adéquatement, les PME peuvent progressivement intégrer ces technologies complémentaires et en tirer des bénéfices significatifs pour leur croissance et leur efficacité.
Vous êtes intéressés par MyReport ? Demandez une démo dès maintenant ! 👇
Réservez votre démonstration de MyReport
Découvrez comment la solution MyReport peut changer votre entreprise